le petit oiseau va sortir ~

feat - Ryô Bakura / Yu-Gi-Oh!

• NOM Kamimura. • PRÉNOM(S) : Bakura. • AGE : 17 ans. • CIVILITÉ : Célibataire. • SCOLARITÉ : 1ère année. • SEXUALITÉ : Hétérosexuelle. • GROUPE : Heart’s Key. • POUVOIR : Charisme.

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

De par ses origines égyptiennes, Bakura a un teint mat qui a fait craquer plus d'une fille friande de ce côté exotique. Un teint qui contraste étonnamment bien avec la clarté presque incroyable de ses cheveux, d'un gris-blanc semblable à l'argent. A cet étonnant portrait s'ajoute deux pupilles écarlates, dont l'intensité constitue également une arme redoutable lorsque le décoloré se sent des envies « Don-Juantesques »…

En ce qui concerne son corps en lui-même, notre jeune homme est relativement grand puisqu'il frise le mètre quatre-vingt-six. Il est également bien bâti, puisqu’un grand adepte de sport. Il apprécie tout particulièrement le Kendo, ou l’art du sabre, une voie à laquelle il a consacré bien du temps et des efforts pour atteindre un niveau élevé. C'est une activité qui lui est essentielle pour contenir son tempérament quelque peu teigneux, qui lui a joué bien des tours par le passé. En témoigne la cicatrice habilement dissimulée sous un tatouage, qu’il porte sur l’épaule gauche. Le dragon représenté sur sa peau cache en effet l’ancienne plaie provoquée par un coup de poignard, qui aurait très bien pu faire perdre au jeune Kamimura l’usage de son bras…

En ce qui concerne sa tenue vestimentaire, Bakura porte généralement une chemise dont les couleurs varient entre le blanc, le noir ou le bleu sombre, accompagnée d'un pantalon bouclé par une ceinture. Une ceinture spécialement adaptée pour y accrocher son sabre, dont il ne se sépare presque jamais… Du moins, lorsque les lieux l’y autorisent, évidemment. D’une manière générale, on peut dire que le décoloré est un beau garçon. Et il le sait très bien. Le pourquoi de son comportement… et de son pouvoir.. ?

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« ôtons nos masques le temps d'un instant »

La personnalité de Bakura peut paraître extrêmement « simple » à décrire. Ceux qui ne le connaissent que de réputation, ou qui ne l’aiment tout simplement pas, vous diront qu’il n’est qu’un profiteur de bas-étage, un salaud, un connard… Je vous passerai les autres noms d’oiseaux qui l’ont souvent qualifié, mais l’idée est là : il n’a clairement pas le profil du gendre idéal.

Pourtant, en creusant un peu, on peut quand même noter certaines qualités dont il est pourvu. Indéniablement, le jeune égypto-nippon - bien qu’il ne vous parlera jamais de cette double ascendance, privilégiant seulement son côté égyptien – a un sens de l’observation des plus aiguisés. Impossible ou presque de lui mentir sans qu’il ne le sache. D’ailleurs, en parlant de mensonge, Bakura n’en est pas un adepte. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il ne ment absolument jamais. Oh, bien sûr, il pourra occulter certaines choses, ou embellir d’autres, mais ce ne sera jamais un véritable mensonge.

Pour en revenir à son côté observateur, il ne lui sert là encore pas qu’à déceler le mensonge. En effet, le jeune homme use de ce « talent » pour cibler son interlocuteur, et s’adapter à son tempérament suivant ce qu’il veut obtenir de lui. Et comme si cela ne suffisait pas, il dispose d’un véritable don qui ne peut que l’aider dans sa tâche : son Charisme. Mais nous reviendrons plus en détail sur ce point dans l’histoire…

Comme on peut s’en douter malgré ces « qualités », ils amènent des défauts qui justifient les surnoms peu élogieux évoqués plus haut. D’abord, Bakura est quelqu’un d’assez égoïste. S’il peut profiter ou abuser de quelqu’un, en particulier des filles, il ne se privera pas une seconde. Car notre homme, se sachant doté par la nature de toutes les armes nécessaires pour charmer les femmes, ne se prive pas de le faire à chaque occasion. Et le plus redoutable, c’est qu’il ne fait pas toujours appel à son pouvoir pour cela… En clair, il est aussi infidèle que peut l’être de l’argent sur un compte en banque…

