le petit oiseau va sortir ~

feat - Malcal Leila / Code Geass: Boukoku no Akito

C'pas du thé qu'elle boit ;____;

• MACFARREN; • ELIZABETH; • 17 ANS; • CÉLIBATAIRE • LYCÉENNE - 2EME ANNÉE; • HÉTÉROSEXUELLE; • SPIRIT'S KEY • RÉINCARNATION;

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

orphologie normale - 90 B - 1m68 - cheveux blonds - yeux bleus - apparence toujours impeccable - aime les vêtements colorés et/ou chic - s'inquiète de 'limage physique qu'elle transmet.

Bon oui, on est d'accord : QUI PEUT SE VENTER D'AVOIR LE CORPS D'UNE DÉESSE ? MOI !! C'est ce que Beth aurait sans aucun doute répondu trois ans plus tôt avant que son corps se mette subitement à changer. Pourquoi ? MAIS POURQUOI ? Quelque chose a du merder à un moment donner ! La raclette la faisait maigrir, manger des tonnes et des tonnes de cochonneries lui faisait à peine prendre quelques grammes et ne parlons pas du sport qui après deux ou trois séances lui redonnait le physique idéal perdu lors des TROP TROP GRAND EXCÈS. Et voila qu'un jour, tu remarques : WHAT !!? DIX KILOS EN PLUS. Là, c'est le drame. Passer du 38 au 40 est aussi difficile que quitter la vingtaine pour la trentaine. Tu perds une partie de ton âme (ΩoΩ). C'est ainsi que notre Lizzie mesure un mètre soixante-huit pour soixante-cinq kilos. Non non, elle n'est pas grosse. Ni même forte ou tous autres mots inventés par les médecins pour ne pas blesser le patient gourmands et fragiles. Elle est normale. Oui, Elizabeth pourrait être plus mince, mais elle n'est pas mal non plus comme ça - mise à part la légère culotte de cheval et les poignées d'amour - elle est bien fichue. Comment ça dix lignes de ma présentation physique ne font que justifier le poids et la morphologie de mon personnage ?

Après, il y a ce que l'on voit dès le premier regard poser sur elle : assez grande, cheveux longs blonds, yeux bleus, visage fin, jambes fines mais souffrant tout de même d'une légère rétention d'eau /meurs/. Bref, le classique. Après, ce qui peut être plus intéressant est son style vestimentaire. Elizabeth oscille souvent entre le look décontracté avec les couleurs pétantes des jeans et les robes chics reflétant la pureté du personnage ou plutôt le semblant de pureté du personnage. Beth ne sourit pas dans la rue, ne sourit pas en se levant, et sourit encore moins en classe. Ses lèvres ne sont pas agencées pour qu'elle sourisse tout le temps, 24 heures sur 24. D'ailleurs, ça lui attire pas mal de problème : elle ne m'aime pas, tu as vu comment elle m'a regardée ? Ce n'est pas possible, cette fille est toujours malheureuse ou quoi ? OUI ET ALORS ? OUI JE NE SOURIS PAS, OUI J'AI LA TÊTE D'UNE FILLE QUI VA TUER DANS LES RUELLES SOMBRES, ET ALORS ? Par contre, lorsqu'elle sourit. Elle aime sourire pour dire bonjour, pour dire au revoir, pour montrer son enthousiasme, ou son contentement. Lorsqu'elle sourit, ce n'est pas pour mentir aux gens, il est vrai celui-là. Attention, je ne parle pas du bref sourire JOR : Je ne te connais pas mais je t'adresse un sourire pour te montrer que je suis sympa. Non non : THE SOURIRE QUI VOUS MET EN CONFIANCE, QUI VOUS RASSURE SUR LES SENTIMENTS QUE BETH PORTE SUR VOUS.

Physiquement, il n'y a plus grand chose à dire. On peut préciser que Elizabeth aime se tenir comme il faut : toujours droite. Après, entre vouloir et pouvoir, il y a un grand fossé. Oui oui, attendre le bus aussi droit qu'une planche à pain alors qu'il est tellement plus agréable de s'éteindre sur le banc de l'arrêt. Il est clair que l'image qu'elle donne aux autres n'est pas bien méliorative mais bon. Tant que sa chevelure est parfaite, ses vêtements sans tâche ni odeur disgracieuses et qu'elle dispose d'une haleine mentholée, rien ne pourra l'humilier; à part peut-être un cassage de gueule dans l'escalier... Mais on est d'accord pour adhérer qu'elle ne laissera jamais cela se faire. Parfait ! Parfait ! Parfaite !

