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 Splach, bem, graou. Hardings.

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Tell Hardings
Tell Hardings
heart

Masculin Age : 31
Messages : 8
Inscription le : 22/07/2012


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Scolarité/Age: 17 ans.
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MessageSujet: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeLun 23 Juil - 1:06


le petit oiseau va sortir ~
feat - original / SHIO
Splach, bem, graou. Hardings. Sans_t22
• NOM Hardings
• PRÉNOM(S) Tell
• AGE 19 ans.
• CIVILITÉ Tantôt célibataire, tantôt en couple avec l'ennui.
• SCOLARITÉ Sasy dit que t'es en première année. Je comprends, c'est dur de s'y retrouver souvent ♥
• SEXUALITÉ Boarf. Il décide s'il a envie d'être hétéro ou pas. En fonction des jours, des humeurs, des envies. Allez, bi'. Mais Tell vous dit de vous barrer de là et commence à remonter ses manches.
• GROUPE Heart's key.
• POUVOIR Paralysie.
banana split je vous prie.
« whythefuckareyoulookin'atme»
Tell, il prend pas soin de son apparence, à part peut-être les trucs banaux. Il est trop jeune pour avoir de la fourrure d'ours sur le torse, alors forcément, y a rien à raser. Les trucs banaux, c'est la barbe. Quand les poils qui piquent commencent à devenir trop voyants, un coup de rasoir bien visé suffit, et c'est fait. Evidemment, il a pas mal de cernes. Elles varient en fonction des jours, et surtout des nuits. Il lui arrive de faire une nuit complète, ou de dormir une quinzaine d'heures, et là ses cernes disparaissent, ou du moins elles s'estompent. Elle sont pas si affreuses que ça, c'est pas des poches non plus. Il a juste de sortes de marques violettes sous les yeux. Niveau fringues, il prend ce qui n'est pas trop flash, pas trop simple, pas trop élégant, pas trop cher. Jean noir, jean bleu, bermuda foncé, teeshirt gris, blanc, noir, bleu, marron, à petits motifs, chaussures Rangers pour l'hiver, basket abîmées pour l'été. Et ses cheveux sont une touffe lisse châtain qui lui tombe devant les yeux.
Sous son teeshirt, il a ce qui faut de muscles. Il a ce qu'un garçon de dix-neuf ans se doit d'avoir. C'est pas Schwarzenegger, mais il ce qui faut pour être au niveau moyen, entre bon et mauvais dans la bataille. Il soulève un canapé à deux, mais pas un réfrigérateur tout seul. Il boit du soda, de l'alcool, mais aussi de l'eau et du jus de fruit; il mange des hambugers et de la pizza mais aussi des courgettes et des oeufs. En dehors des exemples, soyons un peu réalistes sans métaphores. Il pèse un poids raisonnable pour son mètre soixante quinze, et ses muscles lui sont utiles autant qu'ils sont pas super voyants.

Tu approches ton pied de son ventre. Ce gars est au sol; il l'a cherché. En le regardant se relever, tu recules de quelques pas, te grattant le bide par dessous ton teeshirt. Premère chose qu'on voit sur la peau de ton ventre : Des griffures. Et sur ton visage, un rictus joueur, amusé, mais trop joueur. Et au dessus, c'est tes yeux noisette; ils en disent trop. Ton regard, surtout. Il montre que t'as carrément consicence de c'que tu fais. T'essaies pas de te donner un genre, non. Pas besoin de genre, juste d'une petie dose de mépris à distribuer.

