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 Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]

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Kyogise Nobari
Kyogise Nobari
spirit

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MessageSujet: Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]   Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] Icon_minitimeVen 3 Aoû - 13:48

Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] 1344001645-tumblr-lve8e2qntq1r0ic7zo1-r1-400
Astronomse Of Imagination. Astronomse Of Imagination. Astronomse.

15h42 - « Mélodie du temps ordinaire. »

Par ce beau temps, la seule occupation des élèves étaient juste de sortir afin d'en profiter avec des amis ou de bronzer. Mais il faut croire que Kyogise était bien l'une des seules qui passait son temps à s'isoler dans sa chambre, noir complet. Depuis que la demoiselle avait entendu la chanson Gypsy Bard, elle était soudainement bien plus mélancolique que d'habitude. Cette mélodie entraînante et à l'air joyeuse exprimait bien plus qu'une naïveté sans valeurs. C'était la description exacte de notre monde, du moins, le mur de de la tristesse. Les paroles n'étaient pas profondes quand on ne se penchait pas sur le côté, on pourrait même qualifier ça d'horrible en cherchant assez loin. La gamine était affalée par terre, s'adossant contre le rebord de son lit. Ses cheveux traînaient sur le doux tapis blanc, ses yeux n'étaient pas grandement ouverts. Son récit dont le titre était « Les tambours de Dublin » écrit par O'Caset Sean était resté à la page 27. Tout juste commencé, il plaisait énormément par sa magie. Comme une larve, elle se déplaça comme elle le pouvait juste qu'à son bureau. Frappant contre le tiroir de son bureau, elle pût faire tomber son stylo plume mais non son cahier de brouillon. Soupirant, elle essaya de tenir debout en forçant sur son poing. Debout, elle tapota son pyjama et prit ses affaires. C'était l'heure du goûter pour certains, la pause café pour d'autre. Pour cette dernière, c'était le temps parfait pour sortir dehors. Elle allait pas resté là planter, dans le noir à agir comme un sac à patate. C'était un pacte, ou du moins des règles qu'elle s'était imposé. Bref, le temps parfait pour sortir de ce trou noir, le temps parfait pour ne pas côtoyer les élèves. Ce n'était rien mais, c'était quelque chose.

16h27 - « Dernier refuge avant la nuit. »

Selon la douée, elle devrait penser à arrêter de s'attarder sur des détails, surtout arrêter de paraître trop étrange. Une simple impression de prendre presque une heure pour descendre en bas du bâtiment la décourageait un peu. En prenant une grande inspiration, elle s'allongea sur l'herbe. Sentant la bonne odeur fraîche de ce jardin bien entretenu, elle se roula face au ciel. Il était dégagé, bleu azur, et aucun nuage était à l'horizon. En ayant pour habitude de méditer un petit moment, et de réfléchir à des questions existentielles. Il fallait la comprendre, ce qu'on n'essayait pas de faire. Ce n'est pas pour autant qu'elle allait se plaindre, et ne demandait pas tellement ça. Peut-être que ce n'était pas ce qu'elle souhaitait, juste qu'on s'intéressait un minimum à elle. En secouant la tête, elle cacha ses prunelles grises foncés des rayons de lumière, puis reprit sa position de départ. Commençant à agiter sa plume moderne, la silencieuse passionnée commença à laisser son autre elle prendre sa place. Un monde coloré. Des cerisiers partout, une protagoniste malade. Son ami, grand et protecteur mais louche. Se mordant la lèvre, la fille avait perdu toute motivation en arrivant à Aomori. Perdant son courage, maintenant la passion qui la relie le plus à la vie, elle se mit à pleurer. Les larmes coulaient, mais elle n'exprimait aucun sentiment. En vérité, son début à ce pensionnat n'était pas si passionnant et ne s'était pas si bien passé. Quelque chose lui manquait, une lueur à sa vie habituelle. Perdant ses repères, elle prit des rides, devenait insomniaque en voyant ses cernes, et n’arrivait même plus à lire ou à écrire. Elle n'enchaînait que les médicaments et les visites à l'infirmerie, et vomissait toutes les nuits. La première nuit lui était infernale, bien qu'elle criait en silence. Ses migraines lui arracha un par un de force ses organes vitaux. Ses yeux de couleur ténébreuses écrasait son propre éclat. Juste à s'en rappeler, les larmes ne pouvait en aucun cas cesser. En les nettoyant avec sa manche grise, ça s'irrita et n’arrangea rien. Surtout pas là, surtout pas devant les autres.

