le petit oiseau va sortir ~

feat Inconnue/ Yume no Hana

• NOM Soga • PRÉNOM(S) Kyoko • AGE 16 ans • CIVILITÉ mariée, célibataire, divorcée • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ bi, homo, hétéro • GROUPE Spirit’s Key • POUVOIRTélékinésie

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Kyoko est une jeune fille d’1m69 environ, mince dans le genre musclée et sportive. Ayant pratiqué la gymnastique et les arts martiaux depuis des années, elle possède une souplesse impressionnante et si sa force est plutôt commune (comprendre très peu développée) sa technique est très efficace.
On peut dire qu’elle est belle mais c’est une beauté froide, insensible, sensation renforcée par ses yeux rouge sang (effet aimablement réalisé par des lentilles colorées bien sûr). Une mèche de cheveux cache son œil gauche, rendu aveugle par une mauvaise manip’ incluant une grosse colère, quelques objets volants et une fenêtre cassée. Mis à part cette mèche, elle attache ses cheveux noirs aux vagues reflets bleutés en une ou deux tresses, parfois en queue de cheval mais ne les détache jamais. Son corps, fin et élancé, est doté de formes plutôt… marquées, ce qui n’est pas très pratique pour passer inaperçu, mais tant mieux puisque tel n’est pas le but.
Kyoko est une fille qui pourrait être magnifique, mais sa moue perpetuelle font qu’elle repousse les gens plus qu’elle ne les attirent, et son sourire est dur, quelque peu cruel, et bien souvent narquois, ce qui n’invite pas franchement à venir papoter. Son regard, gris acier à la base, rouge grâce à ses lentilles, est glacial, calculateur et volontairement provocateur.
Niveau fringues, vous ne la verrez jamais sans un jean (slim généralement)ou un short l’été, sauf circonstances exceptionnelles du genre bal-soirée-cours de gym/sport (et pas de jupe s’il-vous-plait-merci-beaucoup) Elle varie les formes plus que les couleurs en ce qui concerne ses hauts : bustiers, débardeurs, pulls moulant ou T-shirt amples, n’existent pour elle qu’en trois coloris : noir, gris et rouge. Elle arbore peu de bijoux et ne se maquille qu’en de très rare d’occasions (voir circonstances exceptionnelles).

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

S’il fallait faire court, je dirais que le physique de Kyoko résume plutôt bien son caractère, mais il faut faire long, et puis ce ne serait pas totalement vrai…
Comme vous l’aurez sans doute compris, Kyoko n’est pas le genre de fille qui se fait des amis en un claquement de doigts ou qui va naturellement parler aux autres. C’est en fait tout le contraire, puisque moins elle a de contacts avec les autres et mieux elle se porte. Elle n’a pour ainsi dire aucun amis et si l’on peut penser que cette façade froide est une carapace pour se protéger de quelque chose, eh bien pas du tout ! Kyoko adore son pouvoir et en profite à fond, même si ce n’est pas toujours dans des buts très honnêtes.
Très franche, elle n’hésite pas à dire ce qu’elle pense, quelles qu’en soient les conséquences, et vexer les gens ou être punie n’a jamais été un obstacle. Rien ne lui fait plus plaisir que d’avoir raison, elle est très tetue et extrèmement fière et orgueilleuse. Elle veut toujours contrôler, ce qui amplifie sa haine pour toutes les formes d’autorité et tout ce qui s’y rapporte (règles, interdits et autres…). Son sourire narquois et sa franchise passent bien souvent pour de l’insolence (ce qui n’est pas totalement faux soit dit en passant), ce qui lui vaut régulièrement des punitions de tout genres.
Kyoko a quatre grandes passions dans la vie : les motos, la gym, les arts martiaux et (étonnement ?) la lecture . Lorsqu’elle n’est pas partie faire exploser quelques radars automatiques par sa vitesse bien trop élevée pour sa santé (permis moto passé dès ses 16 ans bien qu'elle n'ai pas encore le droit de conduire des grosses cylindrées), qu’elle n’est pas sur un praticable à enchainer les flip et les saltos arrière, vous la trouverez ou sur un tatami à faire mordre la poussière à quelques gros balourds ou dans son lit à lire un épais volume traitant de biologie moléculaire ou de philosophie. Bien qu’ayant soif de connaissances (cf sa bibliothèque), Kyoko n’est pas exactement assidue en cours. Elle est plutôt abonnée aux heures de colles pour absence ou retard aux (rares) cours qu’elle consent à suivre (toujours cette histoire d’autorité, les profs lui hérissent le poil !)
La franchise de Kyoko fait qu’elle est incapable de cacher ses sentiments et elle est de ce fait une très mauvaise comédienne. Depuis la découverte de ses pouvoirs, elle travaille avec acharnement sur son self-control dans le but d’éviter quelques menus accidents comme la perte de son œil gauche. Elle est également très rancunière et le pardon ne lui vient pas naturellement. Sa propre fierté l’empeche quant à elle de s’excuser et elle est très douée pour trouver des justifications à ses actes.