On le voit marcher dans les rues, sans but. Certains disent ça; ils marchent mais ils ont une petite idée de quoi faire, ou alors il se promènent, ils se balladent simplement. Lui, il erre sans envie, sans pensée, mâchouillant sa cigarette sans même s'en rendre compte. On le voit cracher, parce qu'avaler du tabac, c'est pas forcément agréable. On le voit tousser et cracher sur le côté, laissant tomber sa clope déjà éteinte sans stopper ses pas. Charmant, n'est-ce pas ? Romantique, disent certains.
On le voit sortir une nouvelle cigarette de son paquet, toujours autant accro à se défoncer les poumons. Et là, il se demande s'il devrait pas rentrer. Mais là lui revient la question incontournable : « Pour quoi faire ? ». Ben ouais, c'est pas faux. Qu'est-ce qu'il ferait ? Il resterait assis sur un banc à regarder les gens et le temps qui passent ? Sûrement. Il s'ennuit. Tell s'ennuie vraiment. Peut-être que s'il cherchait des moyens de s'amuser, ça irait mieux. Mais il veut pas, le sale gosse. Alors en attendant, ce qui lui passe le temps c'est de chopper des gars par le bras, leur coller le dos ou le ventre au mur et fouiller leurs poches pour espérer trouver un truc; et là enfin, il se barre en courant comme si ça allait mener à quelque chose. Puis il se fait rattraper, et on le voit encore se battre.
when it hits you like a bullet in the night
« fick dich »
De prime, Tell c'est un provocateur. Un putain de provocateur qui se retrouve souvent dans la merde à cause de ses conneries. Il vous provoquera pour vous demander indirectement de rester avec lui, il vous provoquera pour avoir quelqu'un dans son lit le soir, il vous provoquera pour se bastonner, pour vous piquer votre paquet de clopes et ensuite vous le rendre, pour vous inciter à vous ridiculiser sans que vous n'vous en rendiez compte. C'est pas un de ces personnages obsédés par la drogue, le sexe et la marave, il le faut croire, c'est tout. Seulement, c'est les trucs les plus faciles à faire ressortir de l'esprit des gens, psychologiquement parlant. Et il le sait. Il a plus d'un an de pratique, le petit. Et Tell n'est pas un amateur de sexe. Pourtant, ça collerait bien à son esprit. Un peu je-m'en-foutiste et jamais repousseur d'un petit plaisir. Mais le contact tactile, c'est pas pour lui. Du genre : vraiment pas. Sauf s'il l'a volontairement provoqué, et que tout est tourné à son avantage, evidemment. Là c'n'est plus la même chose.

Il s'approche de toi, et tu le repousses. Il empoigne ton col et t'encastres contre le mur. Il a bien comprit que t'es pas tactile, en te prenant par le bras tout à l'heure. Alors il se colle à toi. Tu te crispes. Tu serres les dents. Tu déglutis. Tu serres encore les dents. Et ô sainte horreur, tes joues rougissent. T'essaies encore de le repousser, mais t'es trop facilement battable, sur ce coup-là. Alors tu soupires et tu abandonnes. T'es rouge jusqu'aux oreilles, et ce connard te le fait remarquer. Un vengeance. Il faut que tu trouves un vengeance. Tu approches tes lèvres de son cou sans respirer et y marque un suçon. Ouais, un suçon. « J'éspère que t'es casé, connard. Maintenant, casse-toi. »

''Ou comment ridiculiser son personnage'', vous allez vous dire. Parce que t'as déjà vu quelqu'un que personne ne ridiculise ? Tell est un associal du contact physique. Et evidemment, il a horreur de ça. Il perd d'un coup toute crédibilité et assurance dont il calcule chaque souffle. C'est pas de la gêne, enfin presque pas. C'est un peu comme s'il se rendait compte de ce qu'il est. Un salopard égoïste trop sûr de lui et finalement, incapable de supporter de se faire approcher. Alors ces rougeurs, c'est une sorte de mix de haine, colère et gène envers lui-même. Sans timidité. Jamais de timidité.

Il a des marques, des bleus, des griffures, et de ça aussi, il en a horreur. Pour le fait que les gens laissent une trace sur lui. Mais par contre, il adore faire ça sur les autres. Plus c'est voyant, mieux c'est Ah ça t'amuse ça hein ? T'es vraiment un salopard, mec. Sans penser à ton bonheur, tu penses à amméliorer le malheur des autres. Ouais, logique. Mais finalement, c'est pas tant ça. Si leur faire plaisir te passait le temps, t'aurais sûrement déjà nourri tous les pauvres petits somaliens qui meurent de faim. Quoique. Peut-être pas. Tu les nourris, et puis basta. Alors que quand tu cherches la marave, ça finit toujours par te courir après et parfois, ne plus te lâcher. Et là t'es dans la merde, surtout quand ces gars se vengent des marques pas très hétéro que tu leur a laissées dans le cou. Si on veut parler de Tell, on fera forcément un pavé répétitif. Il faut le voir pour y croire, comme dirait l'autre.

