C'est l'heure du goûter ~ PV Reiji & Takeo ♥

Cet après-midi là, Charlotte avait CDP à quatorze heures, et c'était son dernier cours de la journée. Une fois de plus, elle ne se rendit pas en classe pour cet enseignement qui lui était plus qu'inutile, puisque son pouvoir... Ce n'était pas quelque chose qu'elle pouvait contrôler. Elle le subissait, point final. A la place, elle s'était donc rendue dans la petite cuisine de son club et, d'une humeur particulièrement enjouée, elle avait commencé à faire des petits gâteaux sablés à la cannelle et au miel. Cela lui avait pris plus d'une heure, entre la préparation, le lavage et le rangement des ustensiles ainsi que la cuisson, et la sonnerie du four avait retentit d'un « Ding~ » aiguë à quinze heures treize pile. S'armant de gants pour sortir sa plaque brûlante, elle avait disposé les gâteaux sur un plateau pour accompagner le thé au citron qu'elle avait fait pendant la cuisson.
Lorsqu'elle sortie de la petite cuisine, son plateau sur une main, les couloirs étaient encore pratiquement déserts puisque les cours n'étaient pas encore finis, et elle monta les escaliers tranquillement pour se rendre au deuxième étage, dans le couloir du dortoir B. Non pas pour se rendre dans sa propre chambre, la numéro 6, mais pour aller devant la porte de sa « jumelle », la 6bis, qu'elle savait être la chambre de Takeo. En revanche, elle avait oublié si ce dernier avait cours ou non à cette heure-ci et elle toqua doucement de sa main libre contre la porte. Une fois, attendit, puis une seconde...

- Monsieur Takeo ?

Après un cours silence Charlotte en déduisit qu'il était absent, et que visiblement ses ou son colocataire également, et fit une petite moue contrariée en se disant qu'elle aurait dut se renseigner avant de venir. Machinalement, pensant qu'elle n'allait pas attendre ainsi dans le couloir, elle posa les doigts sur la poignée de la porte pour la tourner... Et la porte s'ouvrit dans un faible cliquetis. Visiblement, quelqu'un avait oublié de fermer à clefs. En entrant, elle se dit quand même que ce n'était pas très prudent, car si cela avait été quelqu'un d'autre qu'elle, peut être cette personne ne se seraient pas gênée pour fouiller ou voler... Charlotte referma la porte derrière elle et avança d'un pas dans la pièce, en regardant autour d'elle... Et finit par poser son plateau sur le bureau de Takeo, qu'elle avait reconnu car dessus traînait un cahier avec le nom de ce dernier. Machinalement, pour attendre, elle s'assit sur le rebord du lit le plus proche du bureau, et n'eut aucun doute quant à l'identité de son propriétaire à l'odeur des draps. Les mains posées sur son tablier, elle regarda autour d'elle avec un petit sourire, se demandant un instant avec qui son Maître pouvait bien partager sa chambre, et si ils s'entendaient bien entre eux.

Ayant fini de faire le tour du propriétaire de son regard bleu, ce dernier finit par se poser sur la chaise de bureau de Takeo sur laquelle se trouvait une chemise. Charlotte la regarda machinalement et plissa un peu les paupières avant de tendre le bras pour l'attraper et remarqua que deux boutons pendouillaient un peu, et qu'elle était légèrement déchirée au niveau du col, comme si quelque l'avait empoignée avec violence. Penchant la tête sur le côté, elle glissa sa main dans la petite poche cachée à l’intérieur de son tablier, à l'envers de ce dernier, et en sortit une aiguille ainsi qu'une petite canette de fil blanc. Ôtant ses chaussures pour les laisser au pied du lit, la jeune servante s'installa en tailleurs confortablement sur le matelas, dos contre le mur, et enleva les boutons fragiles pour mieux les recoudre. Elle en profita pour solidifier tous les autres aux passages, et, mettant la chemise à l'envers pour faire une couture qui ne se verrait pas de l'extérieur, commença a réparer la déchirure en se demandant bien comment Takeo avait put se la faire...

HS:

Age

Aujourd’hui petite folie, j’ai décidé de sécher les cours général, quoi ? C’est habituel ? Mais nooooon voyons ! Il m’arrive parfois d’y aller à ses cours histoire de ne pas redoubler. A vrais dire les seul cours que je ne sèche jamais ce sont les cours concernant mon pouvoir et le sport. En bref
Cette après-midi je n’avais que cours d’anglais, chose inutile vu qu’on est aux japons, ainsi que… Oh et puis m**** y’a pas de cours intéressant dans tous les cas. Et puis c’est peut-être une occasion d’être tranquille dans la chambre, parce que monsieur Takeo est bien trop sérieux pour sécher les cours. Il faut dire qu’on n’est pas partie dans de bon terme lui est moi, malgré la première approche qui a été censé bien intentionné. Sauf que voilà je n’ai pas l’intention d’arranger quoi que ce soit entre ce mec et moi. Le social et moi ça fait deux, et je ne suis pas le genre de personne qui aimerait se faire beaucoup d’ami. Et puis avec le temps j’apprécie de moins en moins la façon d’être de Takeo. C’est un profiteur. Et personne ne peut dire le contraire. Il y a une élève habillé comme une domestique qui en ce moment est constamment collé à lui. Encore s’il n’y avait que sa irai, mais ce n’est pas tout. Cette fille et devenue la bonne à tout faire de Takeo, une soumise au point de faire son petit déjeunée le matin au lieux de manger au réfectoire comme tout le monde. Ça me sort par les yeux une situation pareille ! Et Takeo en profite limite se prenant pour un roi, comme si c’était tout à fait normal que cette fille le servent à longueur de journée comme une esclave. Oui parce que en plus de ça elle fait la bonne gratuitement. Mais pourquoi elle fait ça ? Elle n’a donc rien d’autre à foutre que de le servir ? Vivre pour elle, elle ne sait pas faire ? Elle fait pitié…

Essayant de ne pas penser à eux en pensant encore une fois à ma sœur de cœur, je me dirige la musique aux oreilles vers ma chambre, pensant pourvoir être tranquille. Mais bien sur une mauvaise surprise m’attend derrière la porte. Pour le moment je ne me doute de rien, quasiment persuader que je me retrouverais seul dans la chambre pour pouvoir y faire quelque affaire personnel, genre avoir un coup de fil de l’orphelinat ou quelque chose dans le genre. Mais c’est en me retrouvant devant la porte déjà entre ouverte que j’eux un mauvais pressentiment. J’enlève mes écouteurs perplexes et hume l’air sentant une odeur pas habituelle. Une odeur sucré genre des gâteaux encore chaud et du citron. Non attend ne me dites pas que ce pauvre type est en train de jouer à la dinette dans la chambre la ?! D’un air décidé j’ouvre la porte de ma chambre pour bien faire comprendre à ces deux zigotos ma façon de penser. Une fois la porte ouverte, je vois Charlotte. Tout d’abords je me suis dit *Mais qu’est-ce qu’elle fou là ?!*, un gros blanc qui peut rendre mal alaise la jeune fille. Pendant ce moment de silence encore devant la porte, le fixe en train de recouvre les boutons de la chemise du profiteur.

« Dites-moi que je rêve… »

J’étais sur le cul, c’est vraiment un soumise à ce point ? Au point de lui apporter le thé dans sa chambre et de lui recoudre sa chemise pendant qu’il a court ? Je commence à serrer les dents ainsi que les poings en rage par cette situation qui pour moi n’est absolument pas acceptable. Je fixe donc Charlotte en colère tentant de la faire réagir à ma façon.

« Non mais attend ! T’en a pas marre de faire ta bonniche auprès de ce tocard pour avoir rien en retour ?! T’en a pas marre d’être soumise comme ça ?! T’es obligé d’être indépendante de quelqu’un ?! ON EST AU 21eme SIECLE BORDEL ! C’EST FINI LE TEMPS DE L’ESCLAVAGE ! »

Je soupire lourdement et ferme la porte derrière mois profitant qu’il n’y a personne pour lui faire ouvrir les yeux. Mais bien entendue cette manière d’expliquer les choses n’est pas des plus amical. Je ne sais pas être amical avec ce genre de personne.

« On est censé être dans un pays libre ici ! Vie pour toi bordel de merde ! Arrête d’être dépendante de quelqu’un seulement parce qu’il a l’air gentil ! Il ne fait que profiter de toi ! Takeo est un profiteur ! »

Je soupir à nouveau par la colère et lui dit ces derniers mots avant de lui laisser la parole.

« Ça te plaid tant que ça de faire la bonne sans raison ?! T’as pas autre chose à faire ?! »

La couture était quelque chose d'assez reposant en fin de compte. Experte en la matière, Charlotte pouvait s'adonner à cette activité de façon presque mécanique, ayant ainsi tout le loisir de laisser ses pensées vagabonder à droite, à gauche, et elle trouvait cela particulièrement agréable. Ça la détendait, et elle se surpris même à fredonner un peu pendant sa petite besogne. La chambre était calme, silencieuse. La fenêtre était fermée et isolait si bien qu'aucun bruit de l'extérieur ne se faisait entendre dans la pièce. Une vraie petite bulle de sérénité.