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Polie - charismatique - dominatrice - résistante - destructrice - généreuse - réaliste - agressive - courageuse - loyale - fausse - perfectionniste.

Parfait ! Parfait ! Parfait ! Tout doit être parfaitement parfait. Perfectionniste dans l'âme, Elizabeth ne laissera rien passer à papa et maman ou à grand-frère. Toute erreur doit être soigneusement évitée, le désordre doit être désintégré et le fouteur de merde balayé. Son monde à Beth, elle l'envisage blanc. Pas noir, pas gris, pas rouge. Non, blanc. Aucun échec scolaire, ni même amoureux ne doit contrarier ses petits projets d'avenir parfait. Question étude, il va de soit qu'elle gère; ou du moins qu'elle se donne les moyens pour réussir. Niveau sentiment, elle n'a jamais été plus loin qu'il ne le fallait. Enfin si. Mais si sa loupe c'est que ça doit être oublié. Notre princesse a cette qualité de zapper ce qui ne lui convient plus, passant des petites folies d'une après-midi shopping à un amoureux de vacances. Et lorsqu'on parle d'oubli, ce n'est pas le petit mot employé comme ça pour lui donner un genre bien dark que tout le monde déteste. Non, elle oublie. Point. Son désir démesuré de parfaitatitude lui donne ce côté coincé qui lui vaut les moqueries de ses camarades. Et elle se fait un plaisir d'y répondre de manière belliqueuse. Impulsive, sa vie se résume en une lutte permanente entre le dominant et le dominé. Dès lors qu'elle perd la main, sa fierté l'engage parfois à piquer méchamment l'autre afin de reprendre le dessus. C'est par ce comportement singulier qu'elle se construit une forteresse. Sous cette carapace se cache pourtant un cœur d’artichaut bien souvent malmené petite par les plus teigneux. Ce petit être tout rose qui bat à cent à l'heure lors des confrontations retrouve son calme et sa sérénité lorsqu'elle est en compagnie de quelques amis intimes. Elizabeth n'est pas le genre de fille à se trimballer une ribambelle de camarades : cela est bien trop difficile à gérer. Répondre aux sms, aux téléphones, soulager les âmes en peine, elle ne supporte pas à outrance. Après tout, est-elle doué pour cela ? Que faut-il dire à un ami qui s'est fait honteusement plaquer par sa copine ? CONNASSE ! FILLE FACILE ! Mais que faut-il dire lorsque la copine revient honteusement vers l'ami ? APRÈS TOUT, C’ÉTAIT UNE FILLE BIEN ! CACA L'HYPOCRISIE ! Rester neutre, voila la meilleure des alternatives ! Après, il y a les consolations. Cela a toujours été la difficulté de la pauvre Elizabeth : que faire devant une personne qui pleure à la mort ? L'enlacer ? Lui dire que malgré le fait qu'elle est enceinte ou que ses parents divorcent, la vie va reprendre son cours ? WTF ! Elle n'est pas capable de dire toutes ces choses qui sont, en plus d'être fausses, sacrement culculs ! Jamais. Oh grand Dieu jamais demander conseil à la petite reine. Non pas qu'elle vous donnera la pire recommandation de l'année, mais vous serez capable de la lui reprocher, et ça, elle ne supportera pas. Les reproches, les critiques, son système d'auto-défense miss je-dois-être-parfaitement-parfaite va reprendre le dessus et vous renvoyer au centuple ce que vous avez oser lui chuchoter de la manière la plus douce qui soit ces vilains mots. N'exagérons rien. Beth accepte les critiques mais uniquement ceux des proches. Et ce qu'elle entend par proche : meilleur ami/meilleure amie.