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »
.:. 21 Juin ~ 0 min .:.

L’histoire de Kyoko Soga commence par une nuit froide et sans lune… Non en fait c’était par un chaud après-midi de Juin, lorsque Kagami Soga donna naissance à son second enfant, une jolie petite fille. Kagami est architecte et son mari, Nobunori redacteur en chef d’un célèbre journal japonais, le Yomiuri Shimbun. Kyoko naquit donc dans une famille très aisée et très fière de son arbre généalogique qui comprend des deux côtés de nombreux Anormaux possédant des pouvoirs divers et variés. Très occupés, Kagami et Nobunori ne sont pas très présents pour leurs enfants, Kyoko et Daisuke, de 6 ans son aîné. Ils sont de ces parents qui croient que l’argent achete tout et ils payent tout à leurs enfants. Daisuke devient un gosse pourri gâté qui clame à qui veut l’entendre qu’il sera le prochain Soga doté de pouvoirs tandis que Kyoko grandit plus normalement, rêvant comme tant de petites filles au prince charmant et se laissant parfois aller à imaginer ce qu’elle ferait si elle avait des pouvoirs. Elle se voyait en Catwoman, la belle justicière et s’imaginait aimée, adulée. C’était une enfant joyeuse, palliant l’absence de ses parents par de nombreux amis comme elle, dont les parents étaient de riches magnat de l’immobilier, d’importants banquiers ou de célèbres acteurs.

.:. 10 ans plus tard .:.

Kyoko a 10 ans, elle et sa famille partirent un mois aux Caraïbes pour les vacances comme tout les ans. Daisuke était de plus en plus insupportable car, à 16 ans, aucun pouvoir ne s’était encore manifesté. Il restait des heures dans l’eau avec un regard concentr et faisait des gestes étranges dans l’air pour voir s’il arrivait à manipuler l’eau,il sautaitde falaises de plus en plus hautes dans l’espoir de se transformer en aigle ou en brume entre le sommet et l’eau qui l’attendait en bas, vous fixait d’un air concentré pour tenter de dechiffrer vos pensées ou donnait des ordres incongrus en vous tenant la main. Rien ne marchait. Pendant le vol de retour, il s’illumina : il avait le don de télékinésie ! Il s’amusa à faire voler toutes sortes d’objets dans k’habitacle de l’avion privé devant les yeux de Kyoko, émerveillée. Orgueilleux comme il l’était, il s’attaqua à des objets de plus en plus gros mais il ne maitrisait pas son pouvoir, il fit léviter toutes les personnes de l’avion, pilote et copilote compris.Paniqué, il tenta de rompre la léviation mais sans succès. Privé de pilote l’avion commenca à piquer du nez et à plonger vers le sol. L’effort qui lui coutait le maintien en l’air de 5 personnes sans qu’il puisse le stopper eut raison des forces de Daisuke qui s’évanouit. La chute des corps sur le plancher de l’avion fut si brutal que tous sombrèrent dans l’inconscience tandis que l’avion continuait sa chute mortelle…

.:. 2 month later .:.