C'est pas bien compliqué : Tell fume, Tell se bat, Tell ricane, parce que Tell provoque. Et Tell, il a un putain d'accent allemand qu'il arrive pas à perdre. Il cherche souvent ses mots, mais ça c'est la fatigue, et l'effets des nuits passées devant la télé ou les jeux vidées à grignotter des biscuits. Il lui arrive de se tromper de mots, mais c'est jamais bien grave. Je parle de l'accent parce qu'il est important chez Tell. Ca révèle qu'il est trop flemmard pour faire des efforts qui l'aideraient à se faire comprendre, ça révèle qu'il est trop crevé pour mettre son cerveau en marche, et ça révèle que ça lui fait perdre vachement de crédibilité; et ça lui vaut des ''Tu te fous de ma gueule ?'' ou ''Tu dis d'la merde.'' à longueur de journée. Quand il décide de parler.

Mais Hardings, c'est un Homme, un humain comme n'importe quel autre. Evidemment qu'il a des contacts pas trop négatifs. Evidemment que certaines personnes arrivent à lui faire lâcher un sourire sans ombre de mépris ni moquerie. Evidemment qu'il a déjà serré quelqu'un dans les bras sans sale idée derrière la tête. Lui aussi il sais rire et profiter avec douceur. Il sait fait le gentil garçon et le garçon bagarreur. Hagen et Tell. Lui-même et son frère. Et sans qu'il s'en rende compte, son frère est devenue une partie de lui.
ach
« vielleicht besser, fick mich »
Si on vous parle de son histoire simplement à la citer vaguement sans détails, personne ne comprendra la complexité psychologique de Tell. Et comme on dit, « Ce n'est pas nous qui faisons l'histoire, c'est l'histoire qui nous fait. » Alors forcément, avant le principal élément perturbateur de son passé, Tell était un garçon simple. Juste un petit garçon de dix ans comme on en trouve partout : Il aimait le football, les films d'action, embêter les filles et les jeux vidéos de voiture. Forcément, quelques petits détails le détachaient de la masse, mais les citer serait trop inutile, on sait déjà que chacun est untique. Et si Tell est comme ça maintenant, ça ne vient pas d'un caractère dur qu'il aurait toujours eu mais bien des étapes qui l'ont construit.

Arg. Réveil dur, et tes yeux ne veulent pas s'ouvrir. Mais ils le doivent, et toi tu dois te lever, bien qu'un réveil en sursaut par une porte qui s'ouvre bruyamment ne soit sûrement pas la meilleure façon d'emerger facilement. Tant pis; tu pousses ta couette sur le côté, te forces à te mettre debout et files à la douche pour être sûr d'être bien réveillé et d'avoir toute ta tête. Tu remues les éléments du début de la journée dans ton esprit : C'est les vacances, pas besoin de se dépêcher pour faire quoi que ce soit, mais ton père a préféré te réveiller en ouvrant violemment la porte de ta chambre que te laisser émerger seul grace à ton réveil.
Pourquoi ? Honnêtement, pour rien. Rien du tout. Et pour nourrir le cliché du pauvre enfant battu et mal aimé, tu te poses toujours cette même question : « Pourquoi moi et pas lui ? » Certes, tu te la poses, mais toi t'y cherches des réponses. T'y réfléchis sérieusement, essayant de rassembler les arguments et les raisons bonnes ou mauvaises. Alors oui, effectivement c'est difficile pour un enfant de dix ans d'être assez mature pour en savoir un peu sur les pensées intérieures et peut-être inconscientes qui auraient poussé son père à être comme ça, et c'est difficile de défaire le vrai bien du vrai mal pour savoir précisément où et comment ils doivent être dosés de façons à ce que ça soit logique et juste. Ça n'est pas simplement difficile, c'est impossible. Alors tu as ta propre vision des choses, ta propre vue de la départie du ying et du yang, et ton esprit d'enfant te permet seulement d'arranger ta propre logique des choses à ta façon, pour que tu ne soit pas trop triste et que tu puisses quand même vivre sans te sentir rabaissé à longueur de temps. C'est inconscient, mais logique.