Elizabeth est, malgré son caractère, une fille assez ouverte d'esprit. Elle accepte sans honte la différence des autres : homosexualité, religions, attirance sadomasochiste, travestissement, etc etc histoire de faire un peu le tour. Fausse, il lui arrive de l'être. Alors oui, c'est facile de dire : OUAHHHH, C'TE FILLE ME DÉGOUTE, ELLE EST FAUSSE. Ça n'est jamais arrivé à personne de mentir sur soi-même pour cacher un défaut ou mettre en avant une qualité ? Ça n'est jamais arrivé à personne de sourire à une garce - car il faut être poli - pour éviter que ça se termine en bagarre sur le trottoir ? Être faux à certains moments, c'est s'assurer une vie paisible sans personne - dont soit disant passant on s'en contrefiche - pour vous pourrir votre boite mail ou messagerie d'injure ou de pleure parce qu'on a réagi en toute franchise. Et oui, la tranquillité a un lourd tribut. Mademoiselle fierté ne l'apprécie pas trop, certes, mais madame hormone et kilos superflus préfèrent éviter l’envenimement de leur cas pour des histoires futiles qui se finissent en malbouffe ou en crise de rage. Tel un insecte, Elizabeth est capable de fléchir certes mais pas se laisser s'effacer, du moins, pas facilement. Résistante, elle a supporté pas mal de chose dans son enfance. Tel un insecte se prenant en pleine face le nucléaire de Fukushima, Beth garde les séquelles mais remonte toujours à la surface. Ne comptez donc pas voir notre petite miss se laisser détruire aussi facilement. Si elle vous aime, elle vous laissera faire jusqu'à finir par dire stop. Son côté indomptable reprendra le dessus un jour ou l'autre et le clash risque de finir très mal. Et oui, gare aux profiteurs ! Si elle n'aime pas quelque chose, c'est le don qu'on certaine personne à ramener toute à elle jusqu'à en écraser l'autre : tu souffres, et alors ? Moi j'ai ça, ça, ça !! STOP STOP STOP MON COCO. Ce n'est pas parce que tu casses tous les mercredis avec ta copine que mon problème doit passer aux oubliettes. CAPICHE ? Tu ne peux rien faire, et alors ? COMPATIS CRÉTIN !! Oui, Elizabeth n'aime pas les relations amicales à sens unique : faut pas abuser quand même !

En manque d'amour et s'accablant de divers péchés, Elizabeth se montre d'une générosité effarante. Un euro par ci, trente euros par là. Elle ne compte pas pour faire plaisir aux gens qu'elle aime ou dans le besoin. Douée d'une conscience à toute épreuve, elle sera incapable de blesser gratuitement quelqu'un sous peine de s'en vouloir durant les dix prochaines années de sa vie - si si, je vous assure que c'est vrai. Après, si on veut rajouter une qualité, on peut avouer que Beth est une petite rigolote ! Oui, elle aime la présence des bons vivants, des cinglés même ! tant qu'ils veillent bien évidemment à la respecter : oui, elle y est très attachée à ce respect. Il est facile de voir en Beth la jeune fille calculatrice, manipulatrice - qui s'allie à son amour pour la perfection - possessive, égocentrique. Oui, elle l'est. Peu, mais elle l'est tout de même. Contrôler, et toujours contrôler. Elle plaira donc aux personnes peu sûres d'elles ou au contraire trop sûres d'elles-mêmes. Elle ne compte pas sur l'amour des tyrans, des opportunistes, des monsieur je-ne-suis-pas-ce-que-je-veux-être donc je le fais payer aux autres, miss je-suis-trop-belle-les-autres-non donc je les écrase lorsqu'elle tente de s'éveiller. ELLE LES DÉTESTE. BEURK BEURK BEURK. Le plus paradoxale, c'est que ce sont eux qu'elle remarque en premier. GARDE TES AMIS PRES DE TOI ET TES ENNEMIS ENCORE PLUS ENCORE. Quelle belle phrase qui révèle tout son sens !

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Tout comme Marie-Antoinette n'était pas femme à régner, notre petite Elizabeth ne semblait pas avoir un don pour les activités manuelles. Alors là oui. Que va-t-elle me sortir cette membre toute nouvelle/toute inconnue avec une phrase bateau et en plus de cela ridicule ? Patience patience; ça va venir et pas plus tard que maintenant. C'est donc en Angleterre, nation gouvernée en ce moment même par l'âgée mais glorieuse Elizabeth (comme elle ) que débute notre histoire. Assise sur une table, comme il en existe des centaines dans l'établissement scolaire, notre chère demoiselle s'essayait au dessin pour son futur correspondant. Chaque étudiant, l'ayant en effet décidé, se voyait attribuer un correspondant japonais. Bien au delà du territoire de l'Union Européenne, cet essai avait pour objectif premier de faire découvrir aux élèves une autre culture mais aussi une autre langue bien différente de celle apprise en classe. Quelques mots de politesse sur le tableau recopiés, le dernier coup de crayon sur le dessin et voila un monstrueux bonhomme envoyé dans l'archipel japonais.