Et la bulle éclata brutalement. La porte d'entrée venait de s'ouvrir à la volée, faisant sursauter la jeune fille, dont les yeux foncés se posèrent sur l'arrivant... Elle le connaissait, mais seulement de vue, pour l'avoir déjà croisé dans le pensionnat. On ne pouvait difficilement oublier ses cheveux flamboyant, ses yeux cernés de noir, l'absence de ses sourcils... Mais surtout, on ne pouvait oublier la dureté avec laquelle cet adolescent vous fixait. Un lourd silence s'était installé alors que Charlotte restait pétrifiée, la chemise dans une main, l'aiguille dans l'autre, et aux premiers mots d'exaspération prononcés par le jeune homme, elle compris que c'était le colocataire de Takeo, et aurait sincèrement tout donné pour pouvoir disparaître dans un trou de souris. Surtout quand il commença à déverser son venin sur elle, les points serrés de colère.
Se recroquevillant un peu, la jeune fille n'eut d'autre choix que de l'écouter, les larmes lui montant aux yeux quand elle le vit fermer la porte derrière lui...

Après qu'il ai finit son petit discours par un soupire de colère puis une question, Charlotte réussi enfin à bouger et elle se leva du lit, le coeur battant à tout rompre. Elle plia la chemise, les mains tremblantes, et remis ses chaussures sans oser regarder son interlocuteur de peur de l'énerver encore plus, et se dirigea vers la porte, tête baissée. connaître Passant aux côtés du jeune homme, elle s'arrêta cependant, la tête toujours baissée, et lui souffla d'une voix forte, étonnement dure quand on connait a jeune fille, contrastant avec les larmes qui roulaient sur ses joues.

- Je vous en pose des questions Monsieur ? Qu'est-ce que mon mode de vie peut-il bien vous faire ? Pourquoi vous en préoccupez-vous ? Cela ne vous regarde en rien que je sache... Honnêtement, cela ne m'étonne pas qu'un être aussi obtus et borné que vous ne puisse pas comprendre le fait de vouloir faire plaisir à quelqu'un, sans forcément attendre quelque chose en retour. Cela dépasse sans doute vos capacités sociales et humaines. Quant à votre avis sur Monsieur Takeo, vous pouvez le garder pour vous. Monsieur Takeo ne profite pas de moi. Je ne suis pas si naïve que vous voulez bien le croire. Et je sais reconnaître les bonnes personnes, des mauvaises. Ce qui n'est visiblement pas votre cas. Avant de critiquer les gens sans les connaître, vous devriez peut-être vous remettre en question.

Sur ces mots, elle porta une main à son visage pour essuyer ses yeux rougis et, alors qu'elle s'apprêtait à faire les quelques pas qui la séparaient de la porte, elle releva le visage et eut un hoquet de surprise en voyant Takeo sur le pas de l'entrée. Quand était-il donc arrivé ?

Age

Cela faisait alors déjà quelques jours que Takeo et Reiji s'était battu. Encore dégouté de ce qui s'était passé, notre jeune héros devait désormais vivre avec un léger handicape, une main cassée. Si les soins prodigués par l'infirmière avait bien accélérer le processus, elle n'était pas non-plus une magicienne et Takeo devait désormais être patient. C'était bien chiant en tout cas... Comme le jeune homme était droitier, il devait désormais prendre ses notes de la main gauche, chose peu glorieuse. M'enfin, il n'avait qu'à assumer ses actes. Quoi ? Si c'est Reiji qui était responsable de cela ? Non, absolument pas Tout cela était la "faute" de ce nouveau surveillant... un certain RIku. Non, il ne l'avait pas frapper, ne vous inquiétez pas... Il faut plutôt dire que Takeo avait eu droit de tester le pouvoir de ce nouveau surveillant. Reiji, lui, n'était responsable finalement que d'une légère ouverture sur le coin droite de la bouche, désormais couverte par un petit sparadrap. C'était surtout l'égo et la fierté de Takeo qui en avaient pris un compte au fond... Mais cela est une autre histoire.

Si tout cela ne suffisait pas, Takeo souffrait depuis ce matin d'une douleur étrange aux yeux. La sensation était étrange... Tantôt il avait l'impression que ces yeux le brûlait, tantôt il avait l'impression qu'ils étaient fais de glace... Si son esprit ne le jouait pas des tours, il aurait presque pu dire à un instant qu'il avait vu à travers une feuille... Mais c'était probablement un rêve. La matinée fut alors longue pour le jeune homme qui devait jongler entre écrire difficilement de la main gauche et se frotter machinalement ses yeux qui devenaient de plus en plus rouge. Quel galère. Souffrant trop pour rester en cours, le jeune homme avait alors décidé de sécher les derniers cours de la journée pour se reposer. De plus, rentrer avant l'heure allait certainement lui permettre de se reposer tranquillement dans la chambre sans la présence de Reiji. Car oui, pensez-vous, les deux jeunes ne pouvaient clairement plus se blairer. Takeo jouait alors désormais la carte de l'ignorance, attendant son instant, le moment où il pourra éventuellement se venger, même si cela ne lui apporterait rien au final. M'enfin.