16h40 - « Un amour d'autrefois. »

Calme-toi, calme-toi, se répétait la nouvelle. Après quelques minutes de répit, elle se replia sur elle et se mit en position fétale. Cachant son doux et sucré visage abîmé par ses perles salées sous ses manches, elle toussait de fatigue. Parfois, il lui arrivait de désespérer, et de se sentir seule. Quand elle faisait ça, elle trouvait comment mentir et s’éclipser avec de simples excuses. Personne ne prêtait grandement attention à elle, même les adultes à qui elle éprouvait une certaine confiance l'ont souvent trahit, ou n'ont jamais essayé de voir plus loin que le bout de leur nez. Alors, à Aomori, ça ne devait pas être différent qu'ailleurs selon elle. Elle est juste venue ici pour les études, et pour enlever le fardeau qu'elle était à ses parents. Un sourire nerveux apparaissait sur sa face, pour indiquer qu'en vérité, elle était joyeuse sans la vue de sa mère. Puis, relâchait ses muscles pour effacer le rictus. Ce n'était pas eux qui allaient changer la réalité, enfin sa réalité. Elle même n'y arrivait pas, en se disant que la vie était belle, car elle se mentait à elle même. Mais ça, personne le saurait, même la personne en qui elle pourrait avoir le plus confiance. Kyogise n'en était pas si sûre, car elle n'a jamais eu réellement quelqu'un à qui parler de ses problèmes. C'était elle qui soutenait les autres, et les aidait. Mais personne n'était capable d'être aussi têtue qu'elle, de la forcer à cracher ses problèmes, à la relever même en lui tirant les cheveux, même en lui crachant dessus juste pour lever ses petites fesses. L'élève soupirait encore une fois, et désespérait presque d'avoir tant de soutien. En dépliant ses jambes, relâcha ses épaules et déposa sa tête contre le tronc d'arbre, elle put repartir dans son premier but, écrire.

17h13 - « Fleurs interdites. »

« Tu vois sûrement ce que c'est ; Tu dois déjà l'avoir vécu. Je ne percevais pas exactement les événements, ça ressemblait plus à un flot d'émotions brutes. Je ne me rappelais plus de qui j'étais, et je n'avais pas même pas la force de chercher ça dans ma mémoire. Je revois bien le début, quand tu étais... tortionnaire. Plus que la douleur et l’horreur de la scène, c'était ton regard, ton attitude, ta joie morbide qui m'avais... Je n'ai pas de mots pour décrire ça. Excuse moi, ça peut avoir l’air assez confus. Je me perd dans des détails mais je veux que tu comprennes bien ce que j'ai vécu. Tu étais complètement terrorisée. Nous étions seules dans la cellule. Je devinais tes hallucinations, les esprits de tes victimes venus réclamer vengeance, te hantant et te tourmentant de culpabilité. Sûrement, me voyais-tu au milieu de ces fantômes. L’Ombre de la Folie, en toi, les avait contenu tant de temps... en s'échappant lors de l’enterrement elle leur avait laisser le champ libre. Quelle cruauté... tu t'infligeais désormais à toi même toutes les tortures tu avais fait subir... jour et nuit, ne trouvant de répit que dans tes cauchemars. Je tentais de te rassurer, mais tu ne semblais pas me voir, ni m’entendre. Elle pleurait dans tes bras. Tu lui caressais la chevelure de ta main pâle, lui murmurait des paroles réconfortantes à l’oreille. Tu ne comprenais toujours pas, mais tu étais convaincue que quelque chose t'échappais. J’avais envie de vous rejoindre, de venir vous aider... mais je ne pouvais pas. Quelque chose d’inconnu et de puissant me l’interdisait. Comme si je ne pouvais que rester simple témoin. Met toi à ma place, c’était un véritable supplice de vous voir souffrir sans pouvoir agir. J'étais si seule... j'aurais tellement voulue vous sentir près de moi à ce moment là, mais jamais vous n’avez été si lointaines. Je voulais que tout s’arrête, mais cette horrible histoire ne faisait que commencer. »

17h15 - « Mal d'amour. »

