le petit oiseau va sortir ~

feat - KAGAMINE Rin / Vocaloid

• NOM Okada • PRÉNOM(S) Hikari • AGE 17 ans • CIVILITÉ Célibataire endurcie • SCOLARITÉ Troisième année • SEXUALITÉ Hétéro • GROUPE Spirit's Key • POUVOIR Anesthésie

ma poire belle Hélène

« salade de fruits jolie jolie jolie ♪ »

Hikari, quand on la voit, c'est une jeune fille de 13 - 14 ans tout au plus, plutôt mignonne mais qui entre à peine dans l'adolescence. Petite taille, silhouette frêle, faible poitrine, cheveux blonds courts coiffés comme ceux des enfants... Elle rassemble effectivement toutes les caractéristiques des collégiennes qui tentent tant bien que mal de se rapprocher de l'idéal incarné par leurs aînées au lycée tout en ayant du mal à se détacher de leurs petites peluches de gamines. Il faut croire que la miss Okada est une pré-pubère attardée. Ne vous fiez pas aux apparences. Elle a 17 ans.

Un certain nombre de facteurs entre en jeu lorsqu'il s'agit de donner un âge à un individu que l'on ne connaît pas. La taille est ce qui vient à l'esprit en premier lieu, et c'est sûrement ce qui porte préjudice à Hikari. Elle n'est pas bien grande, c'est un fait. 154 centimètres, c'est même riquiqui ; mais, d'après ses dires, notre adolescente n'en a rien à faire. « Plus c'est petit, plus c'est mignon, plus c'est grand, plus c'est con ! » Et puis, les grandes filles ont plus de difficulté à trouver un mari plus grand qu'elles ; pour se faufiler dans la foule, c'est moins pratique aussi. Alors oui, elle est même contente d'être qualifiée de naine au quotidien, parce que c'est en fait un don du ciel ! Enfin ça, c'est la version officielle. Elle n'a pas envie d'être une grande perche mais elle espère encore gratter quelques centimètres en plus, juste de quoi ne plus être prise pour une gosse.

Mais parfois la taille peut prêter à confusion ; alors les passants prêtent attention à la taille de la poitrine - triste à dire mais véridique. Malheureusement très peu développée dans notre cas. Nous avons affaire à une planche à pain dans son état, qui n'hésite pas à frapper lorsqu'on l'enquiquine à ce sujet qui la complexe énormément ; toutefois Miss Bonnet A préfère mépriser ces innombrables « vaches à lait » plutôt qu'avouer à quel point cette poitrine plate la préoccupe. Par pudeur, nous n'évoquerons pas ici le nombre de magazines beauté et conseils sur Internet que notre blondinette a lus pour tenter de résoudre le problème.

L'impression générale que dégage la personne entre également en jeu ; style vestimentaire, accessoires éventuels, démarche, manière de s'exprimer oralement, visage.... Et toujours rien qui puisse porter avantage à Hikari. Ses cheveux blond pétant lui arrivent aux épaules et sont le plus souvent retenus par des barrettes noires qui passent inaperçues. Ses coupes sont assez aléatoires, mais, malgré les variantes, on se ramène à un carré à frange pur et simple comme tous les enfants en ont. La jeune fille n'a pas pensé à changer, depuis le temps. C'est le plus pratique, de ne pas changer. Ne toucher à rien, laisser les choses en état, éviter les problèmes, et puis attendre que le temps s'écoule. Néanmoins, ces derniers temps, elle essaie de se faire plus jolie, en s'attachant les cheveux, en rajoutant des bigoudis, en se faisant des nattes... Le fait est qu'elle n'est pas du matin et que se casser la tête dès le réveil ne l'enchante pas, alors sa volonté flanche sitôt que le réveil sonne.

Son visages est lisse, enfantin, souriant et très expressif. Bien peu sont allés au-delà de cette impression pour découvrir le manque d'éclat de ses prunelles. Ah, ses yeux ! Des puits sans fin, bleus comme le ciel (ou comme une baignoire remplie à ras bord), qui se voilent parfois lorsqu'elle se laisse aller dans le courant de ses pensées. Leur expression indéchiffrable, quoique puisse exprimer son sourire. Le moins qu'on puisse dire est qu'elle passe pour l'occidentale parfaite. A savoir que, même si elle ne s'y est pas intéressée de très près, elle a des ascendances étrangères.