Quittant alors la salle de cours avec l'accord de son professeur qui visiblement avait remarquer les faiblesses de son élève, le jeune homme se dirigea doucement vers sa chambre. Sa main lui faisait bien mal mais la douleur aux yeux prenaient doucement de plus en plus d'ampleur. Etais-ce dû au sable de Reiji ? Mouais... Pourquoi avoir mal soudainement aujourd'hui ? M'enfin... rien n'était impossible, mais qu'importe. Remontant les deux escaliers difficilement, se sentant presque à bout de force, Takeo dû faire une pause arrivée à l'étage des chambres, sa vision se troublant alors soudainement. Les yeux fermés, il s'avança alors dans le couloir, connaissant l'endroit où se trouvait l'entrée de sa chambre et s'arrêta devant la porte avant d'ouvrir les yeux pour l'ouvrir. Cette fois-ci, il en était quasi sûr... Il voyait à travers la porte. Il ferma alors rapidement un oeil, sentant une vive brûlure le prendre, puis la vision redevint normal, la porte en bois quoi. Qu'avait-il vu ? Sa vision avait était brève, et trouble. Mais il avait clairement vu deux personnes. Les couleurs qui en ressortaient étaient pour une un rouge chatoyant au niveau de la tête et pour l'autre, un mélange de noir et de blanc. Evidemment, il comprit que la première silhouette était Reiji, mais la deuxième ? La deuxième, il l'a compris en écoutant derrière la porte. "Monsieur Takeo". A ce son, cela ne pouvait être que Charlotte.

Qui était Charlotte ? Hmmm, cette histoire était bien longue et bien étrange aussi. Charlotte était la dernière connaissance faites par Takeo. Si cela aurait pu s'arrêter là, ce ne fut alors pas le cas. Charlotte était en quelques sortes la servante de notre jeune héros, et ce... malgré lui. Lui-même ne comprenait pas pourquoi mais avait néanmoins accepter la situation pour ne pas blesser son amie. A vrai dire, depuis le coup du petit déjeuner, Takeo n'avait que revu Charlotte lors de brèves instants. Elle le croisait toujours avec pleine de bonnes attentions... Des petits biscuits, du thé... Et à force, Takeo s'était attiré les foudres de bon nombre d'élèves. Malheureusement, il n'était pas fautif et ne profitait absolument pas de la situation. Depuis un moment, il avait voulu savoir le pourquoi du comment, mais après le déjeuner, il y eu la bagarre, puis la rencontre de Riku avec qui il passa un peu de temps... Mais encore une fois, tout cela est une autre histoire.

Enfin bref. Sans attendre, notre jeune héros ouvrit alors la porte et tomba quasiment nez à nez avec Charlotte qui semblait elle aussi venir dans sa direction. Elle fut alors surprise de le voir et c'était une chose compréhensible. A vrai dire, elle ne l'avait depuis sa bagarre et n'avait donc pas encore vu son bandage, sa lèvre et en plus maintenant ses yeux... Mais qu'importe... Son oeil droit toujours fermé, Takeo s'approcha de Charlotte voyant ses yeux rougit et lui prit alors les mains, par inquiétude.

- Charlotte ? Comment allez-vous ?

Il jeta alors un regard noir à Reiji, le regardant par-dessus l'épaule de Charlotte et sa haine refis vite surface. Si la belle n'était pas là, les injures auraient certainement volées dans la pièce... Mais ayant déjà fait sursauter une fois la jeune fille en remettant une personne à sa place, il était hors de question qu'il recommence. Il se contenta alors d'un silence et de son regard. Puis, il reposa son visage vers celui de la jeune fille qui semblait toute bouleversée.

- Que s'est-il passé ? Que faites-vous là ? Vous a-t-il fait du mal ?

Suite de quoi, il releva une nouvelle fois le regard vers Reiji... Qu'il fasse un geste de travers celui-là...

Age

S’il y a bien une chose que je ne comprendrais jamais, c’est pourquoi en cette période de l’année, il est quasiment impossible d’être seul et tranquille quand on le souhaite. L’année précédente j’y suis parvenue pourtant, j’étais tranquille personne ne me faisait chier, je faisais quelque baston de temps en temps et puis s’est tout. La belle vie quoi. Mais depuis que j’ai voulu faire un effort social avec ce colocataire de chambre plus moyen d’être en paix. Quoi que depuis ma rencontre avec Manami plus moyen qu’on me laisse tranquille non plus. Pfff, ça m’apprendra à essayer de parlementer avec les gens, c’est inutile et s’est seulement porteur d’ennui, la solitude y’a que sa de vrai ! Bref cela n’empêche donc pas de me retrouver dans une situation qui m’agace fortement. La petite soumise commence à me faire un discourt qui à vrai dire ne m’attends absolument pas. Elle se rebelle la petite, mais sur moi, manque plus qu’elle se rebelle sur Takeo et qu’elle arrête de se soumettre au gens. Sinon elle risque de se faire bouffer tout cru. Elle n’a pas répondu à mes questions ? Et alors ? Ces questions sont juste censées la faire réagir ? M’en fou de sa réponse ça ne m’intéresse pas. Elle s’apprête à partir pendant que je commence à m’assoir non chaleureusement sur mon lit pour regarder vite fait mon portable et bien entendu qui s’est qui arrive à la chamade ?! Monsieur l’intello à la main cassé parce que s’est un boulet sur patte.