Une fois que la douche est terminée, on connait le rituel. Après ces questions intérieures habituelles qui ont allongé ta douche de quelques dix minutes, tu te sèches, t'essores les cheveux et t'habilles, puis arrive dans le salon avec le coeur qui bat vite. Il bat vraiment vite, et dans ta tête, tu lui ordonnes de toutes les façons possible de se taire. Tu as peur qu'on l'entende. Mais il n'en fait qu'à sa tête. Et tu abandonnes. Tu trembles un peu, mais rien de très voyant. Ça aussi, tu aimerais pouvoir le stopper. Comme si t'était pas déjà assez faible. Et tu te mords la lèvre sans douceur.
Après quelques pas, tu dis bonjour à ton père et salut à ton frère. Non, Tell n'a pas la tête baissée comme dans les films où les enfants sont maltraités par leurs parents, non il n'est pas couvert d'hématomes, non il n'est pas habillé en guenilles avec les cheveux secs et ébouriffés. Tell est un garçon complètement normal, comme cité plus haut; il a juste ce chagrin que chacun a dans sa vie et qui nous fait dire c'est trop beau pour être vrai, il va forcément se passer quelque chose quand il semble disparaitre. Et, comme chaque garçon complètement normal, ce chagrin ne se voit pas sur son visage. D'ailleurs, arrêtons de l'appeller Tell. Parce que Tell n'est pas son vrai nom, et ça vous le comprendrez plus tard. Le Tell Hardings à propos duquel j'écris n'est pas Tell Hardings, il est Hagen Hardings. C'est son frère qui est Tell Hardings. Et bon à savoir : Tell et Hagen sont jumeaux. Voilà pour le petit plus. Parlons ensuite de ce chagrin psychologique, parce que c'est le fruit de son histoire et surtout les racines de ce qu'il est maintenant. Donc remontons dans le temps.

Avril, Allemange. Un village tranquille, cinq-cent habitants dont beaucoup d'enfants. Le père et la mère Hardings vivaient seuls dans une petite maison type de vieux village. Pas de problèmes avec l'entourage, l'argent ou les relations conjugales : tout allait bien. En septembre, les spermatozoïdes auront fait leur voyage du col de l'utérus jusqu'à remonter par les trompes et dire bonjour d'un coup de tête à l'ovule. Ils auront fusionné, se seront unis et auront crée la cellule spéciale qui se transformera en Tell et Hagen, fera crier Maman de douleur, et s'inquieter Papa qui, à cette époque-là est un déjà un ancien motard stéréotypé mais toujours à la limite de l'alcoolisme et fumeur. Il est violent, aussi, pour alimenter le stéréotype du vieux motard bourrin. Un petit sejour à l'hôpital, des larmes autant de bonheur que de douleur et voilà les jumeaux. Jumeaux aimés par leurs parents, comme des enfants normaux. Ils seront ces enfants normaux jusqu'à ce que leur père sorte en bars de plus en plus souvent pour décompresser égoïstement de l'ambiance de pleurs et cris de bébés à la maison. Et il redeviendra alcoolique sans même s'en rendre compte.

Nous sommes dans les années des 10 ans des deux jumeaux des amis et sont à l'école. Tell est plus bagarreur qu'Hagen qui préfère rester calme et dans son coin. Pas du genre de l'enfant ténébreux qui ne veut parler à personne, mais plutôt la lopette qui ne veut pas faire du foot ou des éperviers par peur de se faire mal, et aussi - surtout - parce qu'il est vachement mauvais joueur. Et il s'en rend bien compte. Il en a honte. Ce sont des jumeaux différents dont l'un est forcément préféré par l'alcoolisme de leur père. Je cite l'alcoolisme parce que leur père est père, c'est un vrai père, donc un père qui aime ses enfants et les chérit l'un autant que l'autre; et l'autre autant que l'un. L'alcoolisme l'empêche d'agir comme ça et contredit ses sentiments qui laissent place à une rage agressive plutôt qu'à des bras câlins. Et Hagen est rejeté. Vous vous demandez forcément la raison. Simplement parce que Tell est plus bagarreur, plus courageux qu'Hagen, et donc plus proche du caractère de son père qui commence à l'emmener en cachette dans les bars de l'après-midi ou du matin avec lui, lui faisant volontiers boire quatre ou cinq gorgées dans ses bières. Puis un peu moins de trois ans plus tard, ces gorgées deviennent des bouteilles de bière, puis ces bouteilles, des fonds de whisky. Tout ça pendant quelques années, et pour une excuse valable, le père dira qu'il emmène leur deux fils au parc d'attractions. Excuse de merde, mais qui tient la route face à la naïveté de leur mère, et surtout le peu de preuves qu'elle a pour justifier une éventuelle contradiction. Hagen, lui, reste seul à la maison de 9h à 22h sans compter le temps de cours, pendant que Mina, sa mère qui travaille dans un petit restaurant au salaire plutôt bon et que son frère, à 14 ans, est maintenant habitué à se bourrer la gueule avec son père juste assez conscient pour attendre la fin de la cuite avant de rentrer. Et ils sont pas si cons, ces deux. Il se démerdent pour rentrer juste avant 22h, complètement nettoyés de l'odeur d'alcool et de cigarette qui traine dans le bar et ainsi pouvoir faire croire à leur mère et femme qu'après les cours, Tell rentre bien pour faire ses devoirs et que son père arrive effectivement en même temps que lui après avoir été chercher son fils. Et icognito, la famille suit un cours faussement normal.

