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 « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY]

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Lilian R. Kurokawa
Lilian R. Kurokawa
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MessageSujet: « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY]   « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY] Icon_minitimeVen 19 Oct - 21:25

and... what are you doing there ?

Tu n’aimes pas franchement l’hiver. Hein ? Lilian ? C’est pas vraiment ton truc, le froid. Quoique. En fait, si. Mais ç’a certains beaux inconvénients. T’es pas franchement frileux, au bout du compte. Et c’est bien ça le problème, quand tu y réfléchis un peu plus. Parce que tu sais pertinemment que ce n’est pas quand on commence à avoir froid qu’on va tomber malade. … Bon. OK, dit comme ça, c’est carrément pas clair. Pas clair du tout. On va essayer d’éclaircir un peu. Donc. Quand la sensation de froid se manifeste, c’est que la température de l’air ambiant a baissé jusqu’à ce qu’on la ressente comme tel : le froid. Mais ça ne veut pas dire qu’on a été insensible aux effets dudit froid jusque lors. Et ça, c’est un peu casse-pieds. Parce que c’est pas pour ça qu’entre temps on est pas malade. Hélas. C’est justement qu’on s’en rend pas compte.
Que tu ne t’en rends pas compte.
Et ça, ben tu l’expérimentes un peu tous les hivers.

Disons que là. Là ; vraiment là ; maintenant ; tout de suite ; dans l’immédiat, la minute : c’est ton problème.

Parce que quand ton réveil sonne, ce matin, tu as juste l’impression que la sonnerie est dix fois plus forte que d’habitude. Et ça te donne tout sauf envie de te lever. Une vague intense de flemme. Tu abats donc mollement ta main sur l’engin pour le faire taire et remonte la couette sur ton épaule, te tournant dos à la table de nuit. Oui. L’envie de te rendormir est tentante ; très tentante. Sauf si ton cher Basil de coloc’ s’amuse à te secouer dans pas longtemps. Pitié. Non. Mais en même temps… Bouger ? Non. Pas envie. Fait gris. Fait froid. Et si tu restais tranquillement, pour une fois, sous ta couette ? C’est vraiment très tentant.
Tu ne sais même pas pourquoi tu attrapes ton cache et le mets en place. Un vieux réflexe, peut-être. Tu dois, aussi, juste être plus givré que tu ne le pensais jusque lors. En tous cas, tu te lèves. Même si côté éveil mental, c’est pas encore tout à fait ça. Tu te trimbales un air endormi, encore pire que d’habitude.
T’as même pas fait ton sac pour aujourd’hui ; hier s’entend. Non. Hier, tu t’es juste mis en pyjam’ et tu t’es larvé sous les draps pour dormir. … Tiens. T’as même pas fait tes devoirs non plus. Les profs vont t’assassiner. Un peu lamentable. Non ? Si. C’est lamentable.

Et, d’ailleurs. Tu t’es pas réveillé comme d’habitude. Tu sais ? D’habitude, tu te réveilles bien une demi-heure avant la sonnerie de ce damné réveil. Avant qu’il ne joue les trouble-fête. Ça avait de quoi t’alarmer, au fond. Mais voilà, tu as les neurones en veille. C’est l’océan de brume au-dessus de l’étang à nénuphars. Flou, et casse-pieds à élucider. Donc, tu n’as pas cherché, et tu t’es préparé.
Hors de question de subir une sorte de mini-interrogatoire de la part de Basil sur : « pourquoi as-tu donc l’air plus zombifié que la moyenne chez toi ? »

Tu fais donc rapidement ton sac. Rapidement, et dans les vapes. Tu y mets quoi ? Un cahier, ta trousse ? Tu oublies plein de choses, en fait. Oui. Les profs vont t’assassiner. Mais t’as pas réfléchi. Pas envie. Tes synapses étaient aussi actives que de la pâte à tartiner. Et tu avais la flemme de les mobiliser pour faire ton sac. A croire que tes réflexes se font la malle. Ce serait même pas étonnant, tiens. C’est déjà un miracle que tu ailles en cours, là. Donc, on va pas chipoter. Exagérer, oui. Mais pas chipoter.
Comme on dit : la flemme.

Même que. T’avais plus l’air d’un zombie que de ton quotidien. Mais ça, tu ne t’en aperçois pas forcément. Tout ce que tu sais, c’est que t’as qu’une envie, c’est faire demi-tour et retourner sous ta couette. Tu rases à moitié les murs, et tu as vaguement l’impression de marcher sur une épaisse couche d’ouate. Les sons, c’est pareil, c’est étouffé. Et c’est marrant, mais tu vois flou comme si tu étais un myope fini et que t’avais oublié de prendre tes lunettes avec toi. Et puis, fait froid aussi. Ou alors c’est juste toi qui as froid. Ça dépend du point de vue.