Je commence donc à soupirer, les ennuies commence apparemment, j’ai donc préférer ne pas répondre a la petite bonne qui de toute façon ne fera attention qu’au boulet maintenant qu’il est arrivé. Comment alleeezzz vouuuuuus ? Mon dieu sont tombé bien bas, ils se croient vraiment au 18e siècle ce n’est pas possible faut les enfermer. Mais vous ne savez pas la meilleur ? Non en fait je m’en fou. Je zieute mon portable et le range déjà dans ma poche ne faisant pas trop attention à ces deux personne que je m’éprise. Mais étant nous trois dans la même pièce je n’ai pas pu m’empêcher le regard noir que je jette le petit intello ce qui me fait dessiner sur mon visage un sourire sadique un peu comme pour me moquer de lui ou lui montrer tout simplement que j’en ai rien à faire. Puis ce qui me fait encore plus rire intérieurement c’est que notre très chère colocataire ne m’insulte même pas, il se retient ? Mais il ne faut pas voyons ! Quand va-t-il comprendre qu’il faut évacuer sa colère ? C’est moi qui dis ça ? Trop drôle. Mais le plus drôle c’est que Takeo croi que j’ai fait du mal à sa petite esclave et recommence à me fixer. Buuuuh j’ai trop peur… J’en rigole déjà intérieurement. Alors sur le coup je me parle a moi-même tout en m’adressant indirectement aux deux idiots d’un air ironique.

« Genre je frappe les soumises sans défenses sans raison, s’est tout à fait mon genre. »

Je ricane suite à ces paroles trouvant cette situation bien drôle enfin de compte surtout si Takeo fait sa tapette devant la petite soumise. Qu’il fasse le malin et se sera encore plus drôle. Puis je grimace soudainement sentant à nouveau cette odeur de thé et de biscuit chaud que je n’appréciés pas tellement. Non ce n’est pas que je n’aime pas les gâteaux, ce n’est pas mauvais, mais j’aime pas l’ambiance que peut provoquer cette odeur. Sa me rappelle le bureau de l’autre folle a l’orphelinat qui se faisait tout le temps du thé avec des gâteaux pour gagner notre affection. Genre qu’on pouvait m’acheter avec des gâteaux, la naïve. Ma vrais maison c’est l’autre orphelinat ou on ma rejeter pas ici. J’aimerai bien sur le coup faire disparaitre ces gâteaux et thé à la con de ma vue mais… On va attendre un peu.

Ce qui aurait dut être un simple petit goûter agréable était visiblement sur le point de se transformer en cauchemar. D'abord, il y avait eu ce type... D'après ses souvenirs, et pour l'avoir croisé quelques fois, elle savait qu'il s'appelait Mutsuyo, mais impossible de se souvenir de son prénom. Peu importe, après tout ce n'était pas comme si elle s'en servait de toute façon. Donc il y avait ce Reiji, qui avait sans état d'âme craché son venin sur elle et la traitait comme si elle n'était qu'une idiote, une fille stupide. Et le pire dans tout ça c'est qu'il avait réussi à lui tirer des larmes lorsqu'il avait commencé à parler de Takeo... Et puis, ce dernier arriva. Au bon ou au mauvais moment, c'était à voir. En tout cas lui, n'était pas beau à voir, et Charlotte avait eut un hoquet de surprise et d'horreur à cette vision. Cependant, elle n'eut même pas le temps d'ouvrir la bouche pour demander ce qui lui était arrivé que le jeune homme l'avait devancé et pris ses mains dans la siennes.

- Charlotte ? Comment allez-vous ? puis après un bref silence et un regard sombre envers Reiji : Que s'est-il passé ? Que faites-vous là ? Vous a-t-il fait du mal ?

Charlotte secoua activement la tête et alors qu'elle ouvrait la bouche pour prendre la parole la voix sarcastique de Reiji s'élevait derrière elle :

- Genre je frappe les soumises sans défenses sans raison, s’est tout à fait mon genre.

La jeune fille se mordit la lèvre doucement à ce ton ironique, mais surtout en remarquant qu'au final Reiji avait totalement ignoré ses mots, et renifla un peu en secouant la tête pour poser son regard sur Takeo, terriblement inquiète.