Et avec ça, toujours laissé de côté sans pouvoir y faire grand chose, Hagen a développé un besoin de se rendre intéressant. C'est plus que normal. Il raconte des mensonges aux connaissances du collège, il s'invente une vie et finit par y croire. Il finit par y croire parce qu'il n'a plus que ça à quoi se raccrocher. Les deux hommes de la famille l'oublient, et sa mère ne sait rien. Et il finit par y croire si fort qu'après avoir raconté qu'il avait des pouvoirs magiques, il s'est senti obligé de le prouver. Vous allez me dire qu'à 14 ans, on ne croit plus à tout ça. Mais Hagen n'a jamais vraiment eu d'amis, donc personne à qui se comparer - et il n'en parlait pas à ses parents, puisque tout ça semblait si logique pour lui - ; je vous l'ai dit : trop peu courageux pour se mêler aux jeux sportifs des autres. Et forcément, comme ces activités étaient le principal sujet de conversation, le petit se faisait rejeter. Ça parait horrible mais c'est le cours normal des choses. Vous ne voudriez pas de quelqu'un qui ne connait pas votre seul sujet de conversation et répète sans arrêt qu'il n'aime pas ça ? Pour les bandes d'amis éphémères d'Hagen, c'était la même chose. Revenons-en à ses habitudes mythomanes.
Le jour où Hagen a dit qu'il pouvait contrôler les autres à distance, imaginez bien que tous ses pseudos-amis ont rit à s'en arracher la gorge. A cette époque, c'était complètement inventé et ça faisait partie des nombreux essais qu'il s'était tué à mettre en place pour acquérir un peu d'intérêt. Mais le gamin a fait ses preuves : Un gars qui court dans le terrain de foot; Hagen ferme les yeux, se force à vouloir qu'il fasse un mauvais mouvement, et ce gars tombe. Au début, c'était plutôt hasards et mensonges - du moins c'est ce qu'il en pensait, lui autant que ses ''amis'' - ; il choisissait les mecs les moins doués pour courir. Mais au bout d'un certain moment, déjà dans son propre monde, il s'est dit que c'était peut-être sérieusement vrai. Alors il a essayé, d'abord avec son frère et son père. Il s'imaginait les voir se retrouver soudainement dans l'incapacité de bouger un pied, et ils s'étalaient au sol sans rien comprendre. C'était vraiment marrant, et excitant pour la haine qu'Hagen portait à son père et son jumeau. Alors il a continué.

Au fond, n'importe quel enfant aurait eu peur de ces capacités. Mais pas Hagen. Parce qu'il y avait toujours cru, il avait toujours voulu croire à cette fausse vie qu'il avait espéré avoir, et il a fini par l'avoir. Sauf qu'au lieu d'être rejeté pour son ignorance et sa différence, il en était devenu une bête de cirque, quoiqu'il avait apprit à s'enfuir quand il le voulait. Ses camarades lui demandaient des preuves, il se retrouvait souvent au milieu de bastons dont il était le premier sujet et était la risée du personnel de son collège. A ces personnes, on dit souvent d'ignorer les moqueries. Mais c'est dur. C'est trop dur pour un enfant à qui on n'a jamais donné l'occasion d'avoir confiance en lui. Alors il partait en courant et allait pleurer dans un coin de la cour. Il était sensible, et ça allait en grandissant. Il a finit par avoir peur d'être approché, puis c'est devenu un dégoût. Alors on ne l'approchait plus, parce qu'à 15 ans, il s'est dit qu'il était temps d'apprendre à se servir de ses poings, et avec toute l'envie de vengeance que son manque d'affection pour lui-même lui avait donné, il a réussi.
Puis c'est avec son frère qu'il se battait. Parce qu'on savait que le grand Tell et le petit Hagen étaient jumeaux, et quand les collégiens se lassaient de déverser leurs moqueries sur Hagen, ils allaient voir Tell. Et Tell n'a pas aimé. Son alcoolisme confirmé n'a pas aimé non plus. Et Hagen a détesté.

