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 Eh voilà : paumées comme des quiches !!! Au moins on a l'habitude.

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Mayelle Môôkie
Mayelle Môôkie
garden

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Eh voilà : paumées comme des quiches !!! Au moins on a l'habitude. Vide
MessageSujet: Eh voilà : paumées comme des quiches !!! Au moins on a l'habitude.   Eh voilà : paumées comme des quiches !!! Au moins on a l'habitude. Icon_minitimeJeu 13 Sep - 16:02

Je dormais tranquillement, enfoncé dans un rêve magnifique lorsque l'alarme incendie retentit : qui à eu l'idée déplorable d'organiser un entraînement "alerte incendie" à sept heure du matin ? Il mérite au moins une centaine d'heure de colle, et tant pis si c'est un adulte (surtout que s'en est forcément un) !!! Je me lève rapidement (en réalité je bondis carrément hors de mon lit), attrape un gilet au vol et dévale les escalier pour rejoindre la cours. Les trois quart du pensionnat sont réunis là et certains sont encore entrain d'arriver, je m'assois sur un banc et commence à somnoler lorsque la voix du proviseur se fait entendre. Un micro à la main, il nous explique qu'à cause de l'incendie, un week-end aux sources chaudes est organisé et que les élèves seront répartis en binômes (tirés au sort). S'en suit un tas de blabla inutile et enfin, les binômes sont énoncés. Je croise les doigts pour être avec une personne sympa, le proviseur dit mon nom et je suis avec… Carla Kabaway ! Alléluia !!! C'est ma meilleur amie : on se connaît depuis la maternelle et elle a le même pouvoir que moi. Je lui fais signe et elle viens s'assoir à côté de moi, nous nous mettons aussitôt à discuter et seule notre arrivée au sources réussie à endiguer le flot de nos paroles : nous restons époustouflées devant le beauté du site. À peine sommes nous entrées qu'on nous remet la clé de la chambre et notre emploi du temps de la journée. En voyant ça, je m'exclame : "Un emploi du temps ? Ils sont complètement fous : on n'est pas à l'école ! Hors de question que je passe ma journée à faire des activités ennuyeuse ! Je proposai à Carla de faire un tour du côté de la forêt, histoire de découvrir les lieux. Comme elle avait l'air d'apprécier cette idée, nous nous dirigeâmes discrètement vers la forêt et un chant d'oiseau retentit, semblable à une promesse d'aventures merveilleuses. Nous avançâmes lentement, nous émerveillant de tout : les fleurs étaient magnifiques, l'herbe verdoyait au soleil, les arbres immense laissaient passer quelques rayon de soleil qui illuminaient le chemin et l'air embaumait mille et une senteurs. Nous marchâmes pendant une bonne heure, ne cessant de découvrir la beauté que recelait la forêt lorsque nous arrivâmes dans une clairière au centre de laquelle coulait tranquillement un ruisseau d'une limpidité exceptionnel. Comme la matinée était bien avancée, nous décidâmes de nous arrêter pour nous baigner. Mais malgré la chaleur environnante, l'eau, descendant sûrement de la montagne, restait gelée et nous ne nous imergeâmes donc pas entièrement. Une fois que nous eûmes de l'eau jusqu'au genoux, nous nous éclaboussâmes à qui mieux mieux et nous ressortîmes presque entièrement mouillées. Nous nous alongeâmes alors au soleil pour sécher et nous nous endormîmes. Nous nous reveillâmes en débuts d'après midi et prîmes la route du retour. Mais au bout d'une heure, le centre des sources n'était toujours pas en vue et les arbres se faisaient de plus en plus menaçant, ne laissant passer aucune lumière, ce qui plongeait la forêt dans une pénombre inquiétante. Nous marchâmes encore un certain temps mais la faim commençait à se faire sentir, nous n'avions plus rien avaler depuis ce matin à sept heures. Au bout de ce qui nous parut une éternité (et qui l'était sûrement), nous nous affalâmes contre le tronc d'un arbre et laiçâmes libre cours à notre peur ; où nous trouvions nous ? Nous en étions là, à nous lamenter lorsqu'un craquement se fit entendre sur notre droite et une ombre menaçante émergea lentement d'un buisson…
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