En tout cas, en classe, tu t’installes au fond ; comme d’hab ; et près du radiateur ; pas comme d’hab ; donc près de la fenêtre ; probabilité du « comme d’hab » assez forte ; pour regarder la neige tomber entre autres ; moins de probable « comme d’hab ».
Enfin bref, tu te croyais tranquille. L’habituelle ruse du livre à la verticale, et tu somnolais sur la douce épaisseur de ton cahier fermé. Pas la force de te concentrer. Pas assez de neurones en bon état. Tu voulais dormir, juste dormir. Et c’était le plus involontairement du monde si ta paupière se fermait par à-coups. Tu essayais de suivre un minimum. Faire semblant, au moins. Pas te faire griller dès le début.

Seulement, voilà. Côté discrétion, c’était un peu raté. Tu t’es fait rappeler à l’ordre au bout de même pas une demi-heure. Le pire ? T’as pas réagi tout de suite. Il a fallu que ton voisin te secoue pour que tu reviennes sur terre ; et accessoirement, fasses tomber ton livre en essayant avec force peu de succès de le rattraper.

Tout le monde peut voir que tu as un air de zombie fini. Et que tu frissonnes toutes les dix secondes. T’as vaguement vu le prof cligner des yeux, l’air assez interloqué de te voir dans un état pareil. Après, tu ramasses ton livre, comme si de rien n’était.

… Mais tu veux bien aller à l’infirmerie.

Donc au final, tu ramasses tes affaires, et tu sors. Dès que la porte est fermée, tu résistes à l’envie de te laisser glisser le long du mur. T’as déjà à moitié insisté pour y aller seul. Tu comates vraiment sur place. Tu resserres légèrement ton écharpe autour de ton cou.

… Euh. Minute.

L’infirmerie, c’est par où, déjà ?
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Cherry A. Fever
Cherry A. Fever
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MessageSujet: Re: « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY]   « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY] Icon_minitimeMer 19 Déc - 23:16

Quelle putain de journée de merde. Non, Cherry n'y allait pas par quatre chemins pour dire ce qu'elle pensait. Surtout sur la météo. Après tout, qui allait se vexer qu'elle insulte un nuage ? Un dieu grec ? De toute façonZeus pourrait venir lui demander des comptes l'éclair à la main, l'américaine serait tout à fait capable de l'envoyer se faire voir avec grâce et grossièreté. Non non, ce n'est pas un oxymore. Un sourire charmant et un doigt d'honneur par exemple. Grâce et grossièreté je vous dis.

C'est donc légèrement maussade – et là par contre c'est un bel euphémisme – que la jeune femme s'extirpa de son lit ce matin là. Aujourd'hui c'était l'un de ses jours où elle ne rêvait que d'une bonne grasse matinée, sans réveil et sans cours. Et sans colocataires. Même si le ballet de ses déesses de compagnes en petites culottes n'avait rien pour lui déplaire, le bruit qu'elles faisaient en s'habillant, trébuchant et s'extirpant chacune leur tête de leur cul respectif n'avait rien d'agréable, lui. Aussi c'était-elle tout simplement retournée vers le mur et fourrée la tête sous la couette, attendant que ça passe. Et ceci expliquant cela, on comprend vite pourquoi la demoiselle est désormais en retard.

Mais loin de se presser le moins du monde, bien au contraire même, l'arc-en-ciel se leva en s'étira voluptueusement, baillant tout son saoul et prenant son temps pour faire son choix dans sa garde de robe et s'habiller tranquillement. Elle avait déjà raté le début des cours de toute façon, qu'elle arrive en courant maintenant tout en marchant dans vingt minutes n'y changerait rien. Cherry se coiffa méticuleusement, plaçant chaque mèche de couleur à l'emplacement qui était le sien, se brossa soigneusement les dents et mis ses lentilles avec soin. Bon. Elle ne pouvait pas retarder l'échéance plus longtemps. Attrapant son sac au vol, elle sortit dans le couloir.

À en croire son cerveau encore un peu embrouillé par les brumes du sommeil, elle avait cours de japonais en ce moment même. Ce qui ne l'arrangeait pas tellement, déjà que ses notes étaient pas terribles terribles, si en plus elle séchait la prof allait lui arracher les yeux. C'est donc en traînant encore plus le pas que la jeune fille parcouru les couloirs du deuxième étage.