Mis à part ça... Hikari est un vrai singe, un ouistiti, une fille de la campagne qui aime faire du sport. Elle grimpe aux arbres, court comme une dératée, se donne à fond lors de jeux sportifs. Elle frappe, aussi. Pas très fort, mais quand même. Passionnée d'arts martiaux, de combats, de films violents et de yakuza trop jeune, voilà ce que ça donne. Oh, ce n'est pas une bête de muscles, loin de là ! Simplement un corps plein d'agilité. Bien souvent on la retrouve avec des feuilles dans ses cheveux en bataille ou des genoux écorchés ; véritable casse-cou, elle s'habille en conséquence avec des vêtements décontractés et simples.

mylife.com

« ôtons nos masques le temps d'un instant »

Hikari est un personnage relativement singulier. A première vue pourtant, rien de bien extraordinaire : une adolescente comme tant d'autres, qui aime les accessoires mignons (quoiqu'assez étranges), qui a le rire facile et qui ne se pose pas des masses de questions, préférant croquer dans la vie à pleines dents plutôt que philosopher sur le pourquoi du comment. Mais plus on la connaît, plus on la trouve bizarre, marginale. Des éléments qu'on juge sans importance sur le coup mais qui s'accumulent au fil du temps.

Déjà, elle ne prend pas de pincettes quand il s'agit de vous dire que vous avez mauvaise haleine ou que vous sentez la transpiration. Après tout, c'est un service qu'elle rend à la société dans son ensemble : elle vous évite d'indisposer tous vos camarades en leur parlant trop près. Elle est également franche pour vous dire qu'elle n'a pas envie de sortir avec vous en ville ce week-end, que, si vous lui demandez comment elle trouve votre nouvelle coiffure, elle la juge peu seyante voire ridicule. Elle donne son avis lorsqu'on le lui demande, ne le donne pas quand ce n'est pas le cas, et tout le monde s'en porte très bien comme ça - du moins est-ce son opinion, puisque son manque de tact n'a jamais fini de vexer son entourage. Malheureusement, c'est à croire qu'elle n'a pris que le côté négatif de l'honnêteté. Quand il s'agit de ses réels sentiments, elle est très douée pour mentir outrageusement, et personne n'ira imaginer qu'elle en est capable.

Ensuite, vous remarquerez bien assez tôt qu'elle n'est pas très affectueuse. Combien de personnes a-t-elle blessé en ne répondant pas à leurs élans d'affection publics ? Oui, elle trouve cela stupide de répéter tous les jours à quel point on tient à quelqu'un - d'autant plus qu'il y a beaucoup de personnes qu'elle a du mal à supporter, mais ce n'est qu'un détail. Au fil du temps, ces déclarations d'amour ou d'amitié perdent leur sens premier, et on lâche des mots aussi importants sans réfléchir. De plus, on considère alors comme acquise l'affection que vous porte quelqu'un, alors que ce n'est jamais le cas. Alors non, elle a décidé de ne jamais le dire, jusqu'au moment où elle en ressentira réellement le besoin. En somme, un aspect en apparence insensible de sa personnalité mais en réalité plutôt fleur bleue. Kain faisant bien sûr figure d'exception.

Comme toujours.

Si vous êtes du genre possessif, ne vous attendez pas à ce que Hikari vous saute dans les bras. Vous vous apercevrez bien vite que la jeune fille ne vit que pour son frère jumeau. Peu importe l'affection qu'elle peut porter à un de ses amis, elle le laissera toujours tomber comme s'il ne représentait rien d'autre qu'une chaussette trouée quand il s'agit de prêter secours à Kain. Oui, son regard n'a tout son éclat qu'en la présence bénie et chérie de sa "moitié" ; il s'assombrit lorsqu'il la laisse seule, s'illumine lorsque l'adolescent lui sourit, se voile lorsqu'elle pense à lui alors que vous êtes en train de lui parler. Il est - pour l'instant - le seul à la rendre entièrement vivante. On pourra donc la qualifier de peu loyale, avec un drôle de sens des priorités et des devoirs. Car vous aurez beau lui raconter tous vos problèmes de cœur, si elle n'est pas dans un bon jour, elle vous enverra bouler à la moindre occasion. C'est égoïste de sa part, et on le lui a déjà fait remarquer, mais elle s'en moque. Elle est entièrement dévouée aux personnes qu'elle chérit réellement, et elles ne sont pas si nombreuses.