- Que vous est-il arrivé Monsieur Takeo ? souffla-t-elle doucement pour ne pas trop que Reiji l'entende. Votre main..? Ses yeux se baissèrent sur le bandage et quand elle les releva vers le visage du jeune homme, visiblement bouleversée, les mots qui suivirent furent accompagnés d'un léger effleurement sur sa lèvre puis sa joue en dessous de l'oeil : Qui vous a fait ça ? Sa voix était toujours douce mais on pouvait y déceler une certaine inquiétude et même de la froideur. Car si Charlotte était du genre à se laisser frapper sans rien dire, il ne fallait surtout pas qu'on touche à ceux qu'elle servait. Or, son Maître actuel, c'était Takeo.

Elle prit ce dernier par la main pour l'emmener à son lit et l'y faire s'asseoir avec une certaine et nouvelle autorité maternelle, tournant toujours le dos à Reiji alors qu'elle se sentait de plus en plus en colère, se doutant que ce dernier n'était pas innocent en ce qui concernait l'état de Takeo. Après tout, vu comment les deux jeunes hommes se regardaient, il n'y avait vraiment pas photo : ils ne pouvaient pas se blairer. Et l'instinct de Charlotte la trompait rarement. Cette dernière s'accroupie face à Takeo après l'avoir fait s'asseoir et passa l'index sur sa lèvre en répondant à ses interrogations avec un doux sourire chaleureux, mais l'air toujours un peu bouleversé.

- Pardonnez mon intrusion Monsieur Takeo, j'avais préparé du thé et quelques douceurs pour votre sortie de cours, mais je m'y suis prise un peu en avance... Comme la porte de votre chambre était ouverte, je me suis permise d'entrer plutôt que d'attendre dehors... dit-elle en désignant le plateau posé sur le bureau et couvert de bonnes choses. J'en ai aussi profité pour recoudre votre chemise qui était en mauvais état, pour m'occuper en vous attendant.. Puis Monsieur.. Mustuyo est arrivé et... Et je m'apprêtais à partir. Seulement j'ai quelque chose à faire avant toute chose...

Après ses mots la jeune fille se releva et s'inclina poliment devant Takeo en disant fortement pour que Reiji l'entende clairement :

- Que Monsieur pardonne mon attitude à venir.

Sur ce, la servante fit volte-face et s'approcha du plateau. On aurait put penser qu'elle allait le prendre, et s'en aller comme elle était venue pour laisser les deux jeunes hommes régler leurs différents entre eux. Mais elle n'en fit rien, et se contenta de prendre l'une des tasses pour la remplir de thé brûlant, et de la seconde main de prendre l'un des sablés à la cannelle. Seulement, à la place de revenir vers Takeo, elle se dirigea vers Reiji qui n'avait toujours pas bougé, et lui décrocha un sourire des plus éclatant. Des plus ironiques aussi, chose très rare chez la jeune fille.

- J'espère que Monsieur Mutsuyo appréciera les petites douceurs d'une "soumise sans défense", annonça-t-elle d'un ton chaleureusement sarcastique. A ses mots elle leva la main qui tenait le sablé au dessus de la tête de Reiji -elle remercia à cet instant ses origines européenne la rendant plus grande que la moyenne japonaise- et émietta le gâteau dans les cheveux flamboyant du jeune homme, alors qu'au même moment sa main droite tenant la tasse faisait un petit geste bref, envoyant le liquide brûlant qu'elle contenait sur le haut du torse et le cou du rouquin. Bon appétit Monsieur Mutsuyo ! chantonna Charlotte, le coeur battant la chamade d'avoir osé faire une telle chose, mais terriblement soulagée.

Age

Mais quelle journée de merde. Il n'y avait pas d'autres termes finalement. Takeo souffrait depuis ce matin d'atroces picotements aux yeux qui l'avaient finalement handicapé au point qu'il doive quitter les cours en avance... c'est dire. Ajoutez à cela une main droite dans un bandage quand vous êtes droitier... bingo, journée de merde, on y est.

Arpentant les couloirs vides du pensionnat, Takeo avait rejoint assez rapidement sa chambre. Il avait dû le faire quasiment à l'aveuglette, ces yeux l'empêchant alors de plus en plus de voir... mais en fait, étais-ce vraiment le cas ? Takeo n'aurait pu dire. Avait-il rêvé ? Non, pas possible. Avant même d'ouvrir la porte de sa chambre, il y avait vu deux personnes. C'était pas une hallucination... et cette douleur qui avait suivis ? L'impression d'avoir un oeil se gelant sur place ? Non, tout cela n'était pas naturel... Il fallait que Takeo se renseigne sur ces vives et récentes douleurs... qu'il parle de ce qu'il voyait. Mais ce n'était pas le moment car notre jeune héros compris bien assez vite ce qui se tramait dans chambre. Imaginer Charlotte seul avec Reiji était bien inquiétant, il fallait rentrer et maintenant.