« Je hais le jeudi. »

Ah, on était jeudi aujourd'hui ? Peut être. En tout cas elle semblait en avoir décidé ainsi. De toute façon le jour ne changeait rien, elle haïssait aussi bien le jeudi que le lundi, le mardi, le vendredi voire même le mercredi, mais seulement le matin. En fait, elle haïssait l'école. Mais uniquement les matins où elle se levait du mauvais pied. Sinon elle adorait ça. Comment, une adolescente rebelle et en bonne santé qui aime l'école ?! Est-ce normal ?! Non, mais Cherry s'en foutait éperdument.

Soupirant à pleins poumons et mouvant difficilement ça carcasse pubère, l'arc-en-ciel était en train de faire le tour de tous les jurons japonais qu'elle connaissait et les associait tour à tour à sa délicieuse prof de japonais, avant de passer à toutes les excuses bidons jamais inventées et d'essayer de sélectionnée la plus valable. Le coup de la voiture en panne ou de la grève de bus, déjà, il fallait oublier. C'est franchement chiant le pensionnat, quand on y pense. Et c'est alors que l'illumination eue lieu.

Lilian.

Les nuages se dispersèrent dans le ciel, le soleil se mit à briller à travers les barreaux des fenêtres, un oiseau sortit timidement de sa cachette et décida de chantonner. D'un coup, le monde fut beau, joyeux et merveilleux. Cherry se mis à sourire de toutes ses dents, étirant dangereusement ses joues qui n'en avaient pas l'habitude. Le garçon, lui resta stoïque. Étrange. Il ne l'avait de toute évidence pas vue, sinon il aurait déjà fuit. Puis le teint blafard et les frissons malades lui sautèrent aux yeux. Lucky Cherry.

Légère comme une plume dans une brise d'été, aussi douce et gracieuse qu'une danseuse étoile en plein bal, la jeune femme bondit vers son « ami » pour se placer derrière lui et mettre ses mains sur ses yeux. En réalité une seule main aurait suffit, mais elle trouvait ça drôle d'utiliser les deux. Une espèce d'ironie. Une private joke qui ne faisait rire qu'elle. L'américaine était un peu désespérante parfois.

« Devine qui c'eeeeeeest ? ♥ »

Spoiler:
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Lilian R. Kurokawa
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MessageSujet: Re: « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY]   « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY] Icon_minitimeJeu 27 Déc - 12:40

oh ! misery...

Tu ne sais pas où est l’infirmerie. Tu n’as jusqu’ici pas eu besoin d’y aller. Enfin. Lors de ta première visite du pensionnat, on t’a montré où est ladite infirmerie. Seulement, depuis le temps… bah, tu as oublié. Et tu ne t’en étais pas soucié. Tu es rarement malade. Donc l’infirmerie c’est un peu comme la page blanche de la fin de ton cahier. Tu t’en fous tant que tu ne la vois pas arriver. Et là… bah tu y es, à la page blanche.
Tu dois bien plafonner à 39, et tu n’as qu’une envie : te cacher derrière ton écharpe. Ou aller dormir. C’est vrai que tu comates un peu sur place… Et on parle pas de ton 39 qui va revenir à 37, puis passer par 38, voire carrément se ramener en tant que… 39,5 ? Pauvre de toi.
Ça t’apprendra à attendre dehors pendant une heure et demie. Ah. C’était pas ça ? Bon. Bah on va bien finir par trouver le pourquoi du comment tu te trimbales ce virus.
Et, à la réflexion, tu es très bien, contre le mur.

Admettons. Si le prof sort pour x raison, il va te retrouver là. Et accessoirement, demander à ce que quelqu’un t’emmène à l’infirmerie. Voire, il t’y traînera lui-même — noooon, il oserait pas ? — pour être sûr que tu seras entre de bonnes mains.
Mine de rien tu n’as… pas envie. Du tout, du tout, du tout. Oh. Aller à l’infirmerie, ça te gêne pas. Mais y être traîné par le prof… Non merci, quoi.

Et puis finalement.

