« Le rire est le propre de l’homme,
le savon aussi... »

feat - SpazzyToaster de Zerochan ( c'est elle qu'a copié mon pseudo :< )

• NOM Sore • PRÉNOM(S) Spazzy • AGE 17 ans • CIVILITÉ célibataire • SCOLARITÉ 1ère année • SEXUALITÉ Monosexuelle, Spazzy n'aime qu'elle, elle, et elle seule. • GROUPE Heart's Key • POUVOIR Caméléon *Le choix a été très dur*

« Rire d'un miroir, c'est rire de tout. »

Matthieu Chedid

Qu'est-ce que c'est que ça ? En-core de la boue ?! Eh ouais, de la boue chez elle, y en a : Sous les tennis, sous les ongles et même entre les cheveux. Elle passe tellement de temps grimper aux arbres et à espionner les insectes que, forcément, ça finit par l'envahir. Et puis cette tenue... Quel manque de goût infâme. Situé entre le grunge et le rien-du-tout, tant que c'est confort, Spazzy aime et adhère, quitte à porter des pulls détendus et des leggings effilochés. Ses cheveux désorientés ressemblent à une bombe capillaire venant juste d'exploser sur sa tête. Il y en a partout et dans tous les sens possibles.

Du visage, rien de plus banal que le cliché typique nippon qui ne se diffère même pas d'un faciès chinois. A croire qu'elle n'a piqué que les traits asiatiques de sa mère. Pourtant, il y a bien quelques détails qui permettent de la reconnaître, et surtout, de s'en souvenir. Spazzy a les yeux bicolores, ce n'est pas inné, à sa naissance, la petite avait les yeux marron, ce n'est que vers 14 ans qu'on a pu assister au changement, petit à petit. Elle n'a jamais voulu dire si c'étaient des lentilles ou une contamination. Et derrière son écharpe, un point de beauté. On a beau lui dire que c'est signe de richesse et de... beauté, Spazzy refuse de le montrer.

Son regard, lorsqu'il n'est pas dans le vague, est occupé à vous espionner, traquant chacun de vos gestes. Même s'il ne parle pas à proprement dit, vous savez, au plus profond de vous qu'il est entrain de se moquer de vous. Même si ce n'est pas forcément attentionel, le visage de Spazzy est, par défaut, moqueur ou sarcastique. .

Rire, c'est marrant.

« \(^o \) (/ o^)/ »

« J'aime les bébés animaux. »
« Ca pue les bébés animaux. »

Noppe, ce n'est pas Spazzy qui aime les bébés animaux. Enfin si... Mais non... Enfin, pas tout de suite. Spazzy parle beaucoup, mais peu d'elle. Son plus gros défaut est sans doute lié avec son don... Influençable. Vous lui dites que le rock c'est nul, elle hochera la tête même si au fond d'elle, tout n'est que torture et désastre. Elle n'ose pas et ne cherche pas à affirmer ses goûts. Pourtant, ils sont bien là, elle aime ce qu'elle veut bien aimer et ne cherche pas à porter du rose juste parce que c'est devenu tendance, c'est simplement qu'elle les montre pas. De l'extérieur, on pourrait croire que c'est une tête vide bien fade qui attend seulement qu'on la remplisse d'idées déjà bien conçues, hors, c'est tout le contraire. Elle aime se donner un genre qu'elle n'a pas, faire croire que c'est une dure alors que ce n'en est pas une. Si elle adore les bébés animaux, elle le niera sévèrement de peur de passer pour une fillette.

Mais ça, ce n'est, heureusement, qu'en présence d'un groupe. Une fois que Spazzy se retrouve seule à seule avec quelqu'un, tout devient plus clair et la petite qui affirmait n'écouter que des musiques commerciales quelques secondes plutôt avoue n'avoir en fait dans sa playlist, que des musiques que personne n'écoute. Elle étale sa culture sur les bébés animaux et une fois le menton sortit de son écharpe, vous saurez que le signal aura été envoyé. Nez sortit = esprit ouvert. C'est bien dommage qu'une fois qu'elle se retrouve en compagnie de plusieurs personnes à la fois, elle se referme et sa voix reprend ce ton sarcastique et irritant. Elle se met alors à vanner de façon pas forcément intellectuelle tout ce qui lui passe sous la main et sa vulgarité reprend le dessus. Ce ne sera alors même plus la peine de lui demander le moindre renseignement car elle répondra automatiquement par un "dans ton uc".