A la manière d'un preux chevalier, Takeo avait donc ouvert la porte pour tomber nez à nez avec Charlotte. Celle dernière semblait être bien bouleversé. Légèrement rougis, son visage exprimait un mélange de tristesse, de gêne, de colère... bref, un jolie melting pot d'émotions qui semblait avoir réussi à faire perler quelques larmes à la belle servante. Takeo ne se fit alors pas attendre pour intervenir et demander à la belle ce qui se passait là, ne se privant pas de lâcher un regard noir à son colocataire. Takeo était inquiet et cela se voyait clairement dans ses yeux. Qu'avait fait Reiji ? Avait-il osé levé la main sur elle ? Cette simple pensée mettait notre jeune héros hors de lui. C'est alors qu'en un instant, la situation s'inversa avant même que Takeo comprenne quoi que ce soit. Ce n'était plus lui qui était inquiet, mais elle. C'était elle qui lui demandait ce qu'il s'était passé. A vrai dire, c'était normal vu son allure... Elle avait pas fait long avant de voir sa main et sa lèvre et l'interrogatoire venait alors de commencer. C'était normal qu'elle veuille savoir... Takeo détourna alors vite le regard, fortement incommodé par la situation. Il n'allait quand même pas lui dire qu'il s'était battu ? Non... Mais alors ? Devait-il mentir ? Il ne voulait pas.. Que dire ? Heureusement pour lui, elle n'attendit pas vraiment une réponse pour agir. L'embarquant alors par la main, elle l'emmena alors jusqu'à son lit et l'y fit s'asseoir. Takeo ne pouvait broncher et se laissa alors faire, avec une certaine curiosité quand à la suite des évènements.

Elle entama alors un bref récit pour informer le jeune homme de la situation. Le ton était toujours le même, la politesse toujours de mise... cela suffit alors à arracher un petit sourire au jeune homme qui, sans profiter de cela, appréciait énormément la compagnie de Charlotte. Elle était une petit rayon de soleil dans sa vie et la voir, ne serais-ce qu'une minute pouvait suffire à effacer n'importe quel malheur. Sur le moment, cette douce magie opéra alors et Takeo réouvrit doucement son oeil endolori pour retrouver une vision claire, normale, voyant alors pleinement le visage de sa gentille servante qui se tenait là.

Elle ne laissa alors pas le temps à Takeo de répondre qui que ce soit et se releva pour s'incliner devant lui. Lui demandant pardon d'avance. Notre jeune héros la regarda alors avec une certaine curiosité, ne comprenant pas ce qui se passait et la suivit du regard. Elle se dirigea alors vers le plateau rempli de friandises fait de ses mains. Elle servit une tasse de thé, pris une biscuit et se dirigea alors vers un autre coin de la chambre, là où se trouvait Reiji. A vrai dire, Takeo avait complètement oublié la présence de son colocataire qui s'était mis dos à eux vers la fenêtre. Avec curiosité, le jeune homme suivit alors du regard Charlotte et, lorsqu'il compris ce qu'elle allait faire, se leva pour la stopper mais... trop tard. Elle émietta alors un biscuit sur le jeune homme, renversant ensuite la tasse sur son haut. L'esprit de Takeo était alors submergé par un grand nombre d'émotions. Il y avait une certaine fierté à la voir le remettre en place. Il aurait pu rire, il aurait pu sourire... mais un autre sentiment le pris au coeur. L'inquiétude. Takeo connaissait Reiji et il était évident que cette attaque n'allait pas être sans conséquences.

Le jeune homme se téléporta alors instantanément pour réapparaître entre Charlotte et Reiji, faisant doucement reculer la demoiselle derrière lui pour la protéger. Il posa alors son regard dans celui du rouquin et le fixa quelques secondes. Il ne serra pas les poings, il ne voulait pas se battre. Sa posture n'était pas offensive mais défensive. A l'instant, même si ses yeux le brûlait, même si sa main lui faisait bien mal... il allait protéger Charlotte coûte que coûte. Personne n'allait lui faire du mal, pas tant qu'il était là. Sans quitter le regard de Reiji, il dit alors d'un ton sec, bloquant bien le champ de vision qui cachait Charlotte...

- N'y penses même pas

Age

C’est vraiment mal partie pour que ça s’arrange comme toujours, mais je m’en fou. De toute façon les deux chochottes ont décidé de m’ignorais et ça m’arrange. Je ne voulais pas aller plus loin dans cette conversation inutile. Je n’ai rien à me reprocher étant donner que je ne l’ai pas frappé. Je retourne donc à mes intentions s’est à dire euh… Bah merde je ne sais plus. C’est fou ça, même quand on n’a pas la maladie de l’Alzheimer on peut oublier un truc auquel on y a pensé il y a même pas cinq minute. D’un air agacé, surtout par l’odeur du thé et de ces gâteaux de malheur qui envahi peu à peu la chambre, je me lève non chaleureusement de mon lit pour regarder par la fenêtre curieux de savoir ce qui se passe dehors, tout en ignorant les deux larbins de services. Pour la première fois de toute ma vie j’ai été pensif, depuis combien de temps ai-je arrêté de penser ? Bien évidement ma première penser viens vers Koharu qui été justement à ma vue sous cette fenêtre. Pourquoi est-elle ici ? C’est quoi son pourvoir ? Depuis combien de temps est-elle ici ? Je n’arrêter pas à penser à ces question au point que j’oubliai carrément l’existence du coloc’ et de son esclave dont j’aurais dû m’en préoccupé un minimum. Mais seulement voilà, je fixe la jeune fille aux longs cheveux bleus en train de papoter avec ses nouvelles amies comme si ne rien été. D’ailleurs une autre question me vient à l’esprit, pourquoi a-t-elle gardé les cheveux bleu de notre parie ? Quoi que… Moi j’ai bien gardé mes cheveux rouges…