« Devine qui c'eeeeeeest ? »

Oh. C’te bonne question.
Tu n’as pas réagi. Enfin. Tu n’as pas sursauté comme toute personne normale ; enfin, le commun des mortels, ceux qui se font toujours avoir, quoi ; l’aurait fait. Tu n’as pas soupiré. Tu as juste cligné de l’œil. … Ah tiens. L’autre anonyme momentanée a aussi posé une main sur ton cache. A quoi ça sert ? A rien. Mais bon. Là, maintenant, tout de suite, tu t’en fous. Tu cherches qui ça peut être.
Le timbre de la voix te dit quelque chose, ça c’est sûr. Ça va pas être Azil ; faut pas rêver non plus, pas après ce qui s’est passé aux sources. Tu peux la chercher dans les couloirs tu ne la verras pas. Ou en tout cas, tu le verras pas seule. Ema non plus. Elle doit être en cours, à cette heure-ci. Enfin. Tu n’es pas sûr, mais tu ne penses pas qu’elle n’ait cours qu’à partir de neuf heures.
Qui reste-t-il donc… ? Ce n’est pas vraiment le style de Léo de faire ça. Et Raimu… huuuh. Non. Pas avec cette voix-là. N’exagérons rien, tout de même.

Ah. Tu tiltes, enfin. Il t’auras bien fallu cinq petites minutes ; bon, d’accord, trois trente-sept, trop chrono. … Cherry.
Et mentalement tu te dis : oh non, pitié, pitié, pitié, par pitié, nooon, tout, tout le monde, tout le monde mais pas elle, pitié.
Mentalement seulement. Tu n’as pas vraiment la force de le dire vraiment, et t’es très bien avec ton écharpe jusqu’au milieu du nez. T’as légèrement moins froid que si t’avais rien autour du cou, c’est pas faux. Mais putain de bordel de merde — ne lésinons pas sur les moyens — pourquoi elle ?

De ce que tu te souviens, elle t’en fait voir d toutes les couleurs. Elle essaie de savoir ce qu’il y a sous ton cache-œil. A savoir, un œil photosensible. Un œil qui va cramer s’il est exposé à la lumière. Ce qui te vaudra un œil aveugle, et un séjour à l’hôpital. Tu n’as pas envie. Mais alors pas envie du tout.
Et vu ton état, elle va sûrement en profiter. Toi et ta manie de ne rien vouloir dire si on ne te pose pas la question avant. Si elle t’avait demandé, cela dit, rien n’aurait garanti une réponse. Mais ça t’arrangerait aussi qu’elle arrête d’insister. En plus, qui te dit qu’elle ne va pas continuer et être encore plus curieuse si tu lui dis ce qui se cache sous ce… cache — va trouver un autre mot — noir ?
Il est là, ton problème. Elle est bornée. Elle est tenace. Elle est chiante.

… Et toi t’as la crève.
Ton cerveau est purement et simplement ralenti et tu n’as pas l’envie de réfléchir à un plan tordu pour lui échapper. Même si c’est pour t’enfermer dans une pièce au hasard ; même si c’est le placard du couloir et qu’elle va attendre.

Bon, allez. Le temps qu’on fasse le tour de ça, deux minutes quarante-deux. Si tu lui répondais ?

« … Cherry. »

Oh la belle réponse, la belle réponse…

Allez. Une deuxième une fois ! On y croit, tu peux lui dire autre chose.

« … T’es pas en cours ? »

… Alors là. Tu vas le payer cher, très cher. A ton humble avis. Tu doutes franchement qu’elle ait l’intention de t’emmener jusqu’à l’infirmerie. Ou alors, si elle le fait c’est dans le pur dessein de vouloir t’arracher ton cache-œil. Oh, la fourbe, la vilaine, la pleutre.
… La psychopathe !

Cela dit… Cela dit.
De ce que tu te souviens, à chaque fois qu’elle avait le malheur de te toucher, tu réussissais miraculeusement à t’en sortir.
A moins que ce ne soit qu’une pure coïncidence, c’est tout à fait possible aussi. Ca, hein… On n’est à l’abri de rien, comme on dit souvent. La preuve. Tu t’attendais à te retrouver coller par Cherry un beau matin avant neuf heures, avec trente-neuf sept ?

Ah, si seulement tu avais don de voyance… Tu te serais peut-être bougé plus tôt. Ou tu aurais accepté la proposition du prof de te faire accompagner. Bon, avouons, tu ne te doutais pas que Cherry viendrait. Mais tout de même, tout de même… Lilian. Des fois… Tu me désespères vraiment.
Mais vraiment, beaucoup.
Maintenant, tu es coincé ici avec elle.
Ça t’apprendra, crétin.
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MessageSujet: Re: « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY]   « ... eh ? quoi ? ... nan, j'ai pas compris, là » [CHERRY] Icon_minitime

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