Une fois encore, on peut lier ce trait ce caractère à celui qui suit : si Bakura aime les femmes, il exècre à l’inverse les hommes. La gente masculine le rebute au plus haut point, tant et si bien qu’il est presque impossible de le voir discuter normalement avec un autre garçon. Bien sûr, il y est parfois contraint, et il ne cherchera pas systématiquement la bagarre pour autant. Mais ce n’est clairement pas ce qu’il aime. Il n’a aucune envie d’avoir un ami du même sexe.

Enfin, on peut tout de même évoquer une chose qu’il ne dirait pas de lui-même : malgré tous ses – nombreux – défauts, le décoloré reste quelqu’un de loyal. Si d’aventure vous devenez son ami, il saura être présent pour vous aider en cas de coup dur. Il faut juste savoir s’y prendre avec lui, tout simplement…

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Comme tous les enfants, Bakura est né.

…

Ah, vous voulez en savoir plus ? Bon, ok. Mais c’est bien parce que vous me le demandez hein ? °_°

Le jeune homme est donc issu d’une famille à double ascendance, égyptienne du côté de son père, japonaise de par sa mère. Bien qu’il soit donc à moitié japonais, il a passé la première partie de son enfance en Egypte, terre où il est né, et ce jusqu’à l’âge de huit ans. Son père, homme d’affaires à la fortune colossale, et sa mère, une riche descendante d’une illustre famille nippone dont la généalogie remonte jusqu’à l’époque féodale, ne font clairement pas partie de la classe moyenne.
Leur fortune assura évidemment à l’enfant qu’était Bakura à l’époque une éducation des plus huppées, lui permettant, malgré le fait qu’il soit dans un autre pays, de parfaitement apprendre la langue natale de sa mère en même temps qu’il parlait quotidiennement celle de son père. Et si, jusqu’ici, étudier la culture et la langue nippone n’avait jamais été perçu comme une entrave par l’enfant qu’il était, l’adolescent qu’il devint trouva tout cela des plus détestables.

En effet, à ses huit ans donc, sa mère fut prise du mal du pays et voulut retourner vivre au Japon, en raison notamment des obligations qu’elle avait vis-à-vis de ses illustres origines et de son pays natal. Son père étant de toute façon contraint de voyager très régulièrement dans les quatre coins du globe, il ne vit aucun inconvénient à ce qu’ils s’établissent durablement au pays du soleil levant…

Et c’est bien là que le bât blesse. Pas une seule fois il ne fut demandé à Bakura si ça le dérangeait ou non de quitter ses terres natales pour aller dans celles de sa mère, celles dont il était donc en partie descendant et dont il avait la nationalité également. Et pour cause : les parents du jeune garçon qu’il était n’étaient jamais présents pour lui. Oh, bien sûr, ils le couvraient de cadeaux et le confiait aux nourrices les plus fiables qui soient. Néanmoins, cela ne remplaçait en rien l’amour parental, et le jeune homme en a toujours cruellement manqué…

Malgré la tristesse que ressentit Bakura à l’idée de quitter les terres qui l’ont vu grandir, il tenta, avec tout le courage dont pouvait disposer un garçon de huit ans, de s’adapter à sa nouvelle vie au Japon, et de s’intégrer autant que possible auprès de ses nouveaux camarades…

Et ce fut bien plus dur que prévu.