Je reste donc figer la sur cette fenêtre à la regarder inquiet qu’il puisse lui arriver quelque chose sans même avoir entendue les dires de la soumise qui s’adressais à moi. Je redescends sur terre qu’une fois quand je sens une chaleur brulante et désagréable sur mon torse. Je grimace a se contact désagréable et s’en des miettes tombés sur ma tête. Je tourne brusquement le regard vers la responsable de se dérangement qui été par ma plus grande surprise Charlotte. Mon regard était haineux, pourquoi se venger sur quelqu’un qui s’est contenté de lui dire la vérité ?! Je lui ai dit de se rebeller oui certes mais sur les personnes qui le mérite ! Je ne l’ai pas frappé je n’ai donc rien à me reprocher. Je grince donc des dents et serre les poings un peu comme pour me retenir de la gifler.

« Tsssss… Saleté. »

Mais avant que je puisse ajouter quoi que ce soit d’autre ou que je puisse faire quoi que ce soit, Monsieur Takeo s’interpose entre elle et moi grâce à sa téléportation comme pour la protéger du coup que je me retiens de lui donner. Il me dit d’un ton sec un peu comme les preux chevaliers au secours de la demoiselle en détresse qui de base est une servante.

- N'y penses même pas

Je serre les dents avec un sourire qui se crispe doucement et légèrement. On pourrait plus prendre ça pour un coup de nerf qu’un sourire. C’est pathétique mais tellement pathétique. Mais d’un côté je le comprends cet idiot. Moi aussi j’ai quelqu’un à protéger, mais il y a une chose qu’il n’avait pas l’air de comprendre. C’est que je n’avais pas l’intention de la frapper ou quoi que ce soit. Un vrais cretin se met, ça me donne envie de lui mettre une tarte dans la figure. Je jette un coup d’œil à la fenêtre m’assurant que ma petite sœur aille bien. Je me concentre aussi à nouveau sur ces deux misérables qui dans leur tête sont persuader que je vais leur faire du mal. Et bien s’est à force de le penser ça va finir par arriver. D’un ton froid j’ignore un court instant Takeo pour m’adresser à Charlotte complétement caché par son « maitre » en lâchant un petit ricanement.

« Alors comme ça on se rebelle… C’est bien, mais encore faudrait-il que tu te rebelle contre les bonnes personnes. Moi au moins je n’abuse pas de toi et je ne t’ai même pas cassé la figure. »

Je lève la tête d’un air fier et frotte ma tête d’une seule main pour faire tomber une bonne partie des miettes et enlève mon haut maintenant trempé dans le but de le mettre sous l’eau histoire qu’il ne soit pas foutue. Mais avant ça réglons notre problème principal s’est a dire ces deux boulets. Je leur jette un regard noir haineux, j’en avais marre. Tenant le haut a une main je pousse violement Takeo pour me laisser le passage en lui disant ces mots.

« Dégage-toi. »

Puis je passe mon chemin contournant la soumise pour me diriger vers mon placard afin que je puisse me mettre un haut propre, puis l’air de rien et essor non chaleureusement mon haut prêt d’un seau. Oui je me moque complétement d’eux, mais qu’ils ne s’inquiète pas, ce sera bientôt leur tour. J’étale mon haut sur le bureau afin qu’il puisse sécher et commence à faire craquer mes points comme prêt à casser la figure à quelqu’un de méprisable.

« Je suis pose que c’est Takeo qui doit prendre ? Etant donné qu’il s’est porté volontaire en se mettant devant toi. Faut dire qu’il a des tendances maso. C’est quand même idiot de sa part parce qu’il ne m’a pas embêté aujourd’hui… »

Je lance un regard sombre sur Charlotte et Takeo les dents serrer n’étant étonnamment pas d’humeur à m’amuser. Mon but aussi étrange que ça puisse paraitre et de retourner prêt de cette fenêtre pour voir si Koharu est en sécurité, voir si il ne lui arrive rien. C’est plus fort que moi, je ne peux pas m’empêcher de veiller sur elle.

« Je vous laisse le choix, soi je casse la figure à l’un de vous deux, soit vous dégagez de cette chambre pour faire votre goûter à la con ailleurs. »