Spazzy ne cherche pas le contact mais ne le fuie pas non plus. La solitude lui va assez bien. Elle n'ira jamais vers les gens, mais ne rejette jamais (du moins, la plupart du temps...) quelqu'un qui vient vers elle. Si elle s’assoit à un banc seule en cours, c'est uniquement par profit personnel. Moins on l'entoure, plus de place il y a, et plus de place il y a, mieux elle pourra s'étaler dessus. Tout n'est que bénéfice et intérêt chez elle. Dès qu'elle a l'occasion de tirer du profit, elle ne se gêne pas. Ses services sont payants et rien que de ramasser le classeur tombé de quelqu'un d'autre ne sera pas gratuit. Toute monnaie d'échange lui va, que ce soit des cerises, le dessert du midi ou les réponses au devoir, ça lui va. Tant qu'on paie, c'est parfait.

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Il y a longtemps.

« Alors ? Comment as-tu trouvé ce ballet Spazzy ? »

Magnifique ! Je l'ai trouvé sublime et débordant de grâce mais les mots ne me venaient pas à la bouche tellement j'étais submergée par l'émotion. Ma grand-mère me tapota la tête en émettant un léger rire.

« Je comprends, les mots ne suffisent pas hein ? »

J'ai vivement hoché la tête. Oooh non, les mots seuls ne suffisaient pas. J'en dois énormément à ma grand-mère. Malgré sa santé, elle continuait à prendre soin pendant que mes parents étaient encore et toujours occupés ailleurs. Ok, ok... Ils avaient besoin de ça pour nous faire vivre, et même si ce n'est pas de leur faute, au fond de moi, je leur en ai toujours un peu voulu de toutes ces absences. Depuis ce jour, ma passion pour la danse classique n'a fait que croître mais les seules occasions que j'avais pour en parler avec mes géniteurs, je n'osais pas. Ils avaient l'air tellement débordés...

J'ai eu énormément de mal à m'intégrer dans mon nouveau collège. A la mort de ma grand-mère, mes parents ont décidé de quitter le village natal de ma mère pour aller vivre à Tokyo, la "mère des mères" qu'ils l'appelaient. Je ne pensais pas que les étudiants de Tokyo seraient aussi froids. La seule avec qui je m'entends bien s'appelle Misaki.

Lorsque Misaki m'a parlé de son club de danse, j'ai tout de suite sentit l'aubaine s'offrir à moi. Les premiers jours ont été durs, moi qui me trouvais extrêmement souple, par rapport aux autres danseuses je passais pour un bonbon de réglisse. Takeoshi-sensei était vraiment sévère. Chaque fois que mon dos n'était pas assez droit ou que mes bras étaient trop tendus elle me hurlait dessus. Un jour, elle s'est tellement acharnée que j'en ai pleuré toute la nuit. Misaki m'a beaucoup soutenue et elle m'a proposée de faire un duo rien que nous deux. C'est vrai qu'elle était vraiment douée, mais je n'étais pas sûre que ce soit une bonne idée. Un duo rien qu'avec nous... Ça me paraissait un peu surréaliste mais les arguments qu'elle utilisait pour me convaincre étaient de taille : Plus de Takeoshi-sensei, plus de juste-au-corps particulier, plus de stress, juste nous... Après quelques jours, j'ai fini par accepter.

Il y a un peu moins longtemps que ça.

Finalement, Misaki et moi nous nous sommes plutôt bien débrouillées. En plus, c'est une super prof. Nous avons déjà fait deux représentations sur scène devant toute l'école et tout le monde nous a applaudit.