Des bastons à la maison, sur le chemin du retour quand ils devaient rentrer seuls, en cours. Des petites guerres à deux éclataient au milieu de nulle part et l'élément déclencheur était toujours Tell. Son frère n'a jamais rien espéré de plus qu'un peu d'amour mal demandé.
La derniere baston, c'était derrière le lycée. A cette époque, Mina était partie travailler en France et avait laissé ses deux fils et son mari se débrouiller en Allemagne, comptant naïvement sur eux.

« J'ai rien à perdre. Je peux essayer. Ça serait trop beau pour être vrai. Et si c'était vrai, ça serait beau. Alors pourquoi je regretterais ? Je vais le faire. Je vais lancer un sort à ce connard. Et on n'en entendra plus parler. Je me barrerais vite de là. Je me débrouillerais. » Ces paroles entre guillemets sont en ce moment prononcées dans l'esprit d'Hagen qui est étendu au sol, dans un sacré mauvais état. Et une conscience en laquelle il n'a pas confiance ne cesse de le contredire. Il saigne des coups de son frère, il a des bleus et des cicatrices partout sur le corps. Tell a bu la moitié d'une bouteille de whisky, une bière et un fond de vodka. Hagen s'en doute, son frère pue l'alcool; parce que maintenant que maman est partie et qu'on peut menacer Hagen de tout ce qu'on veut, plus besoin de se cacher.

En mélangeant violence et force de fillette, tu attrapes son bras, l'écartes de ta gorge et prie pour le paralyser. Tu paralyses son autre bas, son torse, son cou, ses jambes, ses pieds, ses yeux pendant qu'ils sont fermés. Et ces membres, un à un reprennent conscience, mais pas leur possesseur. Il ne comprend pas. Et c'est ses yeux qui sont finalement réutilisables en dernier. Toi, t'as eu le temps de te cacher un peu plus loin, pourtant toujours à la vue de ton agresseur. Puis tu cours jusqu'à La Falaise. Celle cachée derrière les maisons, celle où les jeunes viennent fumer, la falaise près de laquelle on vient faire un pique-nique en amoureux, la haute roche dont on a peur pour ses quelques dizaines de mètres de haut, là où des amateurs de sensations fortes ont souvent échoué en voulant installer une tyrolienne. Et tu cours. Et tu te stoppes brusquement quelques mètres avant. Et ton frère est à la traine. Ton coeur bat plus vite que jamais, tu sens ses battements dans ta tête, dans tes poignets, dans ton cou, et ça résonne dans tes oreilles. Puis Tell arrive, et il n'y a plus que ça qui compte. Ton coeur semble disparaitre momentanément. Tu sais que tu dois réussir, parce que sinon tu n'auras pas le courage de le refaire. Il n'a pas le temps de s'arrêter, son cerveau met trop de temps à réagir, et il continue à courir dans le vide pendant que toi tu t'enfuies en tremblant, les larmes déjà jusqu'au cou et l'impression que ton coeur va lâcher. Tu te caches. Et tu t'évanouis pour la nuit.

Ton père ne s'en était pas méfié. Ce jour-là était sûrement un des jours où il préférait rester au bar jusqu'au matin, alors que toi tu étais caché, à l'abri de toutes personnes qui aurait pu vouloir te porter secours. Je vous épargnerais des détails du réveil trop banal où Hagen ne sait plus où il est, ne croit pas à ce qui s'est passé la veille bien qu'il s'en souvienne parfaitement. Bref. Avec quelques trente euros qu'il a dans son sac, il part chez le coiffeur pour couper ses cheveux à la manière de ceux de son frère, et ne plus jamais être reconnu en tant qu'Hagen Hardings. Parce que s'il était rentré en tant qu'Hagen, son père l'aurait tué au sens propre. Et une fois que ses nouveaux cheveux qui premettrait aux gens de le confondre parfaitement avec son ancien frère sont prêts, il court chez la police pour signaler la disparition de son frère Hagen Hardings. Et voilà qui est fait. Il peut rentrer sans risques en se faisant passer pour son frère jusqu'à ses derniers jours. Alors maintenant, vous pouvez l'appeller Tell.