En corrigeant quelques fautes, elle se rendit rapidement compte que ses écrits n'étaient plus les mêmes. Ils étaient sombres, horrible et ne s'en rapprochait même plus des mondes fantastiques et magiques qu'elle décrivait. Elle tremblait devant ses propres mots, ses propres phrases. Cela ressemblait juste à des bombes qu'elle se posait autour d'elle, et la fit trembler. En recevant une goûte d'eau sur l'épaule, le ciel s'assombrit. Cette journée n'était pas merveilleuse pour l'adolescente qui ne demandait juste une vie normale. Comment pouvait-il pleuvoir alors qu'il y avait un ciel si magnifique à l'instant même ? En prenant son cahier, et son stylo, elle partit se mettre à l'abri le plus rapidement possible. En s'asseyant sur le banc, elle observait le ciel gronder et une camarade passer.
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MessageSujet: Re: Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]   Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] Icon_minitimeVen 3 Aoû - 19:16

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Who is calling me? Who is calling me? Who is calling me? Who is calling me? Who is calling m

16h27 - « Je me demande où est la vraie vie. »

Dans un placard fermer de l'intérieur, se trouvait une jeune demoiselle au cheveux rebelles, au yeux d'émeraudes et au pyjamas ridicule. Elle écoutait à l'aide un lecteur mp3, une musique qui lui était récurant, nommé 'Gypsy Bard'. La mélodie était douce en entraînante, on aurait presque envie de danser dessus tellement elle est enjôleuse Qui se serait douté que ces paroles qui accompagne la mélodie serait si horribles, affreuses, tristes et surprenantes? Elle aurait pu la chanter, si le rythme n'était pas si rapide. Sa maîtrise de l'anglais n'était pas parfaite, mais pour son âge il était déjà impressionnant. Elle renvoie l'image de la vie réel, de ce que certains et certaines vivent, de l’atrocité de notre mode de vie. Abandon, abus de confiance, solitude, contradictoire. Le monde était indescriptible et féroce. L'adolescente en était consciente, après tout elle l'avait vécu, ce genre de choses qui donnent envie de tuer, ce genre de choses qui offrent le remord, qui offre la haine. Mais à quoi bon s'acharner? Ses lèvres avaient bougeait. Un sourire s'était dessiné sur son visage, un sourire de joie, d'ignorance, de jeunesse, de timidité. Elle riait légèrement en tirant sur se pyjamas qui couvrait chaudement -et même bien trop chaudement- son corps de la tête au pied. C'était un temps à sortir, avait elle déduit alors qu'elle était cloîtré dans un pièce sombre, le néant, le silence, la solitude, mais aussi le réconfort, la paix, l'ordre. Elle se redressa doucement en se cognant partiellement la tête contre un cintre, là où elle riait une nouvelle fois, cette fois ci sans grande raison, ni grande définition. Elle posa ses mains sur les portes, tentant de les ouvrirent : en vint. « Je veux voir les lanternes! ». A peine avait elle prononcer le mot lanternes que les portes lui avaient cédés passage. Elle tomba immédiatement en avant, cause? L'élan qu'elle avait prit. Mais elle ne pleura pas, et se contenta de soupirer vaguement en frottant douloureusement son bas-dos, alors qu'elle se redressait. Elle frotta partiellement ses genoux, et avait sourit : tout était ok! Elle leva ses yeux à la seconde fenêtre de sa chambre; il faisait beau, les lanternes l'illuminaient, sa peau était radieuse désormais. C'était un rictus doux et chaleureux qu'elle avait répondit à tant de lumières, tout en se levant sur ses jambes. Elle regarda l'heure sur sa montre qu'elle trouvait fantastique et magique, en raison de la lumière qu'elle créer grâce à la technologie : il était déjà 16h 38. Pas le temps de profiter du parquet, lèves toi Raiponce!