Tout le monde...

Sauf mes parents.

En me conduisant à l'école pour les journées portes ouvertes, ils s'étaient un peu disputés dans la voiture, rien de très grave en somme... Seulement, papa avait l'air vraiment contrarié. Visiblement, c'était à cause d'une embrouille avec grand-mère mais j'étais tellement en stress pour la danse que je n'avais pas fait attention à ce qu'ils disaient.

Les jours suivants, la tension à la maison a commencé à monter, plus le temps passait, plus j'avais l'impression que le sol s'effondrait sous mes pieds. Ma mère était souvent en pleurs à regretter des choses que je n'avais pas le droit de savoir et mon père se lamentait d'avoir épousé quelqu'un de si irresponsable.

La dernière semaine de décembre, le verdict est tombée, mes parents ont décidé de divorcer.

Cette semaine, j'avais justement une prestation de danse. Je devais cosplayer Kraehe, la méchante ballerine d'un shojo, autrement dit, je possédais l'un des rôles principaux pour la pièce de qu'avait composée le club de théâtre de ma classe. La veille, je ne m'étais pas très bien nourrie. Je me sentais tellement mal que l'appétit me manquait. Psychologiquement, je voulais manger du chocolat, mais une fois dans ma bouche, je n'en voulais même plus. La nuit, j'étais tiraillée par la faim, et le jour du spectacle, j'ai chu.

Au moment de passer sur scène, je sentais que quelque chose m'avait été insuffisant. J'avais beau mangé un bout de sandwich avant l'entraînement, je me sentais faible et dès que je me levais un peu trop vite, j'avais le tournis. Je ne pouvais pas renoncer à mon rôle maintenant, il était trop tard et je mettrais tout le monde dans le pétrin. Misaki ne pouvait pas me remplacer étant donné qu'elle jouait déjà en tant que l'héroïne. Je suis donc monté sur scène et au moment où j'ai entrepris ma pirouette, j'ai vu le monde défiler sous mes yeux comme les batteurs d'un mixer. Le ciel s'est étalé sur le sol et les nuages semblaient encore plus pâles que je ne l'aurais cru. La salle me semblait bruyante et il m'a fallut dix bonnes secondes avant de réaliser que j'étais à terre. En me redressant, j'ai perçu chacun des visages moqueurs. A cet instant précis, j'ai voulu disparaître, devenir invisible et me fondre dans le décor.

Les jours suivants furent les pires de ma vie. Tout le club de théâtre m'en voulait jusqu'à la mort. J'avais tellement mais tellement honte... Seule Misaki me comprenait car c'était la seule à qui je m'étais confiée. Elle était au courant du divorce de mes parents et de mes petits coups de blue mais malheureusement, il m'était impossible d'envisager une nouvelle prestation de danse après l'accident qui s'était déroulé. Notre duo s'est dissout et j'ai définitivement arrêté la danse. Je me suis reconvertie au baseball et Misaki est partie de son côté. Nous nous revoyons encore, de temps en temps, mais notre entente, je le sens, n'est plus aussi soudée qu'avant.

Il y a 4 ans.

« High five ! »

Encore une nouvelle et belle victoire remportée par Himaru Gakusei ! Personne ne me croyait quand je disais que j'étais imbattable au baseball, j'espère que ça leur a remit l'esprit en place, qu'est-ce que je vais me faire respecter au collège, à mon retour ! Tout le monde m'a félicitée et m'ont offert des boissons. Ce soir, on doit fêter ça. En sortant du gymnase, Peter m'a faite sa déclaration et j'ai accepté, depuis, on sort ensemble, c'est magnifique, j'ai les papillons au ventre et j'ai l'impression que plus rien ne pourra me faire du mal ! Peter, c'est le nouvel élève qui vient d'Amérique. Il est blond aux yeux bleus et il a trop la classe. Je l'aime tellement.

Il y a 3 ans.