N'allez pas croire qu'il a tué son frère en tout assurance. Tell a des regrets. Des putains de regrets qu'ici, au pensionnat Aomori, il n'a pas oubliés. Il sait ce qu'il a fait, il sait que c'est lui qui l'a fait, et le meilleur est qu'il sait pourquoi il l'a fait. Heureusement qu'il connait la raison, sinon ces regrets l'auraient sûrement tué.

L'ancien motard est encore très peu conscient et Tell joue mal le rôle de son jumeau. Le père n'a pas l'air de regretter grand chose par rapport au fait que le vrai Hagen est censé être mort, et le fils a une peur tremblée de cet homme. Il ne se contrôle pas, et ses expression anxieuses se voient bien sur son visage. Si bien que ce parternel, dans sa logique imbibée de mauvais whisky, prend son fils pour un fou. Et qu'il l'envoie à Aomori, considérant ce pensionnat comme un pensionnat de fous.

Et Hagen s'appelle maintenant Tell. Il a horreur de ce prénom qui lui fout la gerbe. Alors si on lui demande de se présenter, on ne connaitra rien d'autre que le fait qu'on doit l'appeller Hardings. Et sa famille ne lui manque pas. Sa mère est sûrement rentrée en Allemagne à se faire battre par son père, mais le temps lui a apprit à s'en foutre.

Crédits +++++ pour Kylian Shepherd parce que c'est lui m'a donné l'idée de départ pour l'histoire. Ouais j'me sentais obligé.
personal Jesus
« stayin' alive »

Paralysie. Ça vous dit sûrement quelque chose. Ça a commencé par l'immobilisation d'une articulation, puis Tell a réussi à garder les yeux de ses victimes fermés pendant la moitié d'une minute, et si la colère l'y pousse vraiment, il pourrait être capable de réussir à stopper l'activité du cerveau pendant quelques secondes. Les effets ne durent pas plus de deux secondes si Tell ne force pas. Mais ça fait executer beaucoup d'effort psychologique, alors généralement il évite d'utiliser ce pouvoir en forcant. Simplement espérer la paralysie éphémère d'un d'oeil, d'un genou, d'un bras ou d'une jambe ne lui coûtera rien, et heureusement pour lui parce que je mentirais si je disais que Tell maîtrise parfaitement son pouvoir.
A partir du moment où son esprit détecte une volonté consciente ou non d'appliquer cette paralysique, elle s'appliquera. Alors que l'allemand jure, grogne, parle ou pense à propos de ce pouvoir, il risque d'envoyer quelqu'un à l'hôpital. Sans s'en rendre compte, il s'en sert assez souvent; et consciemment, très peu. Même en baston; il tient à garder un peu de dignité. Quoiqu'il lui arrive de tricher, c'est toujours mieux que de partir en courant.

Se défendre ou agresser, son pouvoir ne lui sert qu'à ça finalement. Ça doit venir de la façon dont son enfance été traitée.
derrière l'écran se cache...
« my blanket covers me, yeah »

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• ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Quelques mots.
• PARRAINÉ ? Nope, j'ai trouvé le forum en fouillant des des partenaires.
• DOUBLE COMPTE ? Nope, vrai newbie.
• CODE ? tortues ninja !
• C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE


Dernière édition par Tell Hardings le Dim 12 Aoû - 21:22, édité 9 fois
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Hoang Anh Nguyen
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeLun 23 Juil - 14:53

Bienvenue. ♥
Ich Liebe dich (ou un truc comme ça) (le jour de la fête nationale, j'ai appris qu'en Belgique on parlait aussi Allemand) 8D
Bonne chaance pour la fin de ta fiche ! ♥
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeLun 23 Juil - 16:22

Merci !
Ouais, c'est bien ich liebe dich, sans majuscule au l. Et en Belgique c'est le flammand nan ? Ou peut-être qu'on y parle allemand aussi. Le flammand c'est comme le néerlandais. Ca ressemble à un mélange d'anglais et d'allemand.