En effet, la demoiselle a toujours fait ce qui lui chantait, et ce depuis sa naissance. La vie est faite pour s'amuser : alors à quoi bon s'encombrer de soucis inutiles ? Elle obéit à son instinct et ne cherche pas à faire plaisir aux autres. Bien sûr, elle a sa retenue. Elle n'a pas envie de se retrouver sans amis du jour au lendemain, et elle n'a jamais été douée pour se mettre en colère. Alors elle se retient, même quand la rage ou la déception inondent son corps et son âme. Ce n'est pas logique, mais elle tait toujours ses sentiments réellement importants, puis elle explose dans son coin. En massacrant un oreiller à coups de poings, en le vidant de ses plumes, en l'écrasant comme elle peut du pied, en le déchirant avec ses ongles.

Impossible de négliger un tel détail : Hikari est du genre à piquer des crises dans son coin, loin des autres. Son frère n'a assisté à ses crises d'hystérie que lorsqu'elle était petite ; désormais, elle prend bien soin de s'isoler avant de hurler comme une forcenée, mais elle n'a plus guère de motifs d'énervement. Jeune, elle avait tendance à se faire submerger par ses émotions très facilement, mais, voulant les cacher - peut-être par pudeur ou sentiment de ridicule -, elle les gardait au plus profond d'elle-même le plus longtemps possible. Puis c'était la crise de nerfs. Les coups dans le mur à s'en faire saigner les poings, les sanglots et les pleurs intarissables, les tremblements de son corps minuscule recroquevillé dans un coin d'une pièce. On lui avait diagnostiqué une hyperactivité. Aujourd'hui, elle sait mieux se contrôler et ne pleure plus. Non, elle ne pleure pas. Les larmes lui donnent envie de vomir. Elle ne veut pas avoir l'air pitoyable, comme toutes ces godiches dans les films niais.

La violence est le meilleur moyen de résoudre les problèmes. Nous arrivons au plus gros problème de la jeune fille : la violence. Elle est brutale, aime les films violents, les histoires de guerres entre gangs et les bastons de rues, et se battre, même - surtout - contre les murs. Hikari, après une bonne rafale de coups dans le vide, elle sourit de toutes ses dents. Parce qu'il ne faut pas rêver ; elle serait bien incapable de mettre à terre un véritable adversaire... Sans l'aide de son pouvoir. Elle ne s'en sert pas énormément, officiellement parce qu'elle juge que le don de l'Anesthésie est un "truc de lâches", officieusement parce qu'elle a énormément de mal à le contrôler et qu'elle a peur des conséquences de son utilisation. Mais elle ne le rejette pas entièrement, tout simplement parce qu'elle peut maîtriser le pouvoir trop fort de son frère lorsque celui-ci ne se contrôle plus... Et elle est la seule à pouvoir le faire. Quoi de plus satisfaisant ?

On a du mal à lui trouver quelque chose de banal, après tout cela. Pourtant, la plupart de ses amis ne se doutent pas de ce côté plus sombre et tordu de sa personnalité, du moins l'espère-t-elle. Même si elle part dans ses délires toute seule parfois, elle a un certain sens de l'humour et une conversation intéressante qui fait d'elle une bonne compagnie, si toutefois on néglige son égoïsme démesuré.

PÈRE CASTOR ♪

« il est temps d'arrêter le temps »

Akira et Juri Okada formaient un couple irresponsable dégoulinant d'amour et de niaiserie, qui décidèrent très tôt d'avoir un enfant. Tant qu'à faire, Mère Nature leur en donna deux d'un coup, et, dans un désir d'équilibrer les choses, leur fit don de deux bébés de sexe opposé mais presque similaires. En d'autres termes, des jumeaux, qu'ils nommèrent Hikari et Kain.

Deux vies mêlées qui commençaient remarquablement bien. Les deux gamins entretenaient une complicité propre à l'insouciance de l'enfance ; leurs activités se résumaient à faire des sculptures sur boue, sauter dans des flaques d'eau, inventer des jeux compréhensibles d'eux seuls, s'entraider pour les devoirs, et lire des ouvrages illustrés côte à côte. On remarqua bien vite le caractère légèrement renfermé du garçon que la fillette, plus ouverte d'esprit et plus apte à se faire des amis, essayait de rendre moins réservé. Une sollicitude pleine de compassion mais constante, qui portait peu à peu ses fruits. L'école fut difficile pour Kain, et Hikari fit ce qu'elle put pour l'aider, l'intégrer dans leur classe.