Bien qu’ils se soient installés à Kyoto, l’ex-capitale du Japon et donc grande ville par excellence, l’accueil qui lui fut réservé n’était en rien de ceux auxquels l’enfant s’était attendu. Il s’était douté évidemment qu’être le « nouveau » allait lui apporter quelques difficultés, mais de là à ce qu’on le traite de « Gaijin » à longueur de journée et qu’on le repousse comme s’il avait la peste, voire à ce qu’on le persécute à cause de cela…

Inutile de dire que les premières années à passer ainsi furent tout bonne abominables pour l’égypto-nippon. Pas une fois il ne put bénéficier du soutien de ses parents, constamment absents ou répondant les rares fois où ils faisaient mine de lui prêter une oreille attentive qu’il finirait par s’intégrer avec le temps…

Ce manque cruel de soutien finit par renfermer dans un premier temps le petit décoloré, qui se résolut à se débrouiller seul pour avoir ce qu’il voulait : du respect. Et ce fut la rencontre entre Bakura – alors âgé de douze ans – et le Kendo, qu’il apprit en autodidacte à l’aide d’un très vieux manuscrit relatant les techniques d’une école ancienne. Inutile de dire qu’il fallait avoir un mental d’acier pour parvenir à maîtriser cet art sans le moindre soutien, qui plus est si jeune… Mais la volonté du jeune homme était unique, inflexible : punir le moindre japonais qui oserait s’en prendre à lui en l’écrasant avec sa propre arme, le sabre japonais et l’art qui lui est associé.

Et après deux années d’efforts incessants, à 14 ans, il parvint à acquérir un niveau tel qu’il put enfin goûter à la joie de vivre sans être constamment ennuyé pour ses origines. Après avoir multiplié les rossées avec ses camarades – et les ennuis avec les adultes – le jeune homme obtint ce respect tant désiré, qui lui permit de penser à autre chose qu’à se battre… Et c’est peu de temps après cela qu’un évènement particulier modifia encore quelque peu son tempérament déjà assez complexe, avec un tel passif.

Car maintenant que le jeune homme pouvait vivre « libéré » - mais toujours sans véritables parents digne de ce titre – il put goûter à la joie de s’intéresser de près aux filles, qui n’étaient pas toutes aussi réfractaires à son côté gaijin, loin de là… Et le respect qu’il avait su imposer autour de lui ne gâchait en rien ce tableau des plus reluisants. Bien vite, il s’aperçut en effet qu’il avait une aisance déconcertante à charmer ses petites camarades, multipliant ainsi les conquêtes sans réelle difficulté… Assez logique me direz-vous ? Oui et non…

En effet, si au départ Bakura trouvait cela on ne pouvait plus normal, il commença à se poser des questions sur lui-même lorsque, confronté à une situation délicate entre deux demoiselles qui venaient d’apprendre l’une et l’autre qu’il flirtait avec les deux durant la même période, il avait fait transformer en quelques mots (certes habiles, mais franchement peu suffisant dans un tel contexte) une situation de dispute terrible en une séance de bisous acharnés de la part des deux « rivales », qui semblaient désormais s’accommoder un peu trop facilement de leur sort…

Franchement perplexe après cette journée, le jeune homme se mit en tête de retenter l’expérience, en essayant de charmer une femme magnifique mais manifestement bien trop âgée pour s’intéresser à un gamin de 14 ans. En effet, celle qu’il visait devait avoir passé la trentaine, et siégeait tranquillement au comptoir du bar qu’il fréquentait souvent dans ses après-midi libres – en ne buvant évidemment que du soda. Mais aussi étonnant que cela puisse paraître, une fois encore il semblait parvenir à ses fruits… Ce qui, comme l’on pouvait s’en douter, fit monter l’adrénaline de Bakura, qui constatait avec émerveillement avoir quelque chose en lui qui semblait le rendre irrésistible…

… mais il n’avait pas imaginé que ça marcherait à ce point-là.

Car alors qu’il allait sans doute pouvoir obtenir dans les minutes qui suivraient un doux baiser de la part de la belle courtisée, une main sur son épaule l’incita à tourner la tête… Un homme, qui s’était installé juste à côté de Bakura depuis déjà de longues minutes, lui faisait les yeux doux, et lui souffla à l’oreille des propos qui firent frémir d’horreur l’adolescent. Il avait charmé involontairement ce sale type !

