le petit oiseau va sortir ~

feat - Yoruichi Shihōin/Bleach

• NOM Evans • PRÉNOM(S) Mia • AGE 25 ans • CIVILITÉ Célibataire • SCOLARITÉ Professeur (de musique) • SEXUALITÉ Hétérosexuelle • GROUPE Adults • POUVOIR Contrôle de la météo

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Mia est d’origine britannique, elle n’a donc pas d’attributs japonais. Sa peau bronzée, héritée de sa mère, fait ressortir ses yeux verts. Autour de son visage aux traits fins tombent quelques mèches brunes, dont on peut distinguer des reflets violets selon la lumière. Sa structure corporelle est plutôt fine, et elle a la chance d’avoir des courbes féminines bien définies, même si elle ne les met pas très souvent en valeur par ses vêtements. Ceux-ci sont d’ailleurs généralement ordinaires, comme par exemple des pulls en hiver et des t-shirts en été. Elle aime aussi beaucoup porter des hauts amples, mais bien taillés comme des tuniques, ou plus rarement des robes ; Mais il faut pour cela qu’elle ait un rendez-vous important ou qu’il fasse une chaleur de plus de 45°C. Au niveau du bas, elle vêtit des jeans classiques, de n’importe quelle couleur, le plus souvent noir. Pour ses petits pieds, elle adore les ballerines, les converses, enfin toutes les chaussures plates. Elle manque de confiance en elle en talons et n’en met que dans les mêmes occasions que ses robes.
Sa posture est toujours droite, limite stoïque, ce que les élèves qualifient pour la plupart de « perturbant au début mais on s’y fait vite ». D’ailleurs, quand elle est en colère, ce qui est plutôt rare étant donné que c’est une prof cool, elle a un tic au niveau des yeux, qu’elle a tendance à plisser comme si elle voyait l’intérieur de l’âme du pauvre interlocuteur. Tous les jours, quand elle s’assoit au piano, elle a toujours le même rituel : faire le tour de l’instrument, toucher le couvercle, l’ouvrir, s’assoir, accorder le tout, et enfin jouer. Ouais, je sais c’est long mais indispensable pour elle. C’est son TOC. Que dire de plus…Ah oui : elle porte des lunettes pour voir de près, à cause d’un problème d’hypermétropie et aime beaucoup les chats et le rouge.

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

A cause de sa maladie, Mia peut paraître vraiment bizarre. Depuis toute petite, elle a du mal à sociabiliser, et c’est toujours le cas d’ailleurs. Il faut beaucoup de temps et de patience si vous voulez être une amie. Parfois, son syndrome peut la mettre dans des situations insolites, car elle a tendance à prendre les phrases qu’elle entend de façon littérale : par exemple, si vous lui dîtes « il fait un froid de canard ici ! », elle vous répondra qu’elle ne voit aucun canard ici. Au début de sa carrière, les élèves s’amusaient avec ça, mais depuis sa réprimande, ils ne disent plus rien et font même attention à ne pas employer de telles expressions. Ses sentiments, elle les transmet, les exprime avec sa musique. Un instrument en main, elle serait capable de faire craquer le plus impitoyable des mafieux. Sa musique, elle la vit, elle en rêve, enfin bref, c’est son existence. Il lui est arrivé une seule et unique fois de craquer, et c’était tellement violent qu’elle en perdit tous ses mots et resta muette pendant plusieurs semaines.
Sa principale qualité, c’est surtout sa mémoire auditive. Il lui suffit de jouer ou même ne serait-ce qu’écouter un morceau pour le savoir toute sa vie. Elle peut reconnaitre chaque voix de chaque élève, tous sans exception. Elle aime beaucoup leur enseigner sa passion, même si elle ne sait pas comment réagir à leurs émotions. En fait, le fait qu’elle ait Asperger ne lui permet pas de comprendre les autres, mais contrairement à ce qu’on pourrait penser en la voyant de comporter, elle ressent énormément de choses et avec le temps, elle a réussi à mettre des mots dessus, ce qui est le plus dur pour elle.
Même si elle est capable de beaucoup de choses que les autres ne peuvent pas faire, elle est totalement perdue lorsqu’il s’agit de faire ses lacets, ou encore de savoir quand il faut rire. Elle sait reconnaître l’humour depuis le temps, mais elle a encore du mal avec les jeux de mots. Et puis même si elle ne fera pas le premier pas dans une interaction sociale, elle ne déteste personne et peut entretenir une amitié, mais ce ne sera pas avec énormément de personnes.