Un mois s'écoula. (Vous remarquerez que je vous fais grâce de la naissance mais aussi du quotidien peu intéressant de mon personnage). Une réponse, une traduction rapide et voila que notre Elizabeth faisait connaissance par lettre avec son nouveau correspondant. Akio. Prénom masculin. Visage et corps magnifique, il faut dire que notre jeune princesse était plutôt gâtée. Mais ce sont ses mots, ses doux mots... Et son humour foireux dont la cible était son pauvre dessin qui l'avait nettement rapproché de lui. Il est vrai que notre petite tête blonde (je déteste cette expression mais soyons fou dans cette présentation) avait un caractère peu digne d'une aristocrate anglaise bien élevée, d'une fille respectable dans le sens où le moindre travers envers elle se faisait désagréablement ressentir par la suite. Mais là. Que pouvait-elle dire ? Avec quel mot après tout ? Y-avait-il une traduction pour "petit japonais prétentieux" ? Aurait-elle le culot nécessaire, elle, l'élève respectueuse des valeurs éducatives, pour oser demander au professeur cette bête mais inavouable traduction ? Elle se tut. Et lu de nouveau. Puis encore une fois. Et encore une fois jusqu'à finir par en rire elle-même. Il est vrai qu'il était bien moche son dessin.

Généralement, les correspondants n'aident pas les étudiants à améliorer de manière extraordinaire la langue. Un coup de google traduction, une correction minutieuse du professeur et le tour était joué. À nous le voyage d'un an dans le pays étranger une fois ces formalités accomplies ! Il n'en était pas de même pour notre Elizabeth. Elle n'était pas plus brillante qu'un autre. Elle n'avait pas un goût prononcé par cette langue aux centaines de caractères. Sa passion c'était lui. Le seul ayant la maturité mais aussi l'humour nécessaires pour lui donner cette envie de s'investir dans une relation amoureuse. Il est vrai que peu de personnes peuvent comprendre cette alchimie manquant de toucher physique. Mais après tout. Dans ce cas là, pouvait-on y voir un mal ? L'année scolaire toucha à sa fin. Notre collégienne fut enfin acceptée dans cette nation dont le seul reflet qu'elle en avait été ce visage d'homme qu'elle avait mémorisée dans sa tête. (Mon Dieu que cette histoire est culcul... Bientôt fini, on arrive à la fin de tout ça)

L'amour, l'amour, l'amour. Un grand What the fuck ? Puis plus rien. Depuis quand votre love se mouche-t-il de manière si désagréable ? Depuis quand votre ange aimé laisse-t-il trainer ses caleçons dans la salle à manger ? Et pire que tout. N'aimerait-il pas le thé ? Comment peut-on renier cette boisson des dieux ? Le thé quoi. Bref. La réalité avait refait surface et ça faisait mal. Son amour pour le japonais, et toute cette innocence amoureuse partis en miette. On n'était pas dans Roméo et Juliette. Les filles allaient aux toilettes et les garçons prenaient plaisir à aller jouer au ballon avec le cœur des femmes (ou le corps...). Ses sentiments oubliés, elle ne perdit pas de vu son objectifs premier : vivre sa dernière année de collégienne. Elle serait la petite star avec quelques uns de ses camarades venus l'y rejoindre. Là encore, il serait mensonger de dire qu'Elizabeth apprit avec facilité la langue mais les mois passèrent et la maitrise fut de plus en plus concrète. L'année était écoulée ! Elle devait à présent rejoindre l’Angleterre et quitter cet adolescent qui, à défaut d'être son petit ami, était devenu un très bon ami. Néanmoins, son mal être reprit forme. Elle était chez elle ici. Bizarrement, elle aurait pensé cela de Vienne ou bien de Versailles. Mais non. C'est ici qu'elle devait rester. Dans cette petite archipel n'ayant absolument rien à voir avec ses origines royales.