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire ! J'ai 14 ans. Mais aujourd'hui, il s'est passé quelque chose de très étrange...
Tout le monde était là, mes parents avaient fait l'effort de venir ensemble et même Peter avait été de la fête. En-soi, tout se passait bien. Mes cousins jouaient avec les ballons et moi et Peter dressaient la table. Les invités criaient un peu trop et commençaient à s'agiter dans tous les sens alors ma mère leur a demandé de jouer dehors. Ils ont proposé qu'on fasse un balle-chasseur. Comme c'était mon anniversaire, ils ont décrété que ce serait moi la chasseuse en première. Évidemment, j'ai touché tout le monde en un temps record. Mais quand ce fût au tour de Misaki d'être la chasseuse, je me suis aussitôt sentie mise à l'écart, à chaque fois, elle courait après les autres mais pas vers moi. Parfois, je me demandais si elle le faisait exprès et je me mettais devant elle mais elle faisait comme si elle ne me voyait pas. Même que des fois, si je ne bougeais pas à temps, elle était partie pour me foncer dessus. Vers la fin, j'en ai eu marre et je suis rentrée et de la fenêtre, j'entendais les autres demander "Elle est où Spaz' ?". J'ai été un peu triste sur le moment, jusqu'à ce que le jeu finisse et qu'ils soient revenus à la maison. Misaki est venue vers moi, la mine boudeuse.

« Où est-ce que tu étais ? »

Sur l'instant, j'ai cru qu'elle le faisait exprès et j'ai soufflé en boudant.

« Spaz', tu boudes ? »
« A peine ! »
« Mais pourquoi ? »

J'étais tellement contrariée qu'elle ne sache pas pourquoi que je me suis levée et suis allée vers Peter. Lui non plus ne comprenait pas et je lui ai expliqué que ça m'avait un peu refroidie le fait qu'ils aient fait semblant de ne pas m'avoir vue. Peter m'a regardé, la face déconfite. Il avait l'air tellement misérable que c'en était presque mignon celà-dit.

« Spazzy, je te jure qu'on ne t'as pas vue, à la fin on a cru que tu t'étais cachée exprès pour pas qu'on te touche. »

Alors lui aussi nie ? J'ai haussé les épaules, ça ne sert à rien de bouder pour ça alors que c'est mon anniversaire. J'ai passé l'éponge et la soirée s'est bien terminée.

Il y a 2 ans.

Mon Dieu, mon Dieu ooooh mon Dieu ! J'ai com-plè-te-ment oublié les examens ! Ça me stress comme pas possible ! J'ai dû étudier jusqu'à 3 heures du matin tellement j'avais la tête ailleurs. J'ai pas du tout révisé la semaine passée, je sens que ça va être désastreux.

Le stress m'a suivie jusqu'au bout. A peine m'étais-je assise à mon banc que mes mains ont tremblé comme des grelots. Je le sentais très mal. La prof a donné les paquets de feuilles aux premiers bancs pour qu'ils le fassent passer derrière. Quand les feuilles sont venues vers moi, mon estomac s'est remplit de plomb en une fraction de seconde. Je les ai vues arriver et puis, elles se sont stoppées net. Manabu regardait au-dessus de moi car j'étais affalée sur le banc, la tête entre mes doigts.

« Tiens, Sore-sans n'est pas là ? »

Quoi ? C'est une blague ? Je me suis vivement retournée vers mon camarade de derrière. Il venait de hausser les épaules et a reprit le paquet de feuille. J'ai cru qu'un deuxième cœur venait de pousser dans mes oreilles tellement je le sentais battre fort. Le monde entier paraissait être de la ouate et les sons me parvenaient à peine.

J'ai voulu leur crier : Arrêtez ! Je suis là devant-vous ! Mais aucun son n'a réussit à sortir de ma bouche. Personne, personne n'avait remarqué que j'étais là et que je n'avais pas de feuille, ils répondaient tous au test sans se soucier de moi. Après quelques minutes de stupéfaction, je finis enfin par me tirer de ma torpeur et j'ai crié tout haut : « Hé ! Je suis là ! » Tout le monde s'est retourné vers moi et là, j'ai eu l'impression qu'un déluge de honte s'était abattu sur moi. Ils me voyaient maintenant. J'étais tellement gênée que je suis partie de la classe en courant.