Voilà voilà, je vais pas flood.
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Hoang Anh Nguyen
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeLun 23 Juil - 17:47

De rien. ♥ ;w;
Oui, justement. 8D On y parle le français, le néerlandais (flamand), et ... l'allemand, et jusque y a quelques jours, je le savais pas, alors que j'y vis. 8D
(comme tu dis, je vais pas flooder plus) (j'ai honte)
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Tell Hardings
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeLun 23 Juil - 19:49

Ah ben tu m'apprends quelque chose alors. Bon allez. Stop flood.
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Kazuyoshi J. D’Artensec
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMar 24 Juil - 0:48

Splach, bem, graou. Hardings. Tu_veu10

La seule chose que je sais dire en Allemand, c'est vive le Chef, en l’occurrence, Hitler. On évitera. Juste, j'aime ton avatar. Simple mais efficace. C'cool. Vraiment.
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMar 24 Juil - 22:38

Ah ben tiens, j'sais pas dire ça. Mais je tiens pas non plus à la savoir. Quoique. :face:
Et merci. J'l'ai fait à la va-vite. J'aime pas quand les vava sont trop chargés. J'les préfère simples aussi.
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Gabrielle R. Mavridis
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMar 24 Juil - 23:01

Bienvenue Lewin ! Bon courage pour ta fiche, j'aime beaucoup ton avatar, et je sens que ton personnage va être cool ! [et je ne parle pas un mot d'allemand. enfin je sais dire "je t'aime", "bonjour", et "je suis très fatiguée", alors...]
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMer 25 Juil - 10:30

Guten tag und willkommen ~ ; D
Ah le collège et les tois ans d'allemands...
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Jamey D. Anderson
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMer 25 Juil - 10:51

(Aaaah le néerlandais... une si belle langue... hum x)...)

Bon ben bienvenue hein ^_^ Viel Spaß in Aomoriii ! (Du coup on te fait le défilé de deutsch sur ta fiche o/)
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Kido Mekushi
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMer 25 Juil - 14:22

Hey. Welcome at Aomori. Watashi wa Kido desu. I can Help you if you .. Ouais bon t'as pigé. Bienvenue et retourne faire ta fiche chou. 8D //SORT//
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeMer 25 Juil - 17:03

Achhh, et j'vous dis danke pour alimenter le défilé. J'vais tâcher d'y penser, á, la finir, ouais.

Kido, c'toi le chou.
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Kain Okada
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeDim 5 Aoû - 18:04

Hello :3 Je sais que tu es actif et tout mais j'aimerai savoir si tu as besoin d'un délai en plus ? Voilà voilà~
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeDim 12 Aoû - 18:59

Fiche terminée. Enfiiiiiiiiiin. Elle est imbibée de la sueur de mes efforts, je prie pour que tout aille bien. D8
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Sasykki Yamakuni
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeDim 12 Aoû - 20:57

Genre comme tu fous un vent à Kain.

Bhon. Je passe pour valider ta fiche ♥
J'ai beaucoup aimé l'histoire, vraiment. Après, l'utilisation de la 2nde personne m'a jamais trop plu, mais c't'une manière comme une autre :D

Il subsiste quelques légers détails qui me gênent. Tout d'abord : pas de date exacte. Tu peux mettre un " 31 Janvier ", pas un " 31 Janvier 2004 ". Tu vois?

Ensuite. Manque le code, go lire le règlement mon chou ♥

Pour l'année, t'es en première année, je corrige ça moua même. Ce sont de petits détails, j'espère que tu ne m'en veux pas trop de chipoter ♥

Voualà voualà. Corrige moi tout ça & je te valide illico. Au plaisir ♥
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeDim 12 Aoû - 21:08

Non non c'bon, je redoutais juste des changements dans l'histoire. J'fais tout ça.

Edit : Voiilà, tout fait. Et puis pour le vent, dsl dsl pardn jm'exkuz, j'avais pas vu. Bref. FINI.
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Sasykki Yamakuni
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitimeDim 12 Aoû - 21:48

Perfect. Dooonc, je te valide, une de nos splendides Admines passera te donner tes 30 Ceriz's & ta jolie couleur violette ♥

So. Maintenant, tu vas pouvoir bien sûr RP, mais aussi faire ta Fiche de Liens, t'inscrire à un Club... M'enfin, j'te laisse voir tout ça ~

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Amuse toua bien à Aomori ♥
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MessageSujet: Re: Splach, bem, graou. Hardings.   Splach, bem, graou. Hardings. Icon_minitime

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Splach, bem, graou. Hardings.

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