Kyoko se réveille dans une salle blanche. Elle est à l’hopital et sort d’un coma qui aura duré plus d’un mois. Elle est la seule survivante du tragique accident d’avion qui a couté la vie à Nobunori, Kagami et Daisuke Soga ainsi qu’aux deux pilotes. Les médecins la regardent avec une surprise mêlée de crainte. Kyoko se dit qu’ils ne pensaient pas qu’elle se réveillerait, mais un psychologue lui explique qu’on l’a retrouvée à une centaine de mètre de l’avion en flamme, flottant à quelques centimètres du sol, sans la moindre égratignure et les yeux grands ouverts. Lorsque deux secouristes l’ont touchée, elle est retombée comme une poupe de chiffon et elle est plongée dans le coma depuis ce moment.

.:. 16 ans et 10 mois .:.

Kyoko regarde avec une pointe (toute petite la pointe) de nostalgie le vieux batiment décrépi qui lui a servi de maison après l’orphelinat. Mais je brule des étapes, car il s’en est passé des choses depuis ce réveil à l’hopital.
Ses parents morts, ce sont ses grands-parents maternels qui auraient du la recueillir, les paternels étant décédés depuis quelques années. Mais à leur visite à l’hopital ils avaient expliqué sèchement qu’ils n’avaient pas que cela à faire de garder une orpheline. Ils n’en avaient visiblement rien à faire d’elle et, étrangement, elle le leur rendait bien. Le seul moment où elle parut prendre un peu d’interêt à leur yeux fut lorsque le psy évoqua de quelle manière ils avaient récupéré Kyoko. Une étincelle d’interêt s’était alors allumée dans l’œil de son grand-père mais sa grand-mère avait coupé le médecin d’un « N’importe quoi » sec et sans équivoque. Kyoko les avaient ensuite entendu discuté « trop jeune…résidus…Daisuke… Inutile. » Et ils étaient partis. Elle avait perdu ses amis, qui la traitant désormais en paria, elle avait quitté sa grande maison pour aller à l’orphelinat où, elle le savait, la manière étrange dont elle avait survecu ne lui attirerait que des inimitiés. Les gens ont peur de ce qu’ils ne comprennent pas et, assurément, une petite fille qui survivait à un accident d’avion et que l’on retrouvait flottant au dessus du sol, ce n’était pas compréhensible. Mais Kyoko ne s’en inquiéta pas. Elle s’isola, apprit à apprecier la solitude et, au lieu de dépenser ce que ses parents lui avaient, bien malgré eux, laissé en futilités, elle continua la gymnastique et les arts martiaux, ce qui lui permettait d’échapper aux enfants bagarreurs qui la traitaient de monstre. A partir de 12 ans, de petits accidents survinrent, le lapin d’une pensionnaire qui s’était moquée de Kyoko se retrouva sur le toit de l’orphelinat. Le portable qui était dans la poche d’un gamin finit dans la flaque d’eau qui était sous la fenetre sans que l’enfant ne bouge de sa place. Les robes des petites pestes se soulevaient comme par magie même lorsqu’il n’y avait pas de vent… Kyoko avait décuvert son pouvoir et s’en servait pour se venger. Personne ne pouvait l’accuser publiquement mais tout le monde fit le rapprochement entre la petite fille qui flottait et les objets qui se mettaient à voler dans l’orphelinat.

Lorsqu’elle eut 13 ans, la directrice appela ses grand-parents car Kyoko s’amusait maintenant à faire volontairement peur aux autres lorsqu’on l’embetait. Une violente dispute éclata dans sa chambre lorsque son grand-père lui expliqua qu’il l’emmenait chez eux. Sous le coup de la colère, tout les objets de la pièce se mirent à voler dans tout les sens, sans que Kyoko ne les contrôle. La fenêtre éclata et des morceaux de verres volèrent dans la pièce avec hargne, s’attaquant aux deux sexagénaires qui restaient cependant d’un calme olympien. Un minuscule éclat de verre vola soudain dans la direction de Kyoko et se ficha dans son œil. Elle hurla et ses jambes la lachèrent tandis que tout les objets de la pièce retombaient sur le sol avec fracas. Kyoko se réveilla de nouveaux à l’hopital, après seulement 10 jours d’inconscience. Son œil gauche refusait de voir, et un médecin lui expliqua qu’ils ne pouvaient extraire l’éclat de verre, la rendant borgne.