Il y a 1 an.

Il m'a fallut le temps mais je crois que j'ai compris ce qu'il m'arrive. Aussi incroyable que cela puisse paraître, lorsque j'ai une montée d'adrénaline, les gens ne me voient plus, par contre, pas que je deviennes totalement invisible car ils ne peuvent voir à travers moi, mais c'est un peu comme si je me fondais dans le décor. J'ai voulu m'entraîner devant le miroir mais je n'arrive pas à provoquer cet étrange phénomène volontairement. Il faut que quelque chose me fasse peur ou me fasse stresser. Je suppose que c'est un genre de système de défense, comme les caméléons. Et si mes ancêtres étaient des caméléons ? Est-ce que j'arriverais aussi à bouger mes yeux individuellement ?! Ou bien chopper des moustiques rien qu'avec la langue ?! Tout cela m'excite tellement mais pour le moment, je n'arrive à rien...

Alors que je commençais un peu à oublier de quoi j'étais capable, ce matin, mes parents m'ont amenée une lettre étrange aux parures dorées. Elle paraissait presque envoutante et surtout, très flatteuse. Le contenu ne cessait de me faire des éloges, à dire que mon talent était incroyable, que j'avais tout pour entrer au prestigieux pensionnat Aomori et que les trajets de train m'étaient offerts, qu'il ne fallait pas que je m'inquiète pour mes proches, je pourrais leur envoyer des lettres et les voir, peut-être... et surtout, que cette école était spécialement faite pour des gens comme moi.

Comment résister à une telle proposition ?

CAMÉLÉON

« Le seul prédateur véritablement capable de vous débarrasser de moustique ! »

Pour le moment, Spazzy ne contrôle son don que très, très médiocrement, il n'est influencé que par l'adrénaline. Plus elle stress, plus c'est efficace, mais il arrive parfois, lorsqu'elle est gênée, que ses joues prennent une teinture très étranges aux motifs non-répertoriés. De temps à autre, il lui semble pouvoir entendre le vrombissement d'une mouche lointaine mais l'envie de la gober crûe ne lui est pas encore venue. Il paraît que d'autres ayant pu maîtriser la totale partie de leur don étaient capables de copier leur environnement jusqu'à ce que l'imitation sois si parfaite, qu'on pourrait confondre leur peau avec cette même matière qui se trouve derrière eux. Évidemment, ce n'est qu'illusion d'optique. Si vous la touchez, vous remarquerez que c'est bel et bien sa peau, mais tant que vous restez à une distance raisonnable, c'est copie conforme, même les insectes s'y font avoir. En revanche, si elle est mal placée, on peut facilement la discerner du reste tant bien à cause de sa propre ombre, que celles de son environnement. Peut-être qu'avec les temps, elle pourra faire comme ses aînés et tromper les reflets, mais ça, ça reste encore un mythe pour la petite. Aussi, lorsqu'elle se trouve au-dessus de l'eau, il lui est impossible d'effacer son reflet et par conséquent, son don peut être très facilement contré là où il y a de l'eau. Le plus efficace reste quand même la forêt.

derrière l'écran se cache...

« quelqu'un de très important wiwiwiwi »

• PRÉNOM ou PSEUDO Vynile :3 Appelez-moi... Vynile 8-) • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS Je... heu... je... C'est que... Heu... Hm... J'aime jouer au pc :3 • PARRAINÉ ? Nein. • DOUBLE COMPTE ? Noppe sir. • CODE ? Takeo dit d'accord ! • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Quand j'ai cliqué sur : Titre du sujet y a : " Gogogo powers ranger " qui était affiché dans la liste déroulante... Je me suis retenue de laisser ça mais je me suis dis que ça ferait pas sérieux pour mon premier post °U° (Et chui pas un lutin °n°)