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Son père, un riche aristocrate, avait rencontré sa mère lors d’une mission dans son association de médecins sans frontières. Il était bénévole, elle était malade. Une pneumonie. Et un bébé. Oui, la jeune femme était enceinte, et n’allait pas tarder à accoucher, ce qu’elle fit peu de temps après l’arrivée de l’association dans son pays. L’aristocrate était alors de garde, et seul au campement. Sous les supplications de la femme, il accepta d’élever son enfant, si jamais elle ne survivrait pas. Malheureusement, c’est ce qui arriva et le jeune homme de l’époque se retrouva avec une petite fille dans sa vie. Dans une bourrasque de vent, le corps sans vie de la jeune femme disparut, et le lendemain, l’anglais prit le premier avion et rentra chez lui, dans un manoir victorien à Leicester. Lui et sa femme essayaient depuis des années d’avoir un enfant, alors pour ce couple, la petite Mia, qui hérita du prénom de sa mère, fut une bénédiction. Ils l’adoptèrent donc, et lui donnèrent leur nom. Les Evans considéraient l’éducation comme principale, et très vite, ils l’inscrivent dans la crème des crèmes des écoles, et elle se révéla être une brillante élève. D’un naturel très curieux et très ouvert d’esprit, elle comprit assez vite que son père était polyglotte, même si elle ne savait pas qu’il s’agissait en fait d’un pouvoir. En effet, son père gardait le secret, et elle ne connaissait pas un mot de l’existence de ses dons. Mia passa donc une enfance normale, malgré sa maladie. Très jeune, elle développa ce qu’on appelle le syndrome d’Asperger. Pour faire simple, elle était tellement passionnée par la musique que jouer avec les autres, se faire des amis et tout le reste n’avait que peu d’intérêt. Elle était dans sa bulle musicale, et rien qu’à l’idée d’entendre encore une fois le son doux et suave d’un violoncelle lancinant ou encore le rythme d’une chanson de jazz, elle exaltait de joie. Il y avait un vieux piano dans le manoir, qui appartenait sans doute aux ancêtres de son père. Voyant les étoiles dans les yeux de sa fille à chaque regard sur cet instrument, celui-ci décida de lui offrir des leçons, afin qu’elle puisse enfin jouer. Inutile de préciser que cet acte lui valut le titre du meilleur papa du monde pour Mia. Toujours plus curieuse, elle se mit à vouloir découvrir, en grandissant, toujours plus d’instruments, à commencer par le violon (qu’elle apprit avec la femme de chambre), puis le violoncelle, pour lequel elle serait prête à sacrifier sa vie. D’ailleurs, elle le possède encore, et le protége comme son propre enfant. Elle y tient comme à la prunelle de ses yeux pour la raison la plus simple du monde : c’est le seul instrument qui lui a permis d’exprimer vraiment ses sentiments. Quand elle en joue, le monde s’arrête autour d’elle, et ça, ça n’a pas de prix. C’est d’ailleurs grâce à cet instrument qu’elle commença à se faire un petit nom dans la musique, avec quelques concerts par ci par là. Un jour, tandis qu’elle avait 19 ans, elle choisit de combattre sa maladie, et contre l’avis de tous les psys qu’elle a été voir, Mia a fait le choix de s’orienter dans l’enseignement. Et puisque la musique était la seule chose dans laquelle la brune était douée, c’est cette matière qu’elle voulut faire découvrir à ses élèves. Il est vrai qu’au début, elle eut beaucoup de mal de se faire accepter, et donc à avoir l’autorité nécessaire à ce métier. Humiliée à plusieurs reprises par des élèves dans différents établissements, elle décida de changer d’air et de vie dans un autre continent. Mais lequel ? Tel était la question. Son choix a tout de suite été l’Asie, sa terre natale. Mais quel pays ? Elle n’avait pas énormément de choix là-dessus, étant donné qu’elle ne savait parler que trois langues : l’anglais bien sûr, mais aussi l’allemand et le japonais. Ces deux dernières langues, c’était son père qui décida de les lui apprendre, estimant que cela pouvait lui être très utile afin de trouver un emploi. C’est ainsi qu’elle prit l’avion, direction le Japon. Assez rapidement, elle trouva un travail, enfin deux offres pour être précise. Quand elle apprit que l’académie Aomori était spécialisée dans l’apprentissage des pouvoirs, elle n’hésita plus une seconde et y fut engagée. Depuis 5 ans, elle s’y sent à merveille, faisant de plus en plus d’efforts afin de s’ouvrir aux autres, élèves comme collègues.

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre ou à laisser »

Le pouvoir que Mia possède contrôle la météo. La musique et les émotions qu’elle y met quand elle en joue peuvent influencer plus ou moins l’état du ciel. Il est très rare qu’elle en use pour se battre, puisqu’elle ne ressent de haine pour personne. Néanmoins, elle en garde le contrôle, tout comme ses émotions, et peut l’utiliser quand elle le souhaite. Elle a découvert cette faculté pendant l’accident de sa crise de nerf : elle était dehors, et remarqua que le ciel partait en cacahuète, entre les nuages noirs de suie, les éclairs qui les zébraient et la tempête qui prenait de plus en plus d’importance. C’est ce moment que choisit son père pour tout lui dire sur l’existence des pouvoirs, et il décida de lui apprendre à contrôler cette nouvelle faculté. C’était il y a maintenant plus de 10 ans. Depuis, elle garde toute cette puissance à l’intérieur, elle a appris que ses sentiments, ses émotions pouvaient grandement influencer sa faculté et n’a pas l’intention de laisser ce don échapper à son contrôle. Elle préfère laisser faire la nature, même si elle peut parfois modifier un peu le temps qu’il fait lorsqu’il le faut, comme par exemple lors d’un évènement scolaire comme un match en plein air ou encore un concert qui a lieu dehors. Elle n’a pas de préférence entre le soleil, la pluie et la neige, alors c’est pour cela qu’elle laisse le plus souvent nature se faire.
Grâce à son caractère et à sa volonté de contrôler cette faculté, elle garde toute la puissance de la météo à l’intérieur et s’entraîne parfois depuis sa chambre (la nuit surtout) à faire apparaître et disparaître des nuages, la seule chose qui lui pose encore problème à ce jour.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Lo’ • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Passionnée de musique, de théâtre, de culture britannique et japonaise, curieuse, solitaire mais sympathique ! • PARRAINÉ ? Non • DOUBLE COMPTE ? Non • CODE ? C'est ça, Hikari est fière de toi • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE The last but one !