Elle n’eut d’autre choix que suivre ses grands-parents, déterminée à leur pourrir la vie. Seulement voila, ils étaient à peu près aussi absents que ses parents avant leur disparition. Alors, pour les embarasser, elle se rebella. Elle séchait les cours, était insolente avec les profs, se battait. Un jour qu’elle était tombée sur plus fort qu’elle, elle fit voler mentalement un gros sac a dos et le laissa tomber sur la tête de son adversaire. En se relevant, elle vit dans les yeux de ses camarades un respect nouveau et une crainte toute aussi nouvelle. Cela lui plut et elle se servit dès lors de la télékinésie pour se faire craindre et aimer à la fois. Elle jouait des tours aux profs en cachant leurs craies, faisait s’envoler leurs sujets d’interros ou reculer leurs chaises au moment où ils allaient s’asseoir. Lorsque quelqu’un venait l’embêter, elle déplacait un sac et le faisait tomber ou le frappait avec ses propres livres de cours. Le directeur du lycée (Kyoko avait maintenant 15 ans) ne pouvait se résoudre à la virer car les donations des Soga étaient plus que substantielles et permettaient à l’établissement d’être à la pointe de la technologie. Kyoko continuait donc ses tours de passe-passe en toute impunité, continuait à sécher les cours et à pourrir la vie de profs tandis que ses grands-parents s’appliquait à faire comme si elle n’existait pas. Un jour, alors qu’elle était en soirée, un jeune homme, visiblement éméché, commença à la suivre et à essayer de l’embrasser. Les quelques piques qu’elle lui lança et qui, habituellement, suffisent à destabiliser un homme sous l’emprise de l’alcool passèrent totalement au-dessus de la tête du garçon qui la plaqua contre un mur et tenta d’introduire sa main la ou il n’aurait pas du. Il se retrouva volant à 15 mètres du sol, terrorisé tandis que tout le monde fixait Kyoko. Un air résolu sur le visage, elle s’apprétait à le lacher en espérant qu’il se fracturerait au moins un ou deux membres, lorsque qu’un jeune homme qu’elle n’avait pas vu lui saisit le bras « Relache-le. S’il te plait. » Troublée par ses paroles, à la fois douces mais indubitablement un ordre, elle reposa le malotru qui s’enfuit sans demander son reste tandis que la foule, silencieuse, faisait cercle autour de Kyoko. Celle-ci, totalement indifférente aux regards de peur des autres jeunes, cherchait du regard le mystérieux jeune homme. Il avait disparu. Quand elle rentra chez elle, elle trouve sur son oreiller un papier sur lequel était inscrit ces quelques mots « Pensionnat Aomori ~ Tu n’es plus seule ! » et au dos, une adresse.

Deux jours ont suffi pour qu’elle prenne sa décision et, en ce lundi matin, Kyoko a réuni les maigres affaires auxquelles elle tient dans un sac à dos et laissé un mot à ses grands-parents déjà partis elle ne sait où. Elle enfourche sa moto (une petite cylindrée fine d'un noir brillant qu'elle s'est payée pour ses 16 ans) et trace sa route sans se poser de questions. Elle arrive deux jours plus tard au Pensionnat Aomori, prête à commencer une nouvelle vie, mais sans la moindre idée de ce qui l’attend. Alors prenant son courage à deux mains, elle pousse la grille et pénètre dans l’enceinte de l’établissement…

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Je disais tout à l’heure que Kyoko adorait son pouvoir, je développe. « Adorer » est un fait un terme trop faible. « Aduler » serait plus exact. Elle en profite à l’excès et s’en sert pour effrayer et impressionner les gens. Elle le maitrise de mieux en mieux bien que sous le coup de la colère il lui échappe un peu trop facilement. Nul besoin de gestes pour déplacer les objets, tout est dans la tête. Elle a atteint un degré de précision asez élevé pour les petits objets mais n’a jamais réussit à soulever quelques chose de plus lourd que 80 kilos et a du mal à faire léviter les gens autres qu’elle-même (sauf quand elle est énervée auquel cas tout s’envole !).

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Naw’ • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Euh… je viens de passer mon bac donc j’entre dans la période passionnante qu’est la vie estudiantine. Que dire d’autre ? Rien, si ce n’est que j’ai hâte de RP !! • PARRAINÉ ? Nop • DOUBLE COMPTE ? Nop • CODE ? Sasy dit que ça va par ici c: • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE C’est mon ultime bafouille .