Elle ne mit cependant pas longtemps à comprendre de quoi il en retournait. Sans comprendre ni d'Eve ni d'Adam ce qu'il lui arrivait, sa main avait signé le papier qui l'éloignerait à tout jamais (ou plutôt le reste de ses années d'étude) de la réalité. Comment en était-elle venue à cette situation rocambolesque, elle l'ignorait. Mais elle y était dans cette école où tous avaient de quoi rougir dans le monde des "humains" mais pas dans le leur. C'est époustouflée que notre "Marie-Antoinette" s'exerçait à récupérer sa mémoire à côté de ceux qui brillaient par leur immortalité ou leur don de voyance. Telle la petite sirène découvrant le monde des Hommes, Elizabeth admirait (sans pour autant le montrer tout de même u___u) cet établissement dont inconsciemment elle avait toujours désiré. Son adaptation se déroula agréablement. Elle y fit des connaissances agréables tout comme des moins agréables. Une élève normale quoi.

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Ils n'ont pas de pain ? Qu'ils mangent de la brioche ! Phrase régulièrement attribuée à la dernière reine de France. Quelle misérable femme! Créature dépensière et sans cœur; n'avait-elle pas abusé de ses enfants ? Ne s'était-elle pas procuré du plaisir par l'inceste ? Il n'en est rien. Toutes ces accusations sont fausses bien que dérivant de faits concrets. Il est bien entendu que la nature coquette de la jeune reine et les dépenses y découlant ont entrainé une haine dans le cœur du peuple aristocrate. Mais pas autant que son désir d'échapper à tout protocole, à toute obligation royale. À bas privilège. À bas devoir royaux. Marie-Antoinette n'était pas une femme bien futée mais aspirait tout de même à un monde de joie et de plaisir. Vous l'aurez compris. Elizabeth est la réincarnation de la reine Marie-Antoinette. Une dame ayant profondément aimé son peuple mais haït en retour. À tort, à raison ? Notre jeune étudiante ne le sait elle-même.

Il est bien facile de contrôler un pouvoir inné. Son pouvoir c'est elle. Elle est son pouvoir. Malgré son identité de petite anglaise bourgeoise, elle a toujours su et n'a jamais oublié. Reine de France. Il est bien cocasse pour cette jeune fille d'être née en Angleterre; pays connu pour ses déboires avec la nation maintenant dénommée "pays des droits de l'Homme". Ironique ? Peut-être. Quoi qu'il en soit, Elizabeth a toujours souffert de cette identité car peu démontrable. Qui irait croire une pauvre adolescente s'égosiller devant une foule d'élève de son âme royale. Une preuve ? Un fait ! Nous voulons des faits ! Mais qu'il y a-t-il a donner lorsque les souvenirs sont flous ? Contradictoires ? Angoissants ? Elle sait. Demain elle ne le saura plus. Tout est question de mémoire. Une mémoire différente de celle utilisée pour les leçons ou autres divertissements et émotions.

Son arrivée à l'établissement n'a pas été des plus facile. Une pure anglaise dont les seules facilités en langue étaient pour le français. Mais n'en avait-elle pas besoin de cette école ? Pourtant, il devait y en avoir tellement d'autres ! Et si ce correspondant ne l'avait pas accueillie dans ce pays orientale où la population y mange avec des baguettes ? Et si un amour fort n'avait pas relié ces deux êtres au point de faire de l'apprentissage de la langue un objectif premier ? Cette nation l'appelait, mais à y faire quoi ? Elle débuta une année scolaire tout à fait banale avant d'être mystérieusement menée à s'inscrire au pensionnat. La raison de cette inscription lui semblait bien incompréhensible avant d'en découvrir les secrets. Depuis lors, son obstination à trouver les réponses sur son passé croit au fur et à mesure qu'elle y parvient. La voilà dans sa seconde année où elle prend goût aux études et plaisir à y progresser.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• YOKKOW; • NO KIKOO. si si j'vous jure (/•_•)/ • PAS DE PARRAINAGE; • PAS DE DOUBLE COMPTE; • YAY YAY BOUM BIM BAM BOUM, SASY CHECKED THIS, PAF BANG BADABIMBOUM BARRELS • UNE TASSE DE THÉ ? ; Dieu que j'aime le thé ♥ Ah oui. Ma présentation est à l'origine celle d'un autre de mes personnages. Un p'tit mixe en fait .___.