don't forgt your aiDee

feat - Original / Fuyuno Haruaki

• NOM Kurushi • PRÉNOM(S) Chiaki • AGE 14 ans • CIVILITÉ Célibataire • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ Bisexuelle. { Indécise sur sa sexualité • GROUPE Garden's Key • POUVOIR

Quatre Saisons

J'ai entendu l'image et écouté le son.

« Garde ce qui ne t'appartiens pas! ♪ »

C'est une adolescente que Dame Nature à bien offerte à la vie que nous retrouvons. De ses cheveux châtain d'un touché soyeux, ses yeux verts et perçants semblables à des émeraudes, ses lèvres d'une texture enviant, ce sourire adorablement enfantin, lui soulevant les imperfections qui berçaient son corps, sa poitrine parfaitement adaptée, ni trop grosse mais pas petite pour autant, ses hanches lui donnant les formes d'une femme, ses petites mains aux doigts graciles, sa taille fine et svelte, sa peau se révélant aussi blanche que la glace, douce, agréable au touché, ses jambes mince et fessant toute sa grandeur; on avait envie de la croquer. C'était ses oreilles légèrement décollés, ses ongles rongés, et autres petits défauts dissimulés sous ses vêtements que Chiaki y trouvait là une jeune femme tout à fait normale.

De son côté vestimentaire, elle était très simple. Fréquemment, elle aimait les couleurs simple, et parfois vive. Rien ne valait une robe de couleur blanc cassé, arrivant aux genoux, pour traîner dans les rues en été. Habituellement elle enfilée des hauts tombant sur l'une de ses épaules, de couleur jauni, rosé, beige, ou autre, lui arrivant aux cuisses, qu'elle comblait avec un jeans foncé, rendant ses jambes plus fines et grandes. Elle n'était ni adepte du gothique, ni du lolita, ni autre. Elle préférée rester discrète et passer inaperçu dans des vêtements mettant ses formes en valeurs, plutôt que de se grossir avec des vêtements amples et noirs.

Un fruit pourrit.

« N'oublie pas que tu n'es pas d'ici. »

Chiaki est une passionnée de la nature et de tout ce qui l'entour, au sens propre comme au figuré. Elle collectionne les ouvrages, les rendez vous et les films adoptant pour sujet la plantation. Elle y connait tout. Malgré son jeune âge, elle est capable de récité n'importe qu'elle règle d'or quand il s'agit de soin à apporté. Protectrice envers ses connaissances, elle est d'un naturel chaleureux, elle se met rarement en colère, ce qui la rend plus gracieuse, elle et son sourire d'enfant. Envers les inconnus, elle pourrait paraître « nunuche » aux premiers abords, mais bien au contraire. Elle parait tout aussi tête en l'air alors qu'elle est consciente de la réalité. L'univers du rêve la passionne également. Tout autant que celui de la musique. Elle lit beaucoup de livre concernant ces sujets, et s’instruit jour et nuit sur ces thèmes, quand l'appel de la nature de la tente pas. En effet, Chiaki est une fille qui apprécie étudier diverses « réalité » et « illusions » de la vie. Un soleil de rêve est aussi aussi passionnant qu'une lune de réalité, lui dévoilant la lumière de ce qui borde ces sujets précis. Donner vie à un sentiment, donner vie à un rêve; c'est ce qui fascine cette jeune frivole friande de nouveauté et d'aventure, bien que souvent, elle finisse avec plus de blessures, de coups, que d'enthousiasme et de sourires. Pour accompagnée ses sentiments, elle joue du violon. L'oreille musical lui échappe pourtant! Sa voix n'est pas la plus belle mais elle est agréable à écouter; quand à ses textes, ils reflètent d'eux même sa passion pour l'écriture, la nature, ou bien la découverte.

« Noyée dans tes larmes, j'essaye de satisfaire tes envies, et tuer tes ennuies. J'ai vendu mon enfance pour acheter ton attention, donner mes précieux pour t'offrir un sourire. De tes couleurs naissent mes désires, de ta forme apparaît mon être, de tes cries sombre mes peines. J'ai couvert tes sanglots et combler tes peines pour que tu m'aides à grandir et à faire celle que je suis. »

Tes valeurs sont miennes.

« Qui dit stupide ne répond pas. »

Elle est discrète et complice du mensonge par cause d’expérience sur de nombreuses aventures menées à bien, malgré les plaies ouvertes qui ne cessaient de s'infectées. La découverte des motivations du passé additionner à son présent, elle a souffert de l'insulte ingrate que son père lui a lancé durant toutes ces années. Soit disant voulue comme un objet précieux, Chiaki est née dans des larmes de joies; bercée par des parents fiers d'eux, fiers d'elle; qu'ils comptaient gâtée au nom du ciel. A cette naissance même une bague fût offerte à l'épouse comme remerciement de la part de l'époux. Cette anecdote bien gardée secrète, elle l'avait découverte à ses onze ans. Elle aurait dû être ravie d'être conçue dans l'amour et l'envie, or l'attention que son père lui portée depuis son premier jour n'avait jamais été celui qu'il aurait dû. C'est ainsi qu'elle s'enfermait dans ses livres et son jardin, elle grandissait bercée par des rêves et chaleureusement accompagnée par la nature qui lui chantait à l'oreille. Elle s'autorisait les regrets et les sanglots seulement la nuit, quand tout le monde dormait, elle vivait.

« C'était un oiseau de toutes les couleurs qui apaisé nos souffrances et bercé nos envies. »

Issue d'une famille aisée, sa mère était traditionnelle et aimait la culture. Son père quand à lui était un je-m'en-je-m’en-foutiste de premier ordre. La première femme de la famille s'occupée des tâches ménagère, comme le voudrait le clicher. Quand au premier et seul homme de la famille, il n'était pas si utile si ce n'était pour nourrir les bouches de sa famille qui graillé. Il était restaurateur dans un grand hôtel, une place qu'il avait gagné à coup de chance; ce qui l'avait conduit dans un univers différent de ses armes et avions. Chiaki, fille unique, à toujours vécu dans l'enfermement. Elle n'avait pas grandit accompagnée d'enfants, d'amourettes, d'animaux. Elle transformait sa solitude en force, y puisant le courage qu'elle avait aujourd'hui. Ses rêves d'enfants n'étaient que poussières. Sa vie, son histoire, ses envies, tout n'était qu'un livre jamais ouvert à la couverture arrachée.

« Il aurait fallut le lire et croire en ce petit personnage qui ne demandait qu'une poussée d'extase pour que la jeune pousse se transforme en une rose éblouissante. C'est malheureux, il est déjà si tard. Dort ma fée, je serais là à ton réveil. Croit en toi, je crois en ton destin. La belle Alice nous a mentit sur les merveilles de son pays, raconte moi les tiennes, montre moi quelle Alice tu es. »

❝ Sous la pénombre de la nuit, sous les pleurs meurtries de la lune abandonnée sous les étoiles, le soleil venait à manquer. Vêtue de rouge, la bêtise se faufilait dans les bois tel un asticot, parcourant le chemin qui lui mènerait bonheur, gloire, et beauté. -Pourquoi t'es tu enfuies? -J'avais peur. Entourée d'arbre se trouvait une enfant recroquevillée sur sa personne, elle regrettait ses mensonges, la vérité lui taper sur les doigts, c'était douloureux. La bêtise s'était révélée être perdue dans ses sanglots, un océan de désespoir été formé sous ses pieds perdues. Les minutes se faisaient des heures, les secondes des poignards. Elle se rongeait les ongles, se décoiffait à s'en percer le crâne, hurler à s'en détruire les tympans. Sous cette averse qui s’estompa quand elle releva son visage endolori de solitude, elle lâcha une dernière vocifération avant de retrouver un visage illuminé par la couleur flamboyante de nouvelles pousses qui malgré l'hiver s'allongées par dessus l'océan de neige. Les arbres qui l'étouffée commençaient à refleurir, l'automne prenait le dessus. ❞ Le plus étonnant n'était pas l'évènement, c'était la façon. La nature fleurissante entourée Chiaki, mais seulement Chiaki. Dans un rayons de cinq mètre, l'automne lui réchauffé le coeur.

De ces coups, une belle prune.

« J'aurais aimé grandir accompagnée. »

Perdue dans la forêt, étrangement ornée de végétation fleurissante en pleine hiver, Chiaki s'était levée et avait laissé ses pleurs de côté. Par sa propre volonté, par ses propres pouvoirs qu'elle ne reconnaissait pas encore, un chemin fleuris c'était donné à elle. Un déclic l'avait amené à reprendre en main ses ambitions, ses études, sa vie. Rentrée chez elle, elle se remit avec détermination dans sa scolarité. Un soir d'anniversaire, sa mère avait reçu des cadeaux de marques, d’exceptions, de valeurs. C'était un festin qui s'organisé, les invités étaient au rendez vous, et les cadeaux se faisaient pesants. C'est alors que Chiaki arriva, avec dans ses mains, un pot de couleur translucide, couvert de motif étoilé, celui ci habitant une fleure de Lys, encore close. Elle s'avança vers sa mère, le silence ce mit à régner sur l'atmosphère. Elle aimait sa parente, c'était sûr, et elle allait aujourd'hui même lui offrir sa plus belle récompense après tant d'effort pour faire naître ce bijoux éphémère. Le monde se mit à rire, seules mère et fille restaient silencieuses. La colère commençait à la gagnée, pourquoi riaient ils? Leurs cadeaux n'avaient aucune valeur, le sien était si sentimental! Une larme coula, la colère n'était pas son terrain d'entente, la tristesse était son quotidien. Son pleur tomba dans la terre fertile, la fleure s'était miraculeusement éclose sous les yeux ébahis des importunés. Elle offrit son cadeau à sa mère, et sans un soupire, sans un sourire, sans une larme; elle s'en alla rebrousser chemin dans son lit. Elle prenait conscience de son être, de son pouvoir, ses compétences. Après de nombreuses recherches sur internet, elle retrouva des post qui ne lui étaient pas différent. « Magie », « Pouvoir », « Aomori ». Qu'avait elle à perdre? Elle avait déjà tout perdu; si ce n'était ses passions. Prenant son courage à deux mains, elle fit une fugue, et se laissa guider par ce qu'elle pensait être la nature. Or, si jeune, elle ne différencier pas encore son pouvoirs et son destin, qui le mena à Aomori, alors qu'elle avait abandonné sa famille, et son jardin secret. Elle avait fait une rencontre frappante, avec la fatalité.

Je suis un crabe unijambiste.

« monoboule, gay, travestit, lilipucien, c'est héréditaire. »

• PRÉNOM ou PSEUDO Désirée. eum, Crowberry.* • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Je veux vivre avec des Poney`s, manger des sucreries et violer des peluches. LIFE IS LIFE, NANAAA NANANAAA. • PARRAINÉ ? Ma maman? Personne. :r • DOUBLE COMPTE ? Nope, juste celui là. èé • CODE ? Yep c'est ça Haine est OK { J'aurais préférée crabe :r • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE JEAN PAUL C'EST MON PAPA C: CRABE DANS TA FACE. désolée, c'était trop tentant. Ps; J'aime Popo. B] { Désolée pour les fautes ;^;