Bien entendu, le décoloré ne s’attarda pas plus et fila sans demander son reste, mais déchanta une fois rentré chez lui lorsque, en jetant un regard à son portable, il vit avec effroi que le numéro qu’il avait laissé à sa cible première avait été noté également par l’ignoble mec qui avait envie d’aller bien trop loin avec lui que ce qu’il ne tolèrerait jamais de la part d’un homme… Et après avoir été ainsi spammé de SMS et d’appels qu’il laissait systématiquement sans réponse, Bakura se résolut à changer de numéro, non sans avoir des envies de meurtres envers toute la gente masculine, et plus particulièrement celle friande du même sexe…

Par la suite, il mit de côté cette histoire de don, bien qu’il n’était même pas sûr d’en avoir un, pour se concentrer sur ses études et ses conquêtes « simples »… Là encore, le succès était au rendez-vous, mais ça pouvait très bien s’expliquer sans qu’aucun pouvoir étrange n’entre en compte… Et avec le temps, Bakura se trouva même stupide d’avoir envisagé une telle hypothèse. Il pouvait très bien être tombé sur des cas particuliers, non ?

Cette hypothèse dura trois ans. Trois années durant lesquelles rien d’étrange ne se déroula, si ce n’était donc son succès toujours d’actualité avec la gente féminine. Mais alors qu’il en finissait avec le lycée, une étrange rumeur lui vint à l’oreille, soufflée par sa dernière conquête en date… L’histoire d’un établissement où des gens seraient dotés d’étrange pouvoir, comme celui qui semblait l’avoir conquise... Elle avait dit ça d’un ton rêveur, ce qui pouvait laisser supposer qu’elle délirait simplement… Mais pourtant, Bakura ne put ignorer cette « information ». Il fallait qu’il se renseigne sur le sujet.

Et ainsi, après quelques jours de recherches, il rassembla suffisamment d’informations pour se rendre à ce fameux établissement, située au Nord du pays. Un pensionnat accueillait bel et bien les personnes dotées d’étranges dons, au nord d’Honshu, dans une ville nommée Aomorie…
Il n’en fallait pas plus pour que le décoloré se décide à s’y rendre. Il n’avait rien à perdre, tout à gagner en allant là-bas. Il avait dix-sept ans désormais, et n’avait plus besoin de ses parents depuis belle lurette… Il n’avait aucune raison de ne pas s’y rendre tout de suite…

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Le pouvoir de Bakura est donc celui du Charisme. Grâce à son aide, il peut amplifier sa capacité naturelle à séduire pour obtenir les faveurs d’une demoiselle, les informations qu’il recherche, un objet qu’il convoite, etc… Néanmoins, il n’en est qu’au stade primaire de ce pouvoir, bien qu’il se soit déclaré depuis ses 14 ans. Il ne le maîtrise pas réellement, puisqu’il le sort de manière inconsciente lorsqu’il essaie de séduire. Cela a bien sûr comme côté pratique d’amplifier ses chances – déjà naturellement conséquentes en raison de son physique et de sa sagacité – d’arriver à ses fins, mais… Il lui est déjà arrivé de bien mauvaises mésaventures, comme celle évoquée dans son histoire… Si vous l’avez ratée, c’est bien dommage… ~

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Mickaël/Bakura/Dieu/Connard... Et j'en resterai là. • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Bakura, ou Baku’, 24 ans, toutes ses den… Ah non, même pas, foutues dents de sagesse. Bref, j’ai appris qu’apparemment un certain Jun se prenait pour Dieu par ici, mais je suis au regret de vous informer que vous avez été dupés. Dieu, c’est moi. °o° Sinon, plus sérieusement, je fais du RP depuis… euh… longtemps. 8 ans. Et j’adore ça. o/ Par contre je ne suis pas du genre à répondre bien vite, donc d’avance ne m’en voulez pas si je traîne parfois en longueur. é_è Voilà, j’en ai déjà pas mal dit. Si vraiment vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à me MP, même si je pense que je passerai suffisamment souvent sur la CB pour que vous appreniez à me connaître sans mal. x) • PARRAINÉ ? (si oui, par qui ?) Non. Même si je connais Kazu’ et que je suis grave content qu’il soit là. *o* • DOUBLE COMPTE ? (si oui: nom et prénom) Absolument pas. • CODE ? Sasy dit que nos quatres joyeux lurons pizzaphiles sont happy que tu les connaisses ♥ Oyeah ! 8D • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE C’EST TOI LE MOT !