Les deux jumeaux évoluèrent dans un monde presque parfait. Leurs parents leur vouaient une adoration sans limite qui les poussait à se montrer trop laxistes et protecteurs avec eux. Lorsqu'une dispute éclatait à l'école, Hikari pouvait toujours se reposer sur sa famille ; elle y trouvait toute l'affection et le réconfort nécessaires. Cette indulgence permanente avait également quelques inconvénients, comme le manque de pression que la fillette se mettait sur elle-même pour faire ses devoirs, apprendre ses leçons ou être polie... Aujourd'hui, elle a un langage peu châtié et manque cruellement de manières. Mais c'était un milieu relativement normal qui ne posait aucun problème pour le développement de deux enfants.

Les jumeaux avaient 14 ans lorsqu'ils découvrirent ensemble leur pouvoir, et pas de la meilleure manière imaginable. C'était le samedi matin qui suivait la grande rentrée scolaire, un matin comme tous les autres. Hikari se souvient avoir été en train de regarder Doraemon à la télévision, affalée en pyjama sur le canapé aux côtés de sa mère, un jus de fruit à la main. Kain était arrivé dans la pièce, avait commencé une phrase qu'il n'avait jamais pu terminer ; la blondinette n'avait détourné le regard de son stupide dessin animé qu'au moment où les hurlements de sa mère avaient vrillé ses oreilles. Incompréhension. L'incompréhension la plus totale, tandis qu'elle fixait, effarée, le corps de Juri agité de spasmes de douleur et de contorsions effrayantes. Sa panique se transforma bien vite en terreur pure en voyant son frère comme... possédé. Instinctivement, elle se jeta sur son jumeau, l'attrapant par les épaules comme pour lui redonner conscience, le secouant comme un prunier en refoulant ses larmes ; lorsqu'il la regarda enfin dans les yeux, il s'évanouit dans ses bras maigres, et on n'entendit plus que le souffle rauque de Juri.

Un malaise sans nom s'empara de la maisonnée ; Hikari regardait avec tristesse et impuissance sa famille autrefois soudée se déchirer lentement sous ses yeux. Kain reclus dans sa chambre, Akira et Juri qui discutaient à voix basse dans la salle à manger, les sanglots de Juri qui perçaient à travers la cloison, et puis elle qui essayait de faire le relais. Une profonde incompréhension s'était installée entre parents et enfants, malgré les sourires de façade que tous affichaient. Puis ils trouvèrent une brochure dans la boîte aux lettres, une brochure qui changea leur vie. Ils furent envoyés à Aomori, où les choses changèrent radicalement. Kain devint un homme populaire, au contact facile avec ses camarades, et Hikari fut laissée sur le banc de touche. Tout d'abord heureuse pour son jumeau, elle finit par se sentir relativement mal, et un sentiment de jalousie bouillonne au fond d'elle depuis bien trop longtemps...

SO AWESOME

« je suis comme je suis, à prendre où à laisser »

Anesthésie, par contact visuel – Autant dire que maîtriser ce pouvoir n'est pas une mince affaire pour Hikari. Elle qui souffre de troubles de l'attention depuis la petite enfance, a été tout d'abord bien incapable de se concentrer plus de cinq secondes pour utiliser son pouvoir ; à son arrivée à Aomori, elle n'a pas été capable de l'utiliser pendant trois mois, malgré toute la volonté du monde. Trois ans plus tard, il semble avoir pris en puissance puisqu'il se manifeste bien plus fréquemment... sans son accord certes, mais elle a désormais beaucoup moins de mal à l'utiliser sur commande. S'il ne se déclenche jamais dans la panique, il a toutefois la fâcheuse habitude d'intervenir dès qu'elle se met en colère.

Elle l'utilise à des fins diverses ; elle a déjà assommé de nombreuses personnes en envoyant des « doses d'anesthésie » trop puissantes. D'après ses cobayes, elle crée une sensation proche de la léthargie ; une baisse de la fréquence cardiaque s'observe parfois, et l'individu perd une grande partie de ses perceptions, jusqu'à être incapable de bouger. Elle aimerait un jour pouvoir s'en servir localement mais ne sait pas si c'est possible, et aspire à mieux contrôler ses fameuses « doses » ainsi que la durée de l'effet.

derrière l'écran se cache...

« scintillante pixellisation »

• PRÉNOM ou PSEUDO Hikari aka le Dinxdonx à couille rouge • ME DÉCRIRE EN QUELQUES MOTS J'aime les pinxtaxdes botoxées, je suis un fail ambulant et je rigole pour rien mais je le vis bien. • PARRAINÉ ? Hum. Je suis fondatrice. ♥ • DOUBLE COMPTE ? Ah que non ! • CODE ? Je m'auto-valide hahaha 8D • C'EST MON DERNIER MOT JEAN-PIERRE Parce que la nouvelle fiche elle est jouliie ♥