16h40 - « Une aventure sans lendemain. »

Debout, elle se dirigea vert sa cage et y sortit, avec son cintre, une robe. Elle était blanche comme l'innocence, aussi courte que sa fourberie -C'est à dire, à lui atteindre les genoux.- et soutenue avec maintenance. Elle l'admira un peu... Sur le côté... Derrière... Parfaite! Elle l'enfila sans plus attendre après une courte toilette faîte au gant. Elle tapota ses ses hanches pour offrir à sa mise un peu plus de forme, de volume, de présence. Et remonta ses bretelles pour ne pas paraître indécente et vulgaire, tira légèrement sur le bas par rapport à sa pudicité. Elle peigna rapidement ses cheveux pour les attachés, soigneusement, sur le côté à l'aide d'un élastique tout à fait banale, de couleur pourpre, pour s'accorder avec sa montre. Elle alla regardait une seconde fois dans son placard pour y sortir de petites chaussures, à vrai dire des sandales. « Manger une grosse tarte, faire des tâches, des grimasses! » chantonnait elle, en même temps qu'elle enfilé ses chaussures. La journée s'annonçait radiante, elle le savait. Et elle comptait bien en profité. Elle se regarda dans un miroir. Elle n'était pas d'un naturel coquette, est c'est pourquoi elle restait naturel au maximum, mais être jolie était agréable physiquement autant que moralement. Elle tourna une fois sur la droite, une seconde fois sur la gauche, s'arrêta dos au miroir, examina, puis se remit en face. Elle était jolie, et elle aimait bien voir ce qu'elle voyait. Elle regarda son logement, de façon rapide : C'était dérangé. Pas sale, mais dérangé. Des vêtements par ci, des vêtements par là. Elle rangerait ça plus tard, c'était incertain, mais c'était pensé. Elle attrapa son mp3 dans le placard, d'un coup rapide, et plus loin, sur un tabouret, près de la première fenêtre, elle prit un carnet. C'était un petit carnet, simple et clair, à motif doux, tel que des fleurs, et à côté elle prit le stylo qui était semblable au bouquin, simple et doux. Elle gardait son carnet ouvert, stylo en main, sait on jamais si une idée lui traverserait l'esprit. Après tout la première chose pensée est faîte, elle avait bien croquer dans la pomme, elle.


17h13 - « Ouvre moi tes bras, j'ouvrirais mes jambes. »

« Ah, douleur éphémère qui me tue, tambourin assourdissant qui me ronge de l’intérieur. Mon coeur, cesse de chanté, tu me broies, tu me tue. » Elle avait écrit ses mots sur le carnet qu'elle avait prit, alors qu'elle descendait les escaliers. Une chose peu correct à faire, dangereuse et sans doute impolie. Elle avait ses lunettes, qu'elle changeait régulièrement et qu'elle ne quittait jamais. Elle lisait sa phrase une fois, une seconde, et souriait positivement. C'était une nouvelle bêtises qu'elle avait écrite, d'après ceux qui la lise parfois. Accro aux oxymores, sont style était certes étrange, mais tout à fait basique. Une fois descendue sans encombre, elle sortit et savoura ce moment. L'air, le soleil, les oiseaux, la nature. Son appel était occupé, elle était absente, présente pour ce moment. Elle regarda le ciel et le salua d'un sourire, s'approcha d'un arbre et toucha son écorce, huma le parfum d'une lys, regarda la pelouse verdoyante. Les oiseaux lui offrait une douce mélodie réconfortante et apaisante. Elle était si habituée à tout ça, et pourtant la sensation lui était étrange. Ce n'était ni ses fleurs ni ses arbres, ni ses oiseaux ni son soleil. Ah; c'est vrai : elle était en pensionnat aujourd'hui. Un soupire s'échappa. Elle aurait aimée restée chez elle pour gardée ses amis de la nature, ceux là lui était inconnue, s'adaptée était dur pour elle.

17h15 - « Tentation. »

Les oiseaux commencer doucement à estomper leur chant. Pourquoi? Il faisait si beau. Elle leva ses yeux pour y voir des nuages, ni clair ni translucide, mais sombre. Pluie? Oui. une goûte tomba, une seconde, une troisième. Invraisemblable, il avait fait beau toute la journée et, là, soudainement, il pleuvait? Non. Elle qui aspirée à profité du soleil pour noircir un peu son teint... Elle prit son carnet et son stylo pour les mettre au dessus de son visage, c'était dans ce genre de conditions qu'elle était contente d'avoir prit à couverture plastique malgré le prit. Elle passa devant une inconnue dont la chevelure lui avait marqué l'esprit, quelques mètres plus loin elle s'arrêta. Elle sembler étrangement .. pas souriante? Ca l'intriguait, elle voulait faire connaissance, et elle sembler ne pas être plus âgée qu'elle. Elle fit demi-tour et partie s'asseoir sur ce même banc à tes côtés, là où elle te regarda longuement, chapeau de papier sur la tête, avant d'essayer d'engager une discussion qui aurait pu être le début d'une grande histoire fleurissante entre deux adolescente sous averse.

« Bon- Bonjour! » avait elle dit d'une petite voix intimidé.
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MessageSujet: Re: Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]   Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] Icon_minitimeDim 5 Aoû - 20:06

17h16 - « Le monde s'effondre. »

La concernée leva les yeux afin de les poser sur sa partenaire, et la dévisagea gentiment. Elle était charmante, avait un corps modeste, des formes généreuses, et n'avait rien de particulier à part son style vestimentaire. Après l'analyse de son physique, elle avait rapidement remarqué qu'elle semblait être nouvelle. De nature énergique, son mode de vie n'était pas du genre à être difficile à vivre, mais de simples préjugés ne pouvaient porter à affirmation. Son bégaiement masqua un instant le son de la météo capricieuse. Sa voix était douce, mais lui fit penser à une autre personne. Pourtant, elle n'avait aucun souvenir de cette personne, ce qui lui sembla étrange. Mais rapidement, elle passa à autre chose, et posa ses affaires près d'elle, remit une de ses mèches en place en restant noble et fit un léger sourire sucré avant de répliquer tout aussi doucement.

« Bonjour. »

Elle le disait courtoisement, et d'un ton tranquille. Son regard était perçant, mais ne voulait point du mal. Sûre d'elle même, elle n'avait aucune raison de stresser. En penchant la tête sur le coté, elle t'interrogeait du regard. Lentement, elle mordilla la lèvre, et attendait une simple réponse. Mais rien n'était sortis de ton côté, alors elle prit l'initiative de commencer. Jouant avec son stylo qu'elle tournait avec agilité, du penspinning assurément, il finit dans sa bouche mordillé. Kyogise avait apprit l'art de jongler, inutile certes, en passant ses journées dans les classes normales en s'ennuyant à suivre des cours qu'elle maîtrisait par pur hasard.

« Qu'est-ce que je peux faire pour toi ? »
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MessageSujet: Re: Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]   Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] Icon_minitimeLun 6 Aoû - 14:29

17h18 - « Ses jambes vacillent, son sourire tombe. »

Elle regardait la demoiselle à côté d'elle avec enthousiasme. Tu lui semblait si jolie, si attendrissante, si adorable. Ses yeux regardait ta chevelure envieuse, tes yeux troublants, ton corps mince et agréable. Elle n'était pas une perverse prête à bondir comme une bête, au contraire, elle te regardait de cette façon sans expérience, ses yeux dévoré la nouveauté. C'était agréable de rencontrer quelqu'un, quelqu'un qui de plus, semblait sympathique. Après t'avoir dévoré du regard, elle posa son carnet sur le côté, et rangea son stylo avec; à ses côtés. Une fois fait, elle te regarda, toi, ce personnage qui l'intrigué, qui l'attiré. Au son de ta voix, elle ne pu s'empêchée d'étouffée un léger rire gênée, impatient et tout excité. Elle cacha ses yeux vert en posant ses mains sur ses lunettes, gênée par son comportement loin d'être polie comme à son habitude.

17h19 - « Une fleure n'est belle que cueillit. »

Elle ne savait pas quoi répondre à ta dernière phrase. C'est vrai, que voulait elle en réalité? Comment pouvait elle t'aborder... Elle ne savait pas et n'arriver à rien dire face à toi. Elle était intimidée, devait elle te tutoyer? te vouvoyer? Elle n'en savait rien. Côtoyée des gens était une chose qu'elle n'avait pas vraiment l'habitude de faire, de part son arrivée récente que par le peu d'experience qu'elle avait avec la gente féminine, autant qu'avec la gente masculine. Elle te regardait, perplexe, puis dans un élan de courage, elle tenta un léger « Je.. » qui ne pu aboutir. Elle soupira un moment, déçu de son incompétence. Elle n'était vraisemblablement qu'une incapable... Ou pas! Elle prit son courage à deux mains et se lança d'un ton rapide et libéré.

« Eum, non.. Mais.. » Elle regarda ton stylo, tu écrivais sans doute? Ses yeux en avaient conclus ainsi. « Tu écris? »

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MessageSujet: Re: Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique]   Le monde d'hier ainsi que sept mers et treize rivières. [Chiaki / Thème : Tragique